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Une série de mesures pour lutter contre les violences scolaires sera présentée ce mardi en conseil des ministres. La présence de policiers dans les établissements scolaires est notamment à l’étude. Du côté des syndicats d’enseignants, et notamment au Snuipp/FSU, on souhaiterait que le gouvernement, et plus précisément le ministre de l’Education nationale, « porte avant tout une réflexion sur la politique éducative et pédagogique menée actuellement ». Mr Champion, le secrétaire départemental du Snuipp/FSU dans le Doubs, rappelle que « 40.000 élèves supplémentaires sont attendus dans le second degré en France à la rentrée prochaine et que 2600 postes seront supprimés par le gouvernement Â».

Selon Mr Champion, « si l’on veut se soucier de la sécurité des élèves et de leur bien-être, il ne faut pas dégrader les conditions de travail Â». Le syndicat admet que certaines situations exigent l’intervention de la police et de la justice, tout en rappelant « qu’en France, un mineur est considéré avant tout du point de vue éducatif que judiciaire Â». Et de conclure : « Un jeune fragile, s’il est suivi dès le plus jeune âge, s’il a accès à des réseau d’aide, s’il évolue dans des petits groupes en classe, peut être mieux accompagné et recadré Â». Depuis 2007, certains dispositifs sociaux ont disparu ou ont été fortement réduits à l’Education nationale. Ce qui n’est pas sans poser problème.

« Sur ce sujet qui touche à la fois à la lutte contre la pollution, à la pratique sportive, à la qualité de vie et à l’attractivité du territoire, l’ambition du Doubs est claire : miser sur le développement de ces nouvelles mobilités, pour en garantir la pratique en toute sécurité Â» précise le Conseil Départemental.

Les projets en questionsse situent dans le Grand Besançon avec une liaison entre la piscine de Chalezeule et l’eurovéloroute à Chalèze, 1 km de voie en site propre d’ici 2019, une autre liaison entre Champagney, Champvans-les-Moulins et Pouilley-les-Vignes, 700 m de voie en site propre d’ici 2018 et une autre liaison entre Roche-lez-Beaupré et Novillars, 500 m de voie en site propre d’ici 2019.

Pour la Communauté de communes des 2 vallées vertes, ce sera un aménagement de la voie verte entre Montagney-Servigney et Bonnal, 8,5 km de voie en site propre d’ici 2019. La Communauté de communes des Portes du Haut-Doubs verra la création d’une voie cyclable entre Valdahon et Vercel, 4,5 km en site propre d’ici 2020.

Pays de Montbéliard agglomération aura une liaison entre Bart et Presentevillers, près de 2 km de voie en site propre d’ici 2019, une autre au cœur de bourg Bavans, 700 m de voie en site propre d’ici 2020 puis, une liaison Montbéliard et Nord agglomération, 1 ère tranche de 2 km de voie en site propre d’ici 2020, 2 ème tranche de 700 m de voie en site propre d’ici 2021.

Frasne bénéficiera de l’aménagement de pistes cyclables partagées, près d’1 km de voie en site propre d’ici 2018. A L’Isle-sur-le-Doubs ce sera la Liaison eurovéloroute 6 à Bourlier, 550 m de voie en site propre d’ici 2020. Pour le Pays de Clerval, l’aménagement de voies douces, 2,7 km de voie en site propre d’ici 2019 et à Sancey, l’aménagement de modes doux et cyclables, près de 2 km de voie en site propre d’ici 2019 tandis qu’enfin à Voujeaucourt une piste cyclable Henriette Barbier, 700 m de voie en site propre sera en place d’ici 2020. 

Le collectif Renard Doubs se mobilise depuis plusieurs mois pour défendre l’avenir du renard dans le Doubs pour les trois prochaines années.

Le Préfet du Doubs va décider d’ici quelques semaines s’il maintient le renard dans la catégorie des animaux « nuisibles Â» ou non.

Actuellement le Doubs compte 20 000 renards, le collectif explique que « si le renard est maintenu dans la catégorie des animaux nuisibles, 4 000 d’entre eux seront tués chaque année Â».
Depuis 6 mois le collectif s’engage pour informer au maximum la population sur l’avenir de cet animal.

Trois nouvelles conférences vont avoir lieu cette semaine. Rendez-vous demain à 20h30 à la Maison de la Réserve à Labergement-Sainte-Marie pour vous informer sur cette problématique. La deuxième conférence est programmée mercredi à 20h30 à la salle des associations des Fourgs, et une dernière conférence est organisée vendredi 2 novembre à 20h15 à la salle des fêtes de Mouthe.

Ce lundi 29 octobre, c’est la journée mondiale de l’AVC. Partout en France, des actions sont menées pour sensibiliser le grand public et l’informer sur les risques et les signaux d’alerte. A Besançon, les bénévoles de l’association France AVC sont allés à la rencontre de la population à l’hôpital Jean Minjoz. Chaque année, on recense 150.000 AVC en France. 80% d’entre eux touchent des personnes de plus de 60 ans. Entre 1000 et 2000 cas sont recensés chez les jeunes enfants .

Des maux de tête, des troubles de la vision ou du comportement, affectant par exemple la parole, une paralysie ou un engourdissement d'une partie ou de la moitié du corps, … sont autant de signaux qui doivent alerter. Il est impératif d’agir rapidement. Dans ce cas, il convient d’appeler le 15. Plus l'AVC est pris en charge rapidement, plus la vie du patient peut être sauvée et plus les séquelles seront limitées. L’hypertension artérielle, le diabète, le cholestérol, la tabac, l’alcool, l’obésité, … font partie des principaux facteurs de risque. Alors pour essayer de se prémunir, il convient d’adopter une bonne hygiène de vie. Cela passe notamment par l’alimentation et la pratique d’une activité physique régulière. Une pratique sportive d’une quarantaine de minute chaque jour est recommandée. Une bonne marche s’avère suffisante.