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Jeudi et vendredi pour les scolaires et tout au long du week-end pour le grand public, l’université de Franche-Comté organise « la fête de la science Â» sur le campus de la Bouloie à Besançon. A travers cette manifestation, l’organisateur veut démocratiser les sciences pour les rendre le plus accessible possible.

FETE SCIENCE 4

Les chercheurs et autres intervenants rendent ces domaines, qui parfois peuvent paraître élitistes, accessibles au plus grand nombre. La biologie, la chimie, la physique, les mathématiques, les langues, les sciences humaines, … . Le spectre est large et chacun peut découvrir, toucher, pratiquer, sentir,…. . Jérémy Querenet, médiateur scientifique à l’université de Franche-Comté, explique que ‘l’important n’est pas de tout comprendre et de maîtriser Â», mais « d’ouvrir tous les esprits à ces domaines qui animent notre quotidien Â». Mr Querenet reconnaît la capacité d’adaptation des intervenants, qui savent s’adresser à leur public, qu’il s’agisse d’enfants, d’adolescents, d’adultes néophytes ou disposant de connaissances.

L'interview de la rédaction

 

Pour tout savoir sur cet évènement : https://www.fetedelascience.fr/venez-faire-le-plein-de-science-besancon

FETE SCIENCE 1

L’université de Franche-Comté met tout en Å“uvre pour aider et soutenir la communauté universitaire afghane, notamment grâce au programme PAUSE. Ce programme a pour objectif d'accueillir et de protéger des chercheurs originaires de pays où la situation politique met leurs travaux et leurs familles en danger. L’établissement bisontin indique que «  ce programme est ouvert à tous les membres de la communauté universitaire afghane qui en feraient la demande Â».

Une mauvaise nouvelle pour Besançon. Selon le dernier baromètre de l’Etudiant, la cité comtoise perd 5 places et se positionne en 25è position au classement des villes étudiantes françaises. Elle apparaît en 8è position dans la catégorie grandes villes. La rédaction a passé au crible 43 villes universitaires dans de nombreux domaines tels que le  logement, les études, les sports, les sorties, la culture, les transports, … . Besançon est 33è pour son attractivité, 19è en termes de formation, 23è pour son cadre de vie et 15è pour l’emploi.

Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, et la fragilité financière dans laquelle se trouvent les étudiants, le syndicat La Fage a communiqué ce lundi son baromètre du coût de la rentrée. Il en ressort qu’en moyenne les jeunes devront dépenser plus de 2.390 euros pour débuter leur année universitaire. Cette nouvelle augmentation s’explique une nouvelle fois encore par la hausse des prix relatifs au loyer, mais d’autres facteurs entrent en ligne de compte, comme les transports, le matériel pédagogique, comme l’achat d’un équipement informatique,  le téléphone et internet. Des impondérables auxquels s’ajoutent l’achat de masques de protection. Le tout sans revalorisation des bourses. Ca fait beaucoup.

La fin du repas à un euro

Il est vrai que l’information est passée quasiment inaperçue cet été.  Le gouvernement a suspendu le ticket à 1 euro dans les restaurants universitaires. A la CGT, on dénonce ce contexte. « Nous sommes très inquiets car  il n’y pas de décisions prises pour améliorer la situation Â» explique Wiam Bama, secrétaire CGT salarié étudiant dans le Doubs. Pour l’heure, le syndicat s’interroge également sur la forme que prendra la future rentrée universitaire. Cours en présentiel ou en distanciel ? En fonction de la situation sanitaire du pays, des décisions seront prises. « Certains doyens ont pris la parole. Ils ont annoncé une rentrée en présentiel, mais en fonction des annonces gouvernementales d’autres décisions pourraient être prises, comme une alternance entre les deux modes d’enseignement Â» conclut Wiam Bama, qui craint de nouvelles difficultés. Le syndicat reste vigilant. D’autant plus qu’il constate une banalisation des  cours en visioconférence dans certaines filières.

L'interview de la rédaction : Wiam Bama, secrétaire CGT salarié étudiant dans le Doubs.

 

L’université de Franche-Comté vient de se voir confirmer le label Marianne, qui lui avait été accordé en février 2020. Ce dernier reconnaît la qualité des services et de l’accueil dans ses dix bibliothèques universitaires.

Ce label certifie que les douze engagements du référentiel Marianne sont tenus sur le long terme. Ils sont regroupés en cinq rubriques thématiques : information et orientation, accueil, réponses, écoutes des publics, formation et implication des agents. Ce label est délivré pour trois ans par des organismes certificateurs indépendants.

Eric Monnin, vice-président à l’olympisme de l’université de Franche-Comté, a présenté ce matin la torche olympique des Jeux de Tokyo 2020, à la maison de l’université à Besançon. Il a été choisi par le Comité International Olympique pour être relayeur officiel de la flamme olympique, d’Olympie en Grèce jusqu’à Tokyo au Japon.

Une expérience honorante

« C’est un immense honneur, et surtout c’est un immense honneur de garder le flambeau de la torche olympique Â». Eric Monnin est le seul français à participer au relais de la torche olympique. Nec plus ultra, il aurait dû être le 132e et dernier relayeur en Grèce, dans l’agora d’Athènes le 18 mars, avant qu’elle s’envole pour Fukushima le lendemain. Pour des raisons sanitaires, le parcours a dû être annulé. 

Une torche à la pointe de la technologie

La torche olympique est un objet légendaire. Ils sont peu, ceux qui ont eu la chance de la voir, et encore moins nombreux ceux qui ont pu la tenir. Cette année, pour faire honneur au savoir-faire japonais, elle n’est plus qu’un objet d’art mais bien un objet de haute technologie. Composé d’une seule feuille d’aluminium sans soudure, une première, elle fonctionne sur un système à double combustion : une thermique, pour créer la flamme, et une catalytique, pour lui donner la couleur orange. Malgré tout une torche très légère, 71 centimètres de hauteur pour seulement 1,2 kg. La flamme olympique se trouve aujourd’hui dans la préfecture de Niigata, au Japon, avant d’arriver lors de la cérémonie d’ouverture à Tokyo le 23 juillet.

 

Eric Monnin au micro de Pleinair

Depuis le 25 mai, les étudiants et jeunes diplômés de moins de 3 ans peuvent demander le Statut National d’Étudiant Entrepreneur (SNEE). Ce statut leur permet de construire un projet et de bénéficier d’un accompagnement pendant 1 an. Cet accompagnement sera composé de plusieurs études :

  • du marché, et de l’environnement stratégique et concurrentiel
  • du plan d’action
  • des conditions de faisabilité financière du projet
  • du modèle d’affaires et du pitch