L’auteur présumé de violences volontaires et harcèlement psychologique a été interpellé ce mardi après-midi à Pontarlier. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a reconnu s’être emporté et avoir menacé sa compagne, mais il réfute les violences. Une enquête de voisinage a été effectuée dans un autre département pour corroborer les faits qui se seraient produits en 2018 et 2019. Une réponse pénale a été prononcée.
Un homme de 28 ans, inconnu des services de police, a été interpellé le 26 juillet dernier, vers 15h, à Pontarlier, pour des violences aggravées. Une ITT de 2 jours a été prescrite à la victime, âgée de 39 ans.
L’individu a jeté les affaires de cette dernière. La trentenaire a chuté et sa tête a heurté le sol. Le mis en cause a fait l’objet d’un rappel à la loi, mais il devra s’expliquer le 4 septembre devant l’AAVI, l’Association d’Aide aux Victimes d’Infraction.
Lundi après