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Ce vendredi matin, à l’occasion du salon de l’habitat, le Grand Besançon remettait symboliquement sa 1000è subvention pour la rénovation énergétique basse consommation d’un logement. Réellement, la collectivité en a déjà signé 1250.

Depuis 2009, le Grand Besançon a mis en place un programme d’aide pour inciter les ménages, dont les ressources sont qualifiées de modestes ou de très modestes, à entreprendre des travaux de rénovation thermique de leur logement. Isolation de la toiture, des murs, remplacement des fenêtres, changement du système de chauffage, … la liste est longue. La collectivité apporte ainsi son soutien à l’habitat privé diffus et collectif. Depuis le lancement de cette initiative, le Grand Besançon a accordé plus de 3,2 millions d’euros de subventions. Selon la collectivité, le gain moyen de performance énergétique induit par les travaux réalisés dans les logements financés s’élève à plus de 55 % ( soit une division par deux des consommations et factures).

Le Grand Besançon rappelle que toutes les personnes éligibles peuvent bénéficier de ce soutien, cumulable avec la plupart des autres aides publiques existantes, nationales et locales. Pour obtenir de plus amples informations, il est possible de contacter l’Agence Départementale d’Information sur le Logement (ADIL) du Doubs au 03.81.61.92.41

Elles seront 14 à se présenter samedi soir à Belfort devant le public de plus de 2000 personnes et le jury qui élira au final Miss Franche-Comté, la jeune fille qui représentera la région pour le titre convoité de Miss France. Seront observées l’allure, l’élégance, la prestance mais aussi ls qualités intellectuelles et sociales.

Dans un premier temps, c’est le public seul qui retiendra 7 prétendantes parmi lesquelles le jury désignera la gagnante.

Parmi elles, certaines portent déjà l’écharpe de Miss de leur département, comme c’est le cas pour Miss Doubs, Lauralyne Demesmay, 18 ans, bachelière avec mention très bien et aujourd’hui élèves en prépa HEC… Sur les réseaux, elle fait figure de grande favorite mais garde la tête froide et tient à respecter les autres concurrentes qui ont selon elles autant de chances qu’elle. Résultat samedi tard dans la soirée.

Environ 50 kilos par jour et par personne, c’est l’estimation faite par les autorités de ce que représente dans les forêts jurassiennes la cueillette sauvage de champignons dont le trafic avec l’Espagne et les pays de l’Est est connu de tous. Bien loin des 2 kg quotidiens autorisés par la loi.

Les plaques d’immatriculation des camionnettes et autres véhicules déposant ces travailleurs saisonniers en témoignent. Ce trafic international s’est installé et développé depuis quelques années à tel point qu’on estime à 25 tonnes la quantité récoltée cet automne par exemple.

Au-delà de ce pillage en règle, celui de la cohabitation entre ces cueilleurs et les autochtones est de plus en plus inquiétant. Les tensions sont bien réelles. Tout comme le ras le bol lié à l’état dans lequel est laissée la forêt ou les centaines de kilos de champignons laissent place à des quintaux de déchets en tous genres.

Face à ce fléau qui se répète, les autorités ont donc décidé d’encadrer et légaliser cette cueillette en autorisant certaines sociétés à déployer leurs équipes. Des personnes déclarées, identifiées, sécurisées et contrôlées. Une expérimentation qui devra prouver au fil du temps son efficacité.

 

Depuis 2014, la Ville et les associations patriotiques se sont efforcées de rendre hommage aux combattants de la première guerre mondiale par la mise en place de cérémonies patriotiques du 11 Novembre et d’expositions sous l’impulsion de Colette Lombard, maire-adjointe et correspondante défense en collaboration avec les associations. « Tout ce travail est indispensable pour rappeler, comprendre et honorer la mémoire des souffrances passées Â» précise la mairie.

Et pour clôturer cette période commémorative en beauté, une association éphémère a été créée pour cet événement. « Val’Centenaire 14-18 » s’est donné pour but de promouvoir le centième anniversaire de la signature de l’armistice les 9, 10 et 11 Novembre 2018 à Valdahon avec un programme très complet détaillé sur le site internet officiel de la Ville.

 

Pour soulignr l’importance de ces rendez-vous, le maire Gérard Limat explique à la population : « Ne jamais oublier : tel est le sens du programme Val’Centenaire 14-18 qui clôturera les commémorations de cette grande guerre désastreuse en vies humaines avec, à la fin, une victoire à la Pyrrhus, suivie 20 ans après de la 2e Guerre Mondiale Â».

Un constat amer tempéré par l’espoir né de la construction européenne : « Peu après ce gâchis, quelques hommes éclairés ont lancé l’idée européenne dans le souci de développer, dans la paix, les échanges économiques sans frontière et la libre circulation des personnes ; aujourd’hui, cette Europe toujours en paix est remise en cause par des politiques conservatrices ou nationalistes oubliant les valeurs d’ouverture et de fraternité. Les hommes ont décidément la mémoire courte. Pour cette commémoration, je serai très heureux d’avoir à mes côtés le bourgmestre de Maulbronn, notre ville jumelée : c’est un signe fort de son attachement à la pérennité de notre jumelage et du sens accordé à ces journées du souvenir Â».

 

Comme convenu, ce vendredi matin, à Besançon, des personnels non médicaux des urgences de l’hôpital, du SAMU et du centre 15 ont profité de la tenue du conseil de surveillance du CHRU à Saint Jacques pour dénoncer leurs conditions de travail et les moyens alloués pour mener à bien leur travail au quotidien auprès des patients.

Dès son arrivée, les manifestants ont interpellé Jean-Louis Fousseret, le maire bisontin, mais surtout président du conseil de surveillance du CHU de la ville. L’édile leur a assuré de l’évocation régulière de leurs difficultés avec l’Agence Régionale de Santé, « comme d’autres sujets Â» a-t-il précisé. Mr Fousseret a accepté que quelques manifestants puissent exposer leurs doléances devant les membres du conseil de surveillance.

Rappelons que suite aux dernières rencontres infructueuses avec la directrice de l’hôpital, le collectif avait décidé de se faire entendre une nouvelle fois ce matin. Ils reformuleront également leurs inquiétudes le 25 octobre lors du prochain CHSCT du centre hospitalier. A cette occasion, la direction de l’établissement devrait formuler des propositions. De leur côté, les manifestants lui demandent de suivre les obligations émises par plusieurs administrations, dont l’inspection du travail. « L’inspecteur du travail a menacé la directrice de porter plainte devant le Procureur de la République si rien n’était fait et rapidement Â» explique l’un des manifestants. La mobilisation se poursuit.

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