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Environ 650 personnes ont manifestent ce samedi à Besançon. Le cortège est parti de la place de la Révolution. Les revendications ne changent pas. Le pouvoir d’achat, le RIC, la démission d’Emmanuel Macron ou encore une meilleure justice sociale sont au cœur des revendications. Ce samedi, les discussions portaient également sur les violences policières et la blessure d’un gilet jaune samedi dernier, le 2 février, par un tir de LBD.

Une pétition

Avant de prendre le départ, plusieurs gilets jaunes ont également fait signer une pétition. Dans le viseur, une lettre du préfet adressé à l’un d’eux, en l’occurrence Frédéric Vuillaume, bien connu dans le milieu syndical, notamment à Force Ouvrière. Selon les manifestants, le représentant de l’état lui a adressé un courrier, lui signifiant qu’en tant que leader du mouvement bisontin, il était responsable des évènements qui s’y produisaient. Suite à cet écrit, le collectif est monté au créneau et a fait passer une pétition, expliquant que les gilets jaunes n’avaient pas de responsable et que Frédéric Vuillaume ne les représentait pas. Le document sera prochainement adressé à Mr Mathurin. Pour Mr Vuillaume, le Préfet « entend faire pression et l’interdire de manifester Â». « Je ne fais rien de mal. C’est un droit. C’est une menace déguisée. Alors que l’on est pas encore dans la loi casseur, c’est incroyable de déjà recevoir ce genre de courrier à Besançon» conclut-il.

Les choses sont désormais très claires. Dans un communiqué de presse, les élus et adhérents bisontins de la République en Marche soutiennent la candidature d’Eric Alauzet pour l’élection municipale de 2020. Les élus entendent poursuivent leurs responsabilités lors du prochain mandat avec lui. Ils en profitent pour rappeller « leur soutien sans faille Â» à Jean-Louis Fousseret.

Ils pensent « qu’Eric Alauzet occupe le positionnement adéquat et réunit les qualités pour rassembler au-delà des clivages Â». Ils entendent ainsi « ne plus reproduire le classique et habituel affrontement binaire, trop souvent formel, qui fait affronter la droite et la gauche dans un combat parfois caricatural Â». Et ainsi, « construire un projet politique autour de valeurs communes de progrès et d’innovation, réunissant des socio-démocrates, des écologistes, des centristes, du monde associatif et plus largement de ce que l’on nomme la société civile Â».

Selon eux, Mr Alauzet a les qualités et l’expérience nécessaires pour devenir le futur maire de Besançon. Il demande à la commission d’investiture nationale de la République en Marche de prendre acte de leur choix. Le communiqué de presse est signé par 25 élus, militants et responsables départementaux. Parmi lesquels : La députée Fanette Charvier et Pascal Curie, Danielle Dard, Danielle Poissenot, Karima Rochdi, Dominique Schauss, Rémi Sthal, Catherine Thiébaut et Gérard Van Helle, élus au conseil municipal.

La mobilisation se poursuit au collège des Louataux à Champagnole (39). Les enseignants se mobilisent contre la fermeture annoncée de trois classes à la rentrée prochaine. Ce qui porteraient, selon le collectif, à 29 le nombre d’élèves par classe.

Pour dénoncer cette situation, les enseignants seront présents sur la place du marché ce samedi matin de 9h à 12h. Hier, selon le journal « Le Progrès Â», 75% des professeurs de l’établissement jurassien, étaient en grève.

C’est une rencontre que les amoureux de futsal ne manqueront sans doute pas. Ce samedi après-midi, à 15h, le Sporting Futsal de Besançon reçoit le Sporting Paris, qui évolue en 1ère division, pour le compte des 32ès de finale de la Coupe de France de la discipline. Le rendez-vous est donné au Palais des sports Ghani Yalouz.

Le BesAC n’est pas parvenu à confirmer sa victoire contre Orchies le week-end dernier au gymnase des Montboucons.

Hier soir, le groupe de Nicolas Faure s’est incliné sur le score de 76 à 69 contre Get Vosges dans le cadre de la 22è journée de nationale 1.

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