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Hier, en début d’après-midi, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus, à Villers-le-Lac pour un feu de végétation en falaise. Le sinistre s’est propagé sur une surface de 400 m2. Une équipe feux de forêt et d’intervention en milieux périlleux se sont rendues sur place. Un point chaud, qui se trouvait dans un endroit difficile d’accès, doit être traité ce vendredi matin.


Ce n’est pas un scoop. La violence gangrène notre société. Un contexte qui fait rage dans notre quotidien. Si les réseaux sociaux sont connus pour y lire un déversement de haine sans pareil, si les élus ne sont pas épargnés, si les médias et les journalistes en prennent également pour leur grade, d’autres professions sont également régulièrement la cible de violences physiques et verbales. Rencontre avec Nadine Bodin-Brotelande, pharmacienne à Belfort et présidente du syndicat pharmaceutique de France, le syndicat majoritaire de la profession, en Franche-Comté.

Depuis 2019, dans la région, le nombre d’agressions dans les pharmacies de Bourgogne-Franche-Comté ne cesse de progresser. En 2022, 22 agressions ont été déclarées, mais elles pourraient être plus importantes. Tous les moyens sont utilisés : agressions physiques et verbales, sans oublier les vols. La période Covid-19 a accentué le phénomène. Mais ce dernier reste toujours d’actualité, alors que la maladie est désormais beaucoup plus discrète. La peur de la crise sanitaire a laissé place à d’autres facteurs que sont la rupture de médicaments, l’inflation ou encore l’impatience grandissante.

La peur d’exercer

La peur est devenue une réalité. Face à cette situation, qui semble prendre de l’importance, les pharmaciens assurent leur sécurité. « On fait en sorte de se protéger dans les équipes. Nous mettons en place des systèmes d’alarme ou d’appel direct vers les secours Â» explique Mme Bodin-Brotelande. Et de poursuivre : « la peur existe vraiment. Nous prenons nos gardes avec beaucoup de vigilance. On redouble de vigilance la nuit ». Le message de prévention reste toujours le même : trouver des moyens pour se protéger, travailler à plusieurs et déclencher des leviers pour alerter les secours au plus vite.

L'interview de la rédaction / Nadine Bodin-Brotelande

 

 

Les sapeurs-pompiers ont porté secours hier soir, vers 20h30, dans les bois à Thise, à une femme de 54 ans qui a chuté en VTT. Gravement blessée, elle a été prise en charge au moyen d’un véhicule 4X4, avant d’être transportée, médicalisée, en ambulance, sur l’hôpital Minjoz.

Hier soir, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Fournet-Blancheroche pour une surchauffe de fourrage agricole. 120 tonnes de vrac et 28 tonnes de balle ronde ont été déplacés et refroidis naturellement sous la protection de deux lances à incendie, établies en prévention. L’apparition d’une fissure sur le bâtiment a nécessité l’intervention d’un détachement de l’équipe du risque bâtimentaire sur les lieux pour lever un éventuel doute d’effondrement. L’action rapide des secours a permis de préserver la salle de traite,  située sous le hangar.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus cet après-midi à Lomont-sur-Crête pour un feu de garage dans une maison individuelle. Une lance a été déployée par les secouristes. Deux personnes, le propriétaire de l’habitation et une témoin,  intoxiquées par les fumées,  ont été vues par les sapeurs-pompiers. Le propriétaire a été transporté sur le CHU Minjoz. L’autre personne a souhaité rentrer chez elle, sous la surveillance d’un ami. Les propriétaires ont été relogés dans leur famille, en attendant l’avis de l’expert en assurance.

Une enquête est en cours à Besançon. Le 10 juin, un jeune homme de 18 ans et son passager ont été interpellés rue de Dole à Besançon après une course poursuite. Ces derniers étaient à bord d’un véhicule Mercédès volé. Lorsqu’ils ont été pris en chasse par les policiers, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule. Ils ont quitté la voiture avant d’être rattrapés.

Au cours de leur audition, le passager a indiqué qu’il ne savait pas que son ami n’avait pas le permis et que le véhicule était volé. Le conducteur déclara qu’il avait agi pour le compte d’un commanditaire afin de déplacer le véhicule pour la somme de 350 euros. Il a reconnu conduire sans permis, mais nia connaître le fait que l’automobile  Ã©tait déclarée volée.

La Préfecture du Jura fait savoir que le Préfet du département a autorisé, pour une durée de trois mois, renouvelables, l’utilisation de drones par le groupement de gendarmerie départementale du Jura pour le secours à personne. La captation, l’enregistrement et la transmission d’images au moyen de caméras sur des aéronefs est donc provisoirement légal. Pour le représentant de l’état, cette décision vise à améliorer les modalités d’intervention. Et ce, « dans un contexte d’afflux touristique en période estivale Â».

Les policiers de Pontarlier étaient requis ce dimanche pour des violences sur conjoints sans ITT. Une femme violente s’en serait prise à son conjoint en le giflant à plusieurs reprises. Lorsque les policiers ont pénétré au sein de l’appartement du couple, ils ont remarqué la présence de 5 barrettes de cannabis sur la table de la cuisine. L’homme a indiqué que les stupéfiants lui appartenaient et qu’il s’en servait pour sa consommation personnelle. Il s’agissait d’environ 10g de résine de cannabis. La femme a reconnu les gifles mais son compagnon n’a pas souhaité déposer de plainte. Ils seront convoqués prochainement devant la justice.

Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Ce dernier, qui circulait dans une voiture volée, a pris la fuite, alors qu’il était impliqué dans un accident de voie publique. Les faits ont été commis, vers 4h, rue Denfert Rochereau dans la nuit de dimanche à lundi. Au commissariat, il est apparu qu’il conduisait sous l’effet de l’alcool.

Il présentait un taux de 0,60 grammes d’alcool dans le sang. Il occupait une voiture volée. Par ailleurs, un gramme de résine de cannabis et 365 euros ont été découverts sur lui. Le propriétaire expliqua aux policiers qu’il avait été gazé sur le parking Battant et que deux individus lui avaient dérobé ses clés. Au cours de son audition, le malfrat présumé déclara qu’une connaissance « lui avait passé le véhicule et qu’il ne savait pas qu’il avait été volé Â».