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Le Festival Grandes Heures Nature se déroulera les 24,25 et 26 juin prochains à Besançon. Soit trois jours dédiés aux activités outdoor. Au programme : un village d’animations et d’exposants, des shows sportifs et des évènements sportifs. Les inscriptions en ligne sont ouvertes sur le site : www.grandes-heures-nature.fr

Après deux éditions annulées en raison de la crise sanitaire, le traditionnel défilé des classes revient en 2022 à Pontarlier. Rappelons qu’avec Villefranche-sur-Saône, la capitale du Haut-Doubs  est la seule ville de France à faire perdurer cette tradition, qui rassemble des milliers de personnes.

Comme chaque année, si les conditions sanitaires le permettent, la fête promet d’être belle. Pour cette nouvelle édition, très attendue, chaque classe d’âge a prévu le plus beau des déguisements. Chez les 50 ans, quelques indiscrétions sont sorties. Les quinquas ont choisi de défiler sur le thème de l’absinthe. C’est un trio qui s’est mobilisé pour faire vivre  ce thème. Qui de mieux que Sébastien Grivet, le président de cette décennie, son conscrit et monsieur absinthe à Pontarlier Fabrice Hérard et l’artiste Gilles Petitjean pour y réfléchir.

Un titre aux sonorités année 80

Les 50 ans ne devraient pas passés inaperçus. Il faut bien admettre que cette génération est souvent celle qui donne le « la Â» à l’évènement pontissalien. Difficile de savoir ce que seront les costumes ce jour-là. Néanmoins, nous savons d’ores et déjà qu’une chanson égaiera leur passage. Contacté par  les gens de sa génération, Fabrice Hérard a tout logiquement accepté le défi qui lui était proposé. Ce dernier a également su trouver les mots pour convaincre Gilles Petitjean, l’artiste pontissalien incontournable, que le groupe « Ivanov Â» et les « Nuits Sans Soleil Â» ont porté au plus haut. Fabrice à l’écriture et Gilles à la composition et au chant ont donné naissance à cet hymne qui retentira le 3 avril prochain.

L’Absinthe d’hier à aujourd’hui

Les deux hommes ne cachent pas leur satisfaction d’avoir pu mener  ce projet. Pour Fabrice, c’est un moyen de continuer à populariser la fée verte et de s’ouvrir à un public moins connaisseur. « J’ai voulu donner du sens à cette initiative. Raconter l’Absinthe d’hier à aujourd’hui en paroles et en musique Â» explique-t-il. Après un temps de réflexion, Gilles a accepté. Lui aussi, ne cache pas sa fierté d’avoir été contacté par les locaux et d’inscrire sa création dans le patrimoine de ce breuvage qui n’a pas fini de nous surprendre. Discret et humble, Gilles Petitjean a prévu de se fondre dans la foule le 3 avril pour apprécier comment le public et les protagonistes s’approprient sa création.

L'interview de la rédaction

La Ville de Pontarlier va renouer ce dimanche avec une grande compétition de judo. Cela fait longtemps que la capitale du Haut-Doubs n’a pas connu pareil évènement. Ainsi, le judo Pontarlier Haut-Doubs s’est vu confier l’organisation des championnats départementaux de la discipline dans la catégorie « benjamin Â». Près de 200 jeunes compétiteurs, venus des quatre coins du département, âgés de 11 et 12 ans, sont d’ores et déjà annoncés.  Les organisateurs donnent rendez-vous au public au dojo départemental pontissalien, qui se situe rue du Toulombief.

Ce rassemblement est l’un des plus importants de ces deux dernières années. La crise sanitaire ayant suspendu de nombreux évènements sportifs. Les sports de combat ont d’ailleurs été particulièrement impactés. « Les clubs ont pris la décision de ne pas prendre trop de risques et de reporter leurs compétitions Â» explique Guillaume Pavé, le trésorier du Judo Pontarlier Haut-Doubs. Et de poursuivre : « nous jeunes judokas pontissaliens sont super contents de pouvoir participer à une telle épreuve Â».

Poursuivre la compétition

A Pontarlier, comme ailleurs, les clubs espèrent que leurs jeunes pousses vont pouvoir s’exprimer et décrocher leur qualification pour les prochaines échéances régionales. La fête promet d’être belle. La jeunesse doubiste aura également à cœur de se montrer à la hauteur pour décrocher les médailles mises en jeu.

