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Dans le cadre de sa journée académique du service social de l’éducation nationale, le rectorat de Besançon recevait ce mardi matin Marie-Paule Martin-Blachais, médecin, qui est venue partager avec les travailleurs sociaux de l’éducation nationale, le travail et la réflexion qu’elle a mené avec un comité d’experts sur les besoins fondamentaux de l’enfant. Cette démarche de consensus sur cette problématique a été commandée par le ministère de l’éducation nationale du gouvernement Hollande et notamment la ministre de l’éducation nationale de l’époque Laurence Rossignol.

 Il en ressort sept besoins fondamentaux qui concourent au développement harmonieux de l’enfant et à sa construction personnelle. Des besoins liés à l’affectif et au relationnel, à sa protection et répondant à ses besoins physiologiques et de santé sont primordiaux. A cela s’ajoute, le besoin d’identité, savoir qui il est et d’où il vient, de règles et de limites, d’estime et de valorisation de soi et d’expériences et d’exploration du monde. Il est désormais acté que les expériences qu’il vit dans son environnement jouent considérablement sur ses capacités de développement. D’où l’importance de cette sensibilisation des acteurs sociaux de l’éducation nationale, qui peuvent compenser certains besoins de l’enfant lorsqu’ils sont défaillants dans le milieu intrafamilial.

Ce lundi, un collectif de 20 Youtubeurs français a décidé de publier une vidéo pour proclamer « qu’il est encore temps d’agir pour le climat Â».

Certes la situation actuelle est critique partout en France mais également à l’international, mais pour eux de nombreuses actions sont possibles à notre niveau.

Suite à la marche pour le climat qui s’est organisée dans toutes les grandes villes de France début septembre, une nouvelle date est programmée ce samedi 13 octobre.

Dans le Doubs et le Jura trois mobilisations sont organisées ce samedi.
Dans le Jura rendez-vous Place de la Liberté à Lons-le-Saunier à 14h30. Dans le Doubs, l’évènement est organisé par Alternatiba à Besançon samedi à 11h. Un rendez-vous est également donné à Montbéliard à 14h, place Denfert-Rocherau.

En parallèle de cette mobilisation mensuelle, le collectif « Il est encore temps Â» a créé un site internet du même nom, qui permet à toute personne souhaitant agir pour le climat de trouver des actions à son échelle.
Par exemple, réduire sa consommation de déchets, ne plus consommer d’huile de palme, ou encore entrer en contact avec des groupes de sa région pour trouver des alternatives à sa consommation.

La mobilisation syndicale interprofessionnelle qui avait lieu aujourd’hui a rassemblé 1700 personnes à Besançon, selon la CGT.

Des lycéens, des étudiants, des retraités et des salariés du privé étaient présents.

Ils étaient 500 à Belfort.

Tous sont venus dénoncer la casse du modèle social français.

Dans le Doubs, on dénombre en moyenne chaque année environ 350 accidents corporels, 400 blessés et entre trente et quarante tués sur les routes. Sur les huit premiers mois de 2018, il y a déjà eu 28 morts sur les routes du département contre 19 l’année dernière pour la même période.

La plupart de ces accidents sont dus à des facteurs comportementaux : vitesse excessive, conduite sous l’emprise de l’alcool ou de stupéfiant, refus de priorité, utilisation du téléphone…

Pour rappeler chacun à la vigilance, le Département a décidé de réinstaller une trentaine de panneaux de sensibilisation aux comportements à risque aux abords des routes départementales. Ils délivrent quatre messages liés aux principales causes d’accidents dans le Doubs : la vitesse, l’alcool, le téléphone portable et l’inattention.