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Un accident s’est produit ce matin, vers 4h45, à Saône. Une voiture et un poids-lourd se sont percutés. On déplore un blessé léger qui a été transporté sur l’hôpital de Besançon.

Un cabanon de 30 m2 a été entièrement détruit par un incendie hier, vers 17h45, à Chaux-les-Passavant (25), avant l’arrivée des pompiers.

Les flammes se sont propagées à un bâtiment agricole annexe. Elles ont été stoppées par les soldats du feu. Cinq moutons ont péri dans cet incendie. Aucune victime humaine n’est à déplorer. Les causes et les circonstances restent inconnues à ce jour.

Environ 600 personnes se sont rassemblées ce mardi soir sur l’Esplanade des Droits de l’Homme à Besançon pour dire non à l’antisémitisme. Ils ont donc été nombreux à répondre à l’appel de Jean-Louis Fousseret, le maire de la ville. Dans l’assistance, des élus, des responsables d’association, le Président de l’Université et des anonymes. Quelques gilets jaunes ont également fait le déplacement.

Jean-Louis Fousseret, le maire bisontin, a voulu un rassemblement sobre, sans prise de parole. C’est la raison pour laquelle une minute de silence a été effectuée, avant de laisser chacun discuter en petit comité. Les 600 personnes présentes sont venues dire leur inquiétude et réaffirmer les valeurs de paix et de tolérance.

Quelques réactions :

Jean-Louis Fousseret ( maire de Besançon)  : « Nous sommes venus dire non à l’obscurantisme, non à l’antisémitisme. Ces 600 personnes sont un très beau témoignage qui montre notre lutte contre ce fléau Â».

Christine Bouquin ( présidente du département du Doubs) : « Nous devons enrayer cette haine. On pensait ne plus revoir cela en France. C’est quelque chose qui n’est plus tolérable. Nous ne voulons plus revoir tout cela Â».

Solange : « Je me réjouis de voir qu’il y a du monde. J’aurais aimé que nous soyons encore plus nombreux. J’ai eu une très forte émotion, jusqu’aux larmes lorsque j’ai appris les dernières violences Â».

Béatrice : « Il y a vraiment des moments où il faut être présent et dire haut et fort ce que l’on pense. Rappeler qu’il y a des choses qui sont inacceptables. Et ce , quelque soient la personne visée, le prétexte ou les analyses Â».

Thomas (23 ans) : « C’est inadmissible tout ce qui se passe en ce moment en France envers cette communauté. Je suis là pour dénoncer ces actes. J’appelle tous les jeunes à venir dénoncer ces faits Â».

A Belleherbe, la mobilisation se poursuit pour dénoncer la fermeture d’une classe à l’école publique à la rentrée prochaine. Ce mercredi midi, un pique-nique se tiendra devant l’école. Un appel est lancé à la population.

Les parents font savoir que, ce vendredi, une délégation, composée de deux élus et deux parents, se rendra à l’inspection académique. Malgré les vacances scolaires, le combat continue dans le Haut-Doubs.

L’info n’est pas vraiment une surprise tant les résultats du Racing Besançon, actuel avant dernier de son championnat en nationale 3, ne sont pas à la hauteur cette saison. Roland Girard ne le cache pas en se séparant de son entraîneur, Alexandre Pepe, il espère une réaction de son équipe. Rien n’est moins sûr, mais le club doit absolument se sortir de l’ornière dans laquelle il se trouve.

Pour les douze derniers matches à venir, le club a confié sa destinée à Jean-Marc Trinita, qui connaît bien le football bisontin pour avoir foulé les pelouses locales avant d'exercer la fonction d'entraîneur. Alexandre Pepe se savait en sursis. Seule la victoire en fin d’année dernière contre Auxerre l’a sauvé, mais les mauvaises performances du début d’année, dont la dernière défaite à Grandvillars, lui ont été fatales.

D’un commun accord, Alexandre Pepe et le Président Roland Girard ont mis un terme à leur collaboration. « On s’est mis d’un commun accord sur une rupture de contrat. Ne trouvant pas la clé du succès, il était impératif d’assurer les intérêts ultimes du club Â» explique Mr Girard. Et de poursuivre : « On a passé un automne catastrophique. On s’était donné jusqu’au dernier match de championnat où l’on a eu le mérite d’enregistrer une victoire probante. On s’est alors dit qu’un déclic s’était produit, et que l’on était reparti. Malheureusement, sur les deux derniers matches qui se sont joués, on retrouve les mêmes scénarios. La revue d’effectif qui a été faite sur le mercato d’hiver n’a pas inversé la donne. Il reste un fusible qui est le coach. On a alors activé ce fusible en accord avec Alex Â». Pour Roland Girard, « le recrutement n’est pas à jeter à 100% Â». Selon lui, « l’osmose attendue ne s’est pas créée, provoquant un manque de confiance au sein de l’effectif Â».

Pour Roland Girard, la décision de changer d’entraîneur est « un coup de poker Â». « Il faut tenter quelque chose pendant qu’il est encore temps. Il reste encore douze matches de championnat Â» conclut le président. Ce samedi, à 18h, le Racing Besançon (13è) reçoit Montceau (2è) pour le compte de la 16è journée de championnat en nationale 3.

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