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Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été apelés aujourd'hui pour un accident de la route sur la RN57. 

Un seul véhicule est impliqué, l'accident a s'est produit dans le sens Vesoul - Besançon. 

Une personne a été éjectée de son véhicule. 

Les secours sont sur place. 

Depuis la démission de Nicolas Hulot du gouvernement en septembre dernier, la mobilisation autour de la question climatique fait de plus en plus entendre sa voix.

En Franche-Comté, les associations Go Zéro Déchets, ou encore les collectifs Il Est Encore Temps ont décliné à l’échelle locale des CleanWalk, le Climate Friday ou encore les grandes marches pour le climat mensuelles.

Il y a un mois de nombreux influenceurs (Youtubeurs, blogueurs etc.) ont lancé la campagne « On est Prêt Â». "On est prêt à agir pour la planète, pour le climat avant qu’il ne soit trop tard". Tout au long de la campagne des astuces ont été données en ce sens, par exemple remplacer les gobelets en plastique par une tasse, nettoyer sa boîte mail ou encore remplacer les bouteilles en plastique par une gourde réutilisable.

Ces personnalités publiques ont décidé de terminer cette campagne en frappant un grand coup. McFly et Carlito, Marion Cotillard, Juliette Binoche, Cyril Dion ou encore Elie Semoun ont décidé d’attaquer l’état français en justice pour inaction sur les enjeux climatiques. 

Tous réunis derrière quatre organisations, Notre Affaire à tous, la Fondation pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France et Oxfam France, ils lancent l’affaire du siècle. Cette idée très sérieuse a déjà vu le jour aux Pays-Bas par exemple, ou l’état a été condamné à réduire d’un quart les émissions de CO2 par rapport à 1990.

Les quatre organisations attaquent l’Etat français en justice, et appellent à soutenir l’opération en signant la pétition qui a déjà recueilli plus de 800 000 signatures en l’espace de 24h, vous pouvez signer en suivant le lien suivant : L'Affaire du Siècle

Le Rectorat de Besançon le confirme dans un communiqué de presse. Le Conseil Technique Académique qui s’est tenu hier à Besançon a décidé de maintenir la spécialité « Sciences de l’ingénieur Â» au lycée Paul Emile Victor de Champagnole. En conséquence, « la localisation de la spécialité Numérique et sciences informatiques va faire l’objet d’une étude complémentaire Â».

Dans un souci de préserver le dialogue social, Jean-François Chanet, le recteur de l’académie de Besançon, se rendra ce jeudi 20 décembre dans les lycées Ferdinand Fillod de Saint-Amour, Victor Considérant de Salins-les-Bains et Paul Emile Victor de Champagnole pour rencontrer les élus et les équipes pédagogiques. Il fera un déplacement identique le 11 janvier au lycée du Bois de Mouchard.

Dans son courrier au conservateur du Musée des Beaux Arts de Besançon, Sylvain Ducret souligne que le musée inauguré le mois dernier par le Président de la République est à ses yeux comme à ceux de nombreux ornanais, magnifique.

« Il n’est pas surprenant que les visiteurs ornanais portent un regard particulièrement attentif à tout ce qui est fait pour introduire les curieux à l’œuvre de leur concitoyen, surtout quand on sait que le Musée a rouvert ses portes moins de deux mois avant le début de l’année 2019 Â» poursuit l’élu. Et c’est là qu’un problème survient… Alors qu’en 2019 sera célébré le bicentenaire de la naissance de l’artiste à Ornans, le Musée de Besançon affiche en effet à l’entrée d’une salle consacrée au peintre: « Courbet, le bisontin ». Message confirmé en anglais et en allemand.

Stupeur à Ornans ! Â« Vous me permettrez de vous dire que cette affirmation frise le ridicule, et ne manquera pas d’interpeler les connaisseurs sur votre sens de l’histoire. Est-il besoin de vous rappeler que Courbet n’a pas passé plus de cinq ans de sa vie de lycéen au Collège royal de Besançon, qu’il n’a eu de cesse d’obtenir de ses parents l’autorisation (ainsi que les moyens) de monter à Paris, qu’il les a obtenus avant d’avoir vingt ans Â» explique le maire d’Ornans dont la colère ne faiblit pas au fil des lignes. « Les grandes villes comme Besançon ont la grotesque manie d’accaparer tous ceux qui y passent quelques années de leur vie, et il eut sans doute été beaucoup plus juste de dire « Courbet, le Parisien ». Ce n’est pourtant pas ce que dit le Musée d’Orsay Â».

Conclusion tout aussi cinglante qui égratigne non seulement le musée mais aussi au passage la ville… « La forme de kleptomanie à laquelle vous avez accepté de vous prêter, en préférant « Bisontin » à « Ornanais », ne fait honneur ni à votre ville ni à son Musée. Nous ne manquerons pas de le rappeler aux nombreux visiteurs que nous attendons l’année prochaine, en leur parlant de l’attachement de Courbet pour le pays d’Ornans, et de l’absence de tableau connu représentant Besançon, signé de la main du maître d’Ornans Â».