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Depuis que la sécheresse est au cœur de toutes les préoccupations, les zones humides en général et les tourbières en particulier attirent la curiosité du grand public. Les professionnels de l’environnement eux s’y interessent de près depuis bien longtemps en essayant comme à Lamoura de réhébiliter ces sites.

« L'exploitation passée de ces milieux pour la tourbe leur a été néfaste, au détriment d'une biodiversité extraordinaire ! Il est parfois nécessaire d'effectuer des travaux pour redonner à ces tourbières un fonctionnement plus naturel Â» explique le conservatoire d’espaces naturels de Franche-Comté

Rappelons que dans le massif jurassien, les tourbières font partie des paysages caractéristiques. Des milieux très fragiles qui abritent des espèces animales et végétales peu communes dans des habitats spécifiques.

En plus d’être de véritables musées vivants où sont conservés des types de milieux et d'espèces en voie de disparition (faune et flore spécifiques), ces tourbières ont une valeur hydrologique remarquable puisqu’elles s'intègrent à des zones humides qui participent à l'équilibre hydrologique de nos régions. « Comme une grosse éponge, elles retiennent l'eau et la redistribuent tous les mois de l'année d’où un intérêt accru en périodes d'inondations et de sécheresse Â».

A la tête de l’équipe de France féminine de Tchoukball depuis quelques semaines, le pensionnaire du club de Valdahon Sylvain Flizot se doit comme tout sélectionneur de réunir ses troupes pour préparer les prochaines échéances européennes et mondiales. En l’occurrence donc les filles mais aussi les garçons.

Et pour cela, il faut pouvoir disposer d’infrastructures adéquates et jongler avec le calendrier. Ainsi lance-t-il via les réseaux sociaux un appel : « Je suis à la recherche d'un gymnase afin d'accueillir les équipes de France Féminine et masculine de Tchoukball le Samedi 10 Novembre de 13h à 18h Â».

Avis donc à tous les élus qui pourraient accueillir sur leur territoire le gratin français du Tchoukball !

A compter du 9 décembre prochain, de nouveaux horaires seront mis en place sur le réseau ferroviaire en Bourgogne Franche-Comté. Pour la FNAUT, la Fédération nationale des associations d’usagers des transports, cette nouvelle organisation a «  du bon et … du moins bon ! Â».

Parmi les bonnes nouvelles : la réouverture de la ligne Belfort/Delle à compter du 9 décembre, avec une infrastructure totalement rénovée et désormais électrifiée. Un aller-retour supplémentaire sur la ligne Morteau-La Chaux-de-Fonds est également annoncé. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, la fédération se félicite du financement des infrastructures avec l’installation sur les voies suisses, jusqu’à la Chaux-de-Fonds, du système de sécurité français dit KVB ( contrôle de vitesse par balise). Ce qui va permettre à n’importe quel autorail SNCF X73500 de circuler en Suisse.

La ligne Pontarlier/Frasne/Vallorbe

C’est l’une des préoccupations de la FNAUT. « Avec un seul aller-retour dans la journée Â», l’inquiétude est grande. « S’il n’y a pas un vigoureux sursaut de tous et en particulier des élus locaux pour réclamer au Conseil régional, une desserte à la hauteur des enjeux, c’est l’avenir même de la relation qui est menacé Â» explique le collectif. Autre agacement, la suppression de l’unique relation TGV Strasbourg/Marseille, desservant Lons-le-Saunier en milieu de journée. Il est expliqué que « ce TGV était le dernier train longue distance Nord/Sud passant par Lons et Besançon Viotte Â». La fédération nationale des associations d’usagers des transports évoque pourtant « un TGV rentable, avec un excellent taux de remplissage Â». Selon le collectif, « la SNCF justifie cette suppression par les importants travaux d’agrandissement de la gare de Lyon Part-Dieu. Et ce, pour trois ans. Mais les responsables ne se font guère d’illusion sur la réapparition de cette ligne après la fin de ce chantier.

Ce dimanche 11 novembre, à l’occasion de la commémoration du centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale, 550 militaires issus de 11 unités participeront aux prises d’armes dans les quatre départements.

Ainsi, le 19è régiment du génie et le 6è régiment du matériel de Besançon, le 13è régiment du génie de Valdahon, le 1er régiment de Bourogne, le 35è régiment d’infanterie de Belfort, mais aussi les groupements de soutien des bases de Défense stationnés dans le Doubs, la Haute-Saône, le Jura et le Territoire de Belfort, ainsi que les états-majors de la 1ère division et de la 7è brigade blindée seront mobilisés dans l’une des 39 communes qui en ont fait la demande dans les délais.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Un accident de chasse s’est produit ce dimanche après-midi à Villers-les-Bois (39). La victime, un chasseur, a été blessée par un éclat. A l’arrivée des secours, l’homme souffrait d’un traumatisme crânien. Il a été évacué sur l’hôpital de Dole. « Sa blessure n’est que superficielle Â» ajoute le quotidien jurassien, qui précise « que les gendarmes se sont rendus sur les lieux Â».

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