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Il y a quelques semaines tout allait bien pour les agents de la Ville de Pontarlier, de la CCGP et du CCAS, mais il y a quelques jours, ils ont décidé de déposer un préavis de grève pour demain.

Les agents des trois collectivités ont décidés de protester contre le non renouvellement de contrat d’un responsable hiérarchique de 50 agents. Ils demandent également le respect de la place de chacun, concernant l’interaction entre les élus et les responsables hiérarchiques.

« Il y a un problème au niveau de la place de chacun. Certains agents reçoivent une directive de la part de leur supérieur et quelques heures plus tard, ils vont recevoir un contrordre de la part d’un élu. Dans ces conditions, qui écouter ? Que faire ? Â» explique Béatrice SCHUHNEFF représentante syndicale CFDT des agents du service public.

La CFDT qui organise la mobilisation demande aussi « le remplacement des postes vacants dans les services, le sens du travail, l’équité entre les services et les agents, ou encore la sauvegarde de l’emploi Â».

La mobilisation est prévue à 13h30 demain devant les locaux de la CCGP. Le rond-point de la RN57 à l’entrée de Pontarlier devrait être bloqué par les manifestants au cours de l’après-midi.

Déjà équipée de matériel de vidéoprotection avec des caméras situées autour de la mairie, du champ de foire, des gymnases, du collège et bientôt autour de la salle de spectacle l’Escale, la ville de Morteau poursuit le déploiement.

Le principe est qu’il n’y a pas quelqu’un en permanence derrière un écran mais que l’enregistrement peut-être demandé et visionné par un agent assermenté en cas de problème.

Trois nouvelles installations viennent d’avoir lieu aux entrées de ville côté Pontarlier, Villers-le-Lac et Maiche.

Ces équipements ont déjà permis par le passé de venir en aide aux enquêteurs pour résoudre des affaires de cambriolages par exemple et les forces de l’ordre apprécient particulièrement de pouvoir accéder à des images captées sur la voie publique.

Les explications de Daniel Gaume, adjoint au maire de Morteau, en charge de la sécurité.

C’est une jolie réalisation qui a été inaugurée ce mercredi matin dans le quartier des Tilleroyes à Besançon. Pendant quinze jours, durant la période estivale, trois jeunes du quartier d’Orchamps-Palente (Youness, Lorianne et Aya) ont travaillé sur la mise en peinture du transformateur électrique de la rue Fresnel. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un partenariat signé entre la ville de Besançon, Enedis, chargée de la distribution de l’électricité sur le territoire français, et le service de prévention spécialisée de l’Association Départementale du Doubs pour la Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte (ADDSEA).

Ce projet à plusieurs vocations. Tout d’abord, il concourt à l’intégration sociale de publics en difficulté, mais il permet aussi de répondre à des préoccupations techniques et pratiques comme l’amélioration du cadre de vie par une meilleure intégration esthétique des postes de distribution publique d’électricité dans leur environnement. La ville compte 600 postes. Une quinzaine d’ouvrages dans les quartiers Orchamps, Palente, Montboucons, Montrapon, Clairs-Soleils, Saint-Ferjeux et Velotte ont d’ores et déjà été rénovés dans le cadre de ce dispositif. La 1ère convention a été signée en 2013 par les différents partenaires.

Un chantier éducatif

Le chantier éducatif de prévention spécialisée consiste en la réalisation de travaux légers, rémunérés, encadrés par des éducateurs, pour des jeunes âgés entre 16 et 21 ans. Pour la plupart d’entre eux, c’est une première expérience de travail. Ce dispositif leur permet de découvrir le monde du travail, de respecter ces contraintes et leur engagement, mais aussi de se voir réussir et se découvrir des aptitudes, des capacités et même voir naître des projets personnels. Youness et tous les jeunes participants ne cachent pas leur plaisir d’avoir réaliser ce travail et de le voir exposer dans leur quartier, leur cadre de vie. « Lorsque des gens passent devant, ils me félicitent. Cela fait plaisir Â» explique Youness avec fierté.

