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A 12h, le taux de participation au premier tour des élections régionales et départementales s’établit à 13,87% en Bourgogne-Franche-Comté.

Il s’établit comme suit dans les départements francs-comtois :

Doubs : 12,87 % ( 2015 : Régionales / 16,36%)
Jura : 14,90 % ( 2015 : Régionales / 24,10%)
Haute-Saône : 18,99 % ( 2015 : Régionales / 19,01%. Départementales / 21,14%) 
Territoire de Belfort : 12,74 % (2015 : Régionales / 16,38%. Départementales / 19,33%)

Le taux de participation estimé à 12 heures dans le département du Doubs est de 12,87 %. A titre indicatif, le taux de participation à 12 heures lors du premier tour des élections régionales de 2015 était de 16,36 % dans le Doubs.

Pour le département du Jura, le taux de participation à 12H00 au scrutin de ce jour est de 14,90 % . A titre indicatif, le taux de participation dans le Jura au premier tour des élections de 2015 était de 24,10%

 

Dans une totale incertitude sur l’issue du scrutin, notamment en raison de l’abstention, qui s’annonce importante, les bureaux de vote ont ouvert leur porte ce dimanche matin à 8h. Les citoyens français sont appelés aux urnes pour élire leurs représentants régionaux et départementaux. Plein Air fait le point sur les responsabilités et les missions de ces deux collectivités

Le conseil départemental

Les élections départementales se déroulent au suffrage universel direct. Ce qui signifie que tous les citoyens majeurs, inscrits sur les listes électorales, peuvent voter. Les conseillers départementaux sont élus au suffrage universel direct pour un mandat de six ans.
Le conseil départemental est chargé de l’action sociale : aide aux personnes âgées, à l’enfance, aux personnes handicapées, lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Il gère aussi les collèges (construction, entretien des bâtiments, équipements sportifs, informatiques, …) et est responsable de l’entretien des routes.

Les conseillers départementaux se présentent en binôme homme-femme dans un canton. Les élus de tous les cantons du département forment alors le conseil départemental.
C’est un scrutin majoritaire à deux tours.

Le mode de scrutin

Pour être élu au premier tour, un binôme doit obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de suffrages au moins égal à 25 % des électeurs inscrits. Si aucun binôme n'est élu au premier tour, seuls peuvent se présenter au second tour les binômes qui ont obtenu un nombre de suffrages au moins égal à 12,5 % des électeurs inscrits, sans possibilité pour les binômes de fusionner. Est élu au second tour le binôme qui obtient le plus grand nombre de voix.

Le conseil régional

Il gère et administre une région : cela concerne de nombreux aspects de la vie quotidienne des citoyens, tels que les transports, (ports, aéroports, transports collectifs routiers et ferroviaires, les lycées ou encore l’emploi, la formation professionnelle et l’apprentissage. Il est également chargé du développement économique et de l’aménagement de son territoire.

 

Le mode de scrutin

Les candidats sont élus au suffrage universel direct pour un mandat de six ans.
On vote pour une liste. Au premier tour, si une liste recueille plus de 50% des votes, elle obtient le quart des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis proportionnellement entre toutes les listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimés.
Si aucune liste n’a recueilli la majorité absolue, un second tour est organisé. Les listes ayant obtenu au moins 10% des suffrages exprimés peuvent fusionner avec d’autres. La liste qui arrive en tête obtient le quart des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont répartis proportionnément entre les listes qui ont comptabilisé au moins 5% des votes.

C’est parti. A moins d’un an de l’élection présidentielle, le Pays vit son ultime épisode électoral en ce mois de juin. Ce dimanche, les Français sont appelés aux urnes pour élire leurs nouveaux conseillers régionaux et départementaux. Il s’agit du 1er tout. Le 2è se déroulera dimanche prochain. Dans un contexte sanitaire et social difficile, de plus avec une réelle défiance en la politique et ses acteurs, beaucoup craignent un taux d’abstention important.

Les élections départementales

Depuis 2015, et la loi NoTRE,  les conseillers départementaux se présentent en binôme homme-femme dans un canton. Depuis 2015, la carte des cantons a également été revue.

Masqué par les Régionales qui, pour certains, ont valeur de test pour la présidentielle de 2022, ce scrutin n’a pas passionné les foules.  Rappelons que dans le département du Doubs, Christiane Bouquin (DVD)  remet en jeu son fauteuil Elle avait succédé en 2015 au socialiste Claude Jeannerod. Le Conseil Départemental du Doubs est composé de 38 élus. 24 forment la majorité (UMP, Modem, Union de la Droite, Divers Droite). Les 14 autres sont à gauche. Aucun candidat du Rassemblement National n’y figure.

Dans le département du Jura, c’est l’ancien maire de droite de Champagnole Clément Pernot qui est à la tête du département. Il succède lui aussi à un élu de gauche, en l’occurrence l’ancien socialiste Christophe Perny. Le conseil départemental du Jura compte 34 élus. 26  forment la majorité départementale ( 14 (LR), 8 (UDI) et 4 (DVD). On notera également la présence de 6 élus se revendiquant de la majorité présidentielle et  2 à gauche (PS et PC). Aucun élu du Rassemblement National n’apparaît.