L'interview de la rédaction / Guillaume Pavé

 

Les organisateurs ont pris la décision d’annuler la Transju’Jeunes qui devait se tenir le 16 mars prochain dans le massif du Jura. Le faible enneigement sur la station des Rousses et les conditions météo clémentes attendues sont à l’origine de cette décision.

Depuis plus de 30 ans, cet évènement accueille de très nombreux jeunes, âgés de 7 à 19 ans, passionnés de ski de fond. L’organisateur donne rendez-vous à son public en 2023, le 25 janvier plus précisément.

Le comité Mister Universel Bourgogne Franche-Comté lance son casting pour trouver son futur ambassadeur pour le titre de Mister Universel France 2023. L’un d’eux aura peut-être la chance de représenter sa région et de participer à la finale nationale qui se tiendra en fin d’année. Pour participer, les candidats doivent être âgés entre 18 et 30 ans, être résident français ( métropole et outre-mer), être un homme à l’état civil et mesurer 1,75 mètre minimum.

Les inscriptions ont lieu en ligne sur le site du concours à la rubrique "Comment s'inscrire" https://misteruniverselfrance.com/inscription-casting , ou en contactant la délégation régionale directement sur Facebook ou Instagram.

Après deux ans d’absence, en raison de la crise sanitaire, le grand week-end carnavalesque de Besançon fera son retour en avril prochain. Deux belles journées sont au programme.  Cela fait six mois maintenant, malgré les incertitudes que bénévoles et associations se mobilisent pour renouer avec cette ambiance festive collective qui nous a tellement manquée.

Comme ce fut le cas en 2019, le programme se déclinera en deux journées thématiques. Le 16 avril, un temps d’animation est prévu à Granvelle à 13h30. A 20h, place à la soirée Showband, ouverte à tous, avec la possibilité de venir déguiser, à 20h. Enfin dimanche, les festivités débuteront par la course de garçon de café à 13h30. Elle sera suivie par le grand défilé de carnaval à 14h30, avec les traditionnels chars, Guggenmusiks et confettis qui résonneront et seront lancés dans tout le centre-ville.

Pour tout savoir sur cet évènement et s’inscrire (pour les professionnels) à la course de garçon de café, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement : https://www.facebook.com/Comit%C3%A9-des-F%C3%AAtes-du-Grand-Besan%C3%A7on-580173109017290

L'interview de la rédaction : Stéphane Iemmolo, secrétaire général du comité des fêtes de la ville de Besançon

 

En cette année 2022, le Jura célèbre le Bicentenaire de la naissance de Louis Pasteur. Les festivités ont déjà été lancées, avec la publication d’un timbre à son effigie, mais d’autres riches moments sont à venir. Plusieurs acteurs culturels et scientifiques locaux sont engagés dans cette initiative.  Associations, collectivités et bien évidement l’établissement public de coopération culturelle « Terre de Louis Pasteur Â» déclinent un programme qui devrait permettre à tout un chacun de mieux connaître le père de la vaccination, ses travaux et leur répercussion et leur impact dans le contexte sanitaire et environnemental actuel.

Un programme en trois temps

L’établissement public, qui gère la maison de Louis Pasteur à Arbois, la maison natale à Dole et un service pédagogique « les ateliers Pasteur Â», a prévu un programme en trois temps, avec un contenu associant Pasteur et des problématiques contemporaines. Trois quinzaines ont été pensées. Début avril, seront évoqués les ferments technologiques à Poligny.  Ce temps se déroulera sous la forme de colloques, de rencontres, de cafés scientifiques, avec des chercheurs, et d’ateliers. La quinzaine de juin s’attardera sur  Â« les illustres Â». Une démarche plus patrimoniale, qui met en lumière ce label, accordé par le ministère de la culture aux deux maisons jurassiennes, mais dont bénéficient également d’autres sites partout en France. A cette occasion, une exposition digitale sur « Pasteur à 20 ans Â» sera lancée. Enfin, cet automne, le thème des microbes sera abordé. Une réflexion plus scientifique qui mettra en perspective les enjeux sanitaires et environnementaux du moment et les travaux des chercheurs. « La science n’est pas qu’affaire de spécialistes. Nous sommes dans une situation d’urgence. Ce Bicentenaire est également organisé pour donner à chacun de la nourriture intellectuelle pour prendre des décisions personnelles, politiques et citoyennes Â» conclut Sylvie Morel, directrice de l’établissement public de coopération culturelle « Terre de Louis Pasteur Â».