Quinze jours de travail

Durant ce laps de temps, encadrés par des éducateurs de rue, les jeunes ont réfléchi à leur création, fait des recherches sur internet, fabriqué des pochoirs, préparé le support, décoré la structure et bien entendu rangé et nettoyé l’endroit et le matériel. Soit un total de 105 heures. Pour le travail mené sur le transformateur des Tilleroyes, le trio a choisi des couleurs vives et permettant aussi d’inscrire l’ouvrage dans son environnement. C’est ainsi qu’une jolie fresque représentant des graphismes « berbères Â» a vu le jour.

Dans le département du Doubs, le renard roux est présent partout quels que soient l’altitude et le milieu. On peut le voir en forêt, au bord des lacs, dans les marais ou dormant au soleil sur une vire rocheuse. Il s’aventure parfois dans les agglomérations, le plus souvent pour y chercher de la nourriture. Mais c’est dans les prairies et le bocage que son observation est la plus facile.

Une étude réalisée dans le Jura suisse a montré qu’un renard utilise une surface variant de 1,5 à 3 km². Il exploite essentiellement les milieux ouverts (prairies, pâtures, bocages) en été et en automne et les milieux boisés en hiver. Quotidiennement, un renard parcourt entre 4 et 12 km, moins si la couverture neigeuse est importante. Ses populations ont subit de fortes variations au cours des cinquante dernières années à cause de la rage notamment.

En 1998, sur le versant français, une vaste campagne d’empoisonnement des campagnols terrestres avec la bromadiolone s’est traduite par une mortalité importante des renards. Il a fallu plus d’une décennie pour les effectifs soient reconstitués. Au milieu des années 2010, c’est une épidémie de gale sarcoptique qui a, une nouvelle fois, fait baisser sensiblement les populations vulpines.

Aujourd’hui, le débat est loin d’être clos entre ceux qui estiment que le renard a toute sa place dans la nature et ceux qui le jugent nuisibles.

Depuis sa création en 2004, ESN (Erasmus) Besançon œuvre pour l’accueil et l’intégration des étudiants internationaux et pour la promotion de la mobilité internationale auprès des jeunes Francs-Comtois. Tout au long de l’année universitaire, des activités culturelles et de loisirs sont proposées aux étudiants internationaux.

« Il s’agit de faire découvrir à la fois le patrimoine de notre région aux étudiants internationaux et de favoriser les échanges linguistiques et culturels avec les étudiants français. Notre association est partenaire de l’Université de Franche-Comté, de la Ville de Besançon, de la Région de Franche-Comté et membre du réseau ESN France Â» expliquent les responsables.

Les Nuits des Étudiants du Monde, coordonnées par l’Association des Villes Universitaires de France, sont une série d’événements festifs et culturels organisés dans 20 villes de France au mois d’octobre de chaque année pour souhaiter la bienvenue aux étudiants internationaux qui viennent y séjourner pour leurs études.

« Pour cette 6ème édition, en partenariat avec la Ville de Besançon, nous souhaitons faire découvrir aux étudiants français et internationaux les associations locales et leur savoir-faire Â». Le public pourra donc, entre autres, découvrir avec Yakimono l’art de l’origami, jouer avec le Collectif Ludique Bisontin, ou encore découvrir les arts martiaux avec Ritmo Da Capoeira. Cette année, nous avons souhaité mettre en avant les associations et structures qui placent l’international au coeur de leurs valeurs, et ce afin de faire découvrir les acteurs culturels de la vie bisontine, de partager un moment convivial et de découverte avec le public international et local. Le groupe Celma N Louise animera la seconde partie de la soirée en se produisant sur la scène du Kursaal, et sera suivi par un DJ qui clôturera l’événement.

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