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L’université de Franche-Comté vient de se voir confirmer le label Marianne, qui lui avait été accordé en février 2020. Ce dernier reconnaît la qualité des services et de l’accueil dans ses dix bibliothèques universitaires.

Ce label certifie que les douze engagements du référentiel Marianne sont tenus sur le long terme. Ils sont regroupés en cinq rubriques thématiques : information et orientation, accueil, réponses, écoutes des publics, formation et implication des agents. Ce label est délivré pour trois ans par des organismes certificateurs indépendants.

Eric Monnin, vice-président à l’olympisme de l’université de Franche-Comté, a présenté ce matin la torche olympique des Jeux de Tokyo 2020, à la maison de l’université à Besançon. Il a été choisi par le Comité International Olympique pour être relayeur officiel de la flamme olympique, d’Olympie en Grèce jusqu’à Tokyo au Japon.

Une expérience honorante

« C’est un immense honneur, et surtout c’est un immense honneur de garder le flambeau de la torche olympique ». Eric Monnin est le seul français à participer au relais de la torche olympique. Nec plus ultra, il aurait dû être le 132e et dernier relayeur en Grèce, dans l’agora d’Athènes le 18 mars, avant qu’elle s’envole pour Fukushima le lendemain. Pour des raisons sanitaires, le parcours a dû être annulé. 

Une torche à la pointe de la technologie

La torche olympique est un objet légendaire. Ils sont peu, ceux qui ont eu la chance de la voir, et encore moins nombreux ceux qui ont pu la tenir. Cette année, pour faire honneur au savoir-faire japonais, elle n’est plus qu’un objet d’art mais bien un objet de haute technologie. Composé d’une seule feuille d’aluminium sans soudure, une première, elle fonctionne sur un système à double combustion : une thermique, pour créer la flamme, et une catalytique, pour lui donner la couleur orange. Malgré tout une torche très légère, 71 centimètres de hauteur pour seulement 1,2 kg. La flamme olympique se trouve aujourd’hui dans la préfecture de Niigata, au Japon, avant d’arriver lors de la cérémonie d’ouverture à Tokyo le 23 juillet.

 

Eric Monnin au micro de Pleinair

Depuis le 25 mai, les étudiants et jeunes diplômés de moins de 3 ans peuvent demander le Statut National d’Étudiant Entrepreneur (SNEE). Ce statut leur permet de construire un projet et de bénéficier d’un accompagnement pendant 1 an. Cet accompagnement sera composé de plusieurs études :

  • du marché, et de l’environnement stratégique et concurrentiel
  • du plan d’action
  • des conditions de faisabilité financière du projet
  • du modèle d’affaires et du pitch
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