Toutes les informations utiles sont à découvrir sur le site : www.terredelouispasteur.fr

L'interview de la rédaction

 

Du 12 au 27 mars, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée de Pontarlier rendra hommage "à ce bon vieux cinéma populaire des années 50" à travers une exposition d’affiches de cette riche période. Réalisée à la Chapelle des Annonciades de Pontarlier, celle-ci sera l’occasion de mettre en lumière ce cinéma oublié de grande qualité. André Chevailler, ancien Directeur de la Section Iconographique de la Cinémathèque Suisse, en sera l'Invité d'Honneur.

Plus de 80 affiches seront exposées. Précisons également qu’un cahier d’exposition a été édité pour l’occasion et qu’une vente d’affiches anciennes de cinéma sera assuré. Enfin, le 18 mars, à 21h, le public pourra découvrir ou redécouvrir « l’Auberge Rouge Â», avec Fernandel et François Rosay, au cinéma Olympia de Pontarlier.

A compter de la semaine prochaine, et durant la période basse (février et mars), la Citadelle de Besançon a choisi de proposer et d’organiser une série d’animations et d’ateliers créatifs pour permettre au public de réinvestir les lieux. Certaines personnes sont des habituées du monument de Vauban. D’autres, intéressées par la programmation proposée, ont choisi de franchir le pas et d’en profiter pour déambuler sur le site historique bisontin.

Pour cette première initiative, qui devrait en appeler d’autres, il sera possible de participer à de multiples ateliers créatifs qui permettront d’apprendre à confectionner un savon, à brasser sa propre bière, de prendre des cours de pâtisserie autour du chocolat, à cuisiner au temps de Vauban ou encore à broder, à coudre,… .

D’autres rendez-vous à vivre en famille

En parallèle de ces riches moments, il sera également possible de participer à un atelier autour du lynx boréal ( les samedis et dimanches du 19 au 27 février à partir de 14h30), une visite découverte de la Citadelle au 17è siècle et une visite autour de créatures fabuleuses (dimanche 20 février à 15h).

Toutes les personnes qui souhaitent obtenir des informations supplémentaires peuvent les obtenir en se rendant sur le site internet www.citadelle.com (rubrique agenda).

L'interview de la rédaction/ Céline Colbach, chargée de l'évènementiel à la Citadelle de Besançon

 

Cela fait partie des bonnes nouvelles de cette fin de semaine. Les discothèques peuvent enfin rouvrir leur porte et accueillir leur public après deux mois de fermeture. La décision a été prise le 10 décembre dernier et le gouvernement a repoussé à trois reprises ce moment tant attendu.

Marc Vernier, le patron de « la Première Â», la discothèque de Pontarlier, espère que ces restrictions seront les dernières. Marc veut tourner la page et repartir de plus belle. D’ailleurs, dès ce jeudi soir, l’établissement renoue avec ses belles soirées. Le responsable l’assure, la programmation s’inscrit dans une nouvelle dynamique que tout un chacun peut apprécier en se connectant sur les réseaux sociaux et le site internet de la discothèque. « On espère vraiment tourner la page définitivement.  Si des cas venaient à revenir, il faut espérer que des décisions plus appropriées soient prises Â» explique M. Vernier. Et de poursuivre : «  Il faut également espérer que cela ne se reproduira plus pour le côté financier de la discothèque et le moral Â».

Quelles mesures appliquées ?

Les protocoles sont tombés. Comme il se doit, « La Première Â» les appliquera. Le port du masque est conseillé, mais pas obligatoire. Le pass vaccinal sera de rigueur, mais à Pontarlier, comme ailleurs, en raison de l’amélioration de la situation, on espère, comme cela se dessine en Suisse et dans d’autres pays européens, que cette obligation sera rapidement suspendue. Marc Vernier a retrouvé le sourire. Il n’est sans doute pas le seul. Les nombreux fêtards du Haut-Doubs et de Suisse voisine auront sans doute plaisir à retrouver les pistes de danse de la structure pontissalienne dès ce week-end.

L'interview de la rédaction / Marc Vernier