Les élections régionales

Depuis le 1er janvier 2016, Il y a 18 régions en France. 12 régions métropolitaines, auxquelles s’ajoutent la Corse et cinq régions d’Outre-Mer. Auparavant, il y en avait 27.

Marie Guite Dufay préside la région Bourgogne Franche-Comté. L’instance régionale est composée de 100 conseillers régionaux, issus des six départements de Bourgogne-Franche-Comté. 51 élus forment la majorité régionale. L’opposition se décline ainsi : Union des Républicains, de la droite et du centre (25), Rassemblement National (15), non inscrits (9).

Ce vendredi, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal était en déplacement à Besançon afin de soutenir Denis Thuriot, candidat aux prochaines élections régionales.

À deux jours seulement du premier tour, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a réaffirmé son souhait de voir un maximum de régions être gagnées par LREM dimanche. Une perspective qui permettrait au gouvernement de travailler plus sereinement et plus rapidement sur l’après Covid. De son côté, le maire de Nevers Denis Thuriot a lui exprimé sa confiance en vue de l’échéance électorale, et ce malgré les résultats des derniers sondages qui l’annoncent quatrième à 15%. Ce dernier a aussi insisté sur l’importance de mobiliser la jeunesse dont l’abstention est attendue autour des 80%. La venue de Gabriel Attal, 32 ans seulement, n’a donc rien d’anodin. Ce dernier n’a d’ailleurs pas manqué de rappeler le fort investissement de la jeunesse autour du président actuel Emmanuel Macron, et ce depuis la campagne présidentielle de 2017.

 

Jeu d'alliance

Pour sa dernière interaction avec les électeurs, Denis Thuriot a vu les choses en grand. Un Meeting à Micropolis, en compagnie donc de Gabriel Attal, mais pas seulement. François Patriat, sénateur de Côte d’Or et ancien président de Région était également présent avant de soutenir Denis Thuriot, lui qui soutenait pourtant Marie-Guite Dufay en 2015. Au sujet d’une potentielle fusion, ou d’un retrait au second tour avec cette dernière, Denis Thuriot a d’ailleurs botté en touche, estimant qu’il ne fallait pas brûler les étapes. Si le barrage au RN et à Julien Odoul semble être la priorité, le candidat de la majorité présidentielle croit pour le moment encore en ses chances, et envisagera toutes les options la semaine prochaine, lors de l’entre-deux tours.

C'est la dernière ligne droite pour la campagne des élections régionales avant le 1er tour de scrutin, qui se tiendra ce dimanche. A la République En Marche, Denis Thuriot est parvenu à obtenir le soutien de plusieurs ténors du gouvernement.

Après Gérald Darmanin et Jean Castex, on a appris ce matin que Gabriel Attal,, le porte-parole du gouvernement, sera à Besançon ce vendredi après-midi. Il est attendu vers 15h. Après une déambulation en ville, il participera au grand meeting politique du candidat, qui se tiendra à 17h à Micropolis, en présence également du sénateur bourguignon François Patriat.

L’association France Palestine Besançon organise un rassemblement ce samedi 12 juin, à 10h30, sur la place de la Révolution. D’autres rassemblements sont au programme le même jour : A 14h, sur la place de la Liberté à Lons-le-Saunier et à 14h30, sur la place Grévy à Dole.

Un appel pour les libertés, contre les restrictions à la liberté d’expression et à la liberté de manifestation « qui frappent l’association et le mouvement de solidarité avec la Palestine » et en soutien au peuple palestinien.

Dans le cadre de la campagne des élections départementales dans le Val de Morteau, Jacqueline Cuenot Stadler et Denis Leroux, les deux conseillers départementaux sortants, soutenus par la liste de la présidente Christine Bouquin, animeront leurs dernières réunions publiques cette semaine, avant le premier tour de scrutin, qui se tiendra ce dimanche.

Les prochains rendez-vous sont les suivants : Lundi 14 juin aux Fins, Mardin 15 juin à Montlebon, mercredi 16 juin à Villers-le-Lac, jeudi 17 juin au Russey et vendredi 18 juin à Morteau

La décision est tombée ce dimanche. Le Général Thierry Burkhard a été nommé à la tête de l'armée française. Il en est le nouveau chef d'Etat-Major. Originaire de Delle, dans le Territoire-de-Belfort, où vit sa famille, le militaire est issu de la légion étrangère.

Il a été choisi par Emmanuel Macron pour remplacer le général Lecointre après son départ le 14 juillet prochain. Il occupe jusqu'à présent la fonction de chef d'état-major de l'armée de terre. Il a également travaillé à l'Elysée.

Dans un communiqué de presse, Cédric Perrin, le Sénateur Les Républicain du Territoire-de-Belfort, s'est félicité de cette arrivée aux responsabilités.

A cinq jours des élections régionales et départementales, le caricaturiste politique pontissalien, qui s'était illustré lors des dernières municipales, vient de récidiver. Il a placardé des affiches dans les rues du centre-ville de la capitale du Haut-Doubs.

Il a repris l'univers du célèbre dessin-animé des années 80 « Barbapapa ». On y voit « Barbamama », alias Florence Rogeboz, et Barbapapa, alias Romuald Vivot. Tous deux candidats Les Républicains aux élections départementales dans le canton de Pontarlier. La députée Annie Genevard y figure également. La parlementaire est dans le costume de Barbabelle.

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