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Le Grand Besançon Doubs Handball s’est incliné hier soir, au Palais des Sports, contre Billère. Les hommes de Benoît Guillaume ont été vaincus sur le score de 23-24. Pourtant, ils ont mené au score une grande partie de la rencontre. Insuffisant néanmoins pour décrocher les points de la victoire, qui auraient donné une bonne bouffée d’air à la formation,  qui flirte dangereusement en deuxième partie de tableau.

Il y a du handball ce vendredi soir. Dans le cadre de la 19è journée de championnat en proligue, le Grand Besançon Doubs Handball (13è) reçoit Billère (10è). Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15.

L’ESBF n’est pas parvenue à s’imposer dimanche en Norvège face à Sola. Une rencontre comptant pour l’Europa League. Déjà qualifiées pour la suite de la compétition, les Engagées ont joué sans aucune pression. Elles se sont inclinées sur le score de 34 à 27.

Le Grand Besançon Doubs Handball s’est incliné hier soir en championnat à Tremblay. Les hommes de Benoït Guillaume ont été vaincus sur le score de 39 à 34. Cette rencontre comptait pour la 18è journée de championnat en ProLigue. Leur mauvaise première période n’a pas facilité la tâche des Bisontins, qui ne sont jamais parvenus à prendre l’ascendant sur leur adversaire.

Après quinze journées de championnat, les handballeuses de Palente Orchamps sont invaincues dans leur championnat de N1 féminine. Après sa  relégation de la D2, le club s’est ressaisi et a su trouver les ressorts nécessaires pour mieux rebondir. Le recrutement a été soigné et le duo d’entraîneurs, composé de Stéphane Delerce et Cheikh Seck, a su imposer sa marque. Le travail de concert avec le préparateur physique Arnaud Ménétrier fonctionne également à merveille. La capacité du trio à écouter son collectif explique sans doute ces bons résultats.

Ce samedi, à 20h30, la formation bisontine se déplace à Strasbourg, le cinquième au classement. Cette équipe est la seule formation que le groupe bisontin n’a pas battu lors de la première partie de saison. « C’est un très bon parcours en ce moment. On reste attentif à ce qui se passe dans les autres poules. Même si on a de très bons résultats, les autres groupes ont également des équipes qui marchent fort Â» explique Stéphane Delerce. Le retour en D2 féminine est dans toutes les têtes. Néanmoins, le groupe ne veut pas brûler les étapes et veut gravir les échelons les uns après les autres. Il reste encore onze journées pour confirmer cette belle dynamique sportive.

L'interview de la rédaction / Stéphane Delerce

On a appris ce mardi que Brest, qui devait affronter l’ESBF en quart de finale de la Coupe de France de handball féminin, avait décidé de jeter l’éponge. Les Bisontines se voient donc qualifier pour la demi-finale de cette compétition sans jouer. Une décision que Sébastien Mizoule, le coach bisontin, regrette. Et ce, même si sa formation passe un cap supplémentaire. Agacé, il espère que la Coupe de France a gardé ses lettres de noblesse auprès des clubs professionnels.

Ce mercredi soir, l’ESBF dispute un match important contre Paris en championnat. Pour Sébastien Mizoule, la défaite est interdite. Les Engagées doivent se rattraper de leur match perdu contre Nantes et ne doivent pas s’éloigner  des places européennes. D’ailleurs, la contreperformance vécue en Bretagne n’a pas encore été digérée par le technicien bisontin.

La belle victoire, conjuguée à une qualification pour les quarts de finale de l’Europa League, n’a pas calmé la colère de Sébastien Mizoule, bien décidé de poursuivre « le serrage de vis Â» amorcé. L’entraîneur a conscience que ce déplacement parisien revêt un enjeu tout particulier et que son équipe n’a plus le droit à l’erreur.

Avant de penser au match de Coupe d’Europe de dimanche en Norvège, l’ESBF doit vaincre son adversaire ce mercredi soir. L’équipe a les ressources pour le faire et ainsi confirmer l’état d’esprit de samedi dernier, face aux Hongroises, en Coupe d’Europe.

L'interview / Sébastuen Mizoule

On l’a appris ce matin. La bisontine Alizée Frecon-Demouge met un terme à sa saison. Le club explique qu’elle « souffre depuis la saison dernière de douleurs récurrentes au genou qui l’empêchent de pouvoir se donner à 100% de ses capacités Â». Malgré plusieurs interventions et plusieurs mois de rééducation, son état physique ne lui permet plus de suivre le rythme intense auquel est confronté l’équipe professionnelle. Dans ces conditions, elle a choisi, ce lundi, entourée du staff et du staff médical de l’ESBF, de clore prématurément cette saison pour mieux se soigner. Le club a accepté cette décision et l’accompagnera dans cette épreuve difficile.

L'interview Sébastien Mizoule

Le Grand Besançon Doubs Handball n’a pas manqué son match hier soir au palais des Sports. Dans le cadre de la 17è journée de championnat en ProLigue, les hommes de Benoît Guillaume se sont imposés sur le score de 31 à 28 face à Villeurbanne. Avec 13 points, les Bisontins apparaissent en 12è position.

La cuisante défaite de l’ESBF mercredi soir face à Nantes est encore dans toutes les têtes. Une contreperformance, qui en plus d’avoir un impact au classement, ne rassure pas vraiment à 24 heures d’un match de coupe d’Europe des plus importants contre les Hongroises de Monsonmagyarovari. Si l’épilogue de cette rencontre aura des conséquences sur la situation des Bisontines qui, en cas de défaite pourraient ne plus avoir leur destin entre leurs mains, le coach bisontin pense aussi au match de mercredi prochain contre Paris, qui est tout aussi important pour la suite du championnat et l’accession à une place européenne.

Séance d’entraînement à 7h45

Le coach bisontin ne cache pas son agacement. « L’élastique commence à se tendre et il devient très mince Â» explique Sébastien Mizoule. Parce que la prestation de son collectif l’a déçu, le coach bisontin tape du poing sur la table. « J’espère qu’il ne s’agit pas d’incompétence Â» lance-t-il.  Pour affirmer son autorité et montrer à son groupe ses manquements, l’équipe a été convoquée à 7h45 ce matin pour une première séance d’entraînement. S’en suivra une autre en milieu d’après-midi. « Cela surprend, mais les gens qui vont au travail embauchent généralement à 8h. Ils ne font pas la grasse matinée. Ils ne font pas la sieste l’après-midi Â».

Les Bisontines ont plutôt intérêt à se montrer à la hauteur ce samedi soir.  Le coup d’envoi de la rencontre contre les Hongroises sera donné à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz.

L'interview de la rédaction / Sébastien Mizoule