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Ce vendredi, le film Comme un Agneau sera diffusé à la salle des fêtes de Sombacour.

Ce film retrace une année de vie en compagnie d’éleveurs ovins. Une année riche en moments forts tels que la transhumance, l’agnelage ou encore la période des foins. Mais aussi des moments creux et notamment les mois d’hiver.

Ce film présente une vie d’éleveurs qui tourne 365 jours par an avec ses hauts et ses bas.

La projection est organisée à 20h15 à la Salle des Fêtes de Sombacour.

Depuis des mois, une équipe d’adolescents participe activement à la vie locale avec l’appui d’élus qui les encouragent dans leur volonté de faire preuve de civisme.

Récemment encore, ils étaient présents pour aider à mettre en place la Crazy Pink Run comme ils l’ont été lors du forum des associations avec la création d’un totem. Ils ont aussi apporter une aide logistique aux organisateurs du Carnaval en début d’année et organisent eux-mêmes leurs propres sorties. Pra exemple un camp d’été ou une sortie à Europa-Park.

Pour donner vie à ces projets participatifs, les ados se rencontrent régulièrement dans une salle mise à leur disposition et préparent d’autres actions par exemple autour de la charte écocitoyenne en préparation au niveau communal.

Le 11 novembre prochain marquera la fin du cycle des commémorations de la Grande Guerre débuté il y a quatre ans. Le mardi 6 novembre, une délégation académique accompagnant quatre collégiens se rendra à Paris sous l’Arc de Triomphe pour ramener la flamme du soldat inconnu.

Quatorze autres académies seront également mobilisées pour l’occasion. En présence du recteur Jean-François Chanet, le 11 novembre, un cortège de collégiens volontaires partira de la cour du rectorat et amènera la flamme jusqu’aux monument aux morts des Glacis pour rejoindre la commémoration officielle.

Symbole de l’arrêt de la guerre et du retour à la paix, la flamme fera l’objet de parcours symboliques à l’occasion des cross départementaux, dans les quatre départements, du 7 au 11 novembre. Cette opération vise à sensibiliser les élèves aux enseignements de l’armistice de 1918 et, au-delà, aux valeurs citoyennes et de Paix, en mobilisant le sport scolaire.

Ce mercredi, les élus d’une trentaine de communes, situées dans le Haut-Doubs et le Pays de Montbéliard, fortement impactées par le manque d’eau, étaient invités en préfecture du Doubs pour échanger avec le préfet et les services de l’état compétents sur cette grande problématique du moment. L’objectif étant de dresser un bilan de la situation actuelle et de trouver des solutions pour répondre au mieux à cette période de tension et de crise. Pour le Préfet du Doubs, la priorité est la ressource en eau potable. Actuellement, 34 communes sont alimentées par camion-citerne, 38 le sont grâce à une interconnexion avec d’autres réseaux, quatre sont alimentées par des ressources exceptionnelles, avec une prise d’eau dans un lac ou le Doubs et 79 sont en tension mais la ressource reste suffisante.

Au cours de cette rencontre, les services de l’état ont commencé un état des lieux des ressources en eau, qui jusqu’à présent, n’avaient pas encore été sollicitées car elles manquaient d’infrastructures permettant une utilisation sécurisée. Ce listing va ainsi permettre de mettre en lumière des ressources non exploitées qui permettront d’assurer une alimentation en eau potable des populations ou d’alléger les réseaux existants pour d’autres tâches comme l’abreuvage des animaux par exemple. Car le souci de l’état est bien évidemment d’être en capacité de sécuriser les approvisionnements en eau en direction de la population. Quelques sources connues, mais non exploitées, sont d’ores et déjà enregistrées, comme par exemple à Métabief. Si pour l’heure, la priorité est à la gestion de la crise actuelle, une réflexion est également engagée pour les années à venir. Certaines communes, comme Morteau, ont entrepris ou vont entreprendre des travaux de forage pour débusquer de nouvelles ressources.

Pas de coupure d’eau

Si les dernières restrictions préfectorales ont permis de réduire la consommation d’eau, cette dernière stagne désormais. Aucune décision de coupure d’eau n’est envisagée. Néanmoins, Nicolas Régny, sous-préfet du Doubs, directeur de cabinet du Préfet, a incité les élus a procédé à des signalements si des comportements irresponsables se manifestaient. La préfecture du Doubs a confirmé la situation exceptionnelle de cet évènement climatique. Depuis le mois de juin, les quantités de pluie tombées sont très faibles et les températures ont atteint des records. Dans ces conditions, la situation est très préoccupante. Tout le monde espère une fin d’automne pluvieuse et un hiver le plus tardif possible. Sans quoi, « la situation s’avèrera très problématique en mars prochain Â».

Après plusieurs mois de sécheresse sur l’ensemble de la région Bourgogne Franche-Comté, « il est maintenant essentiel que le ministère de l’Agriculture étudie rapidement les dossiers qui lui seront remontés des départements de la région, avec une prise en compte des spécificités pour cette calamité, exceptionnelle par sa durée et son ampleur Â» précise le syndicat agricole.

Pour mieux comprendre la situation, Joël Limouzin visitera deux fermes de Bourgogne Franche-Comté, ce jeudi 25 octobre dont une exploitation laitière dans le Jura dans la région agricole de la petite montagne. En l’occurrence un GAEC de 250 hectares géré par quatre associés et spécialisée dans la production de lait pour l’AOP Comté.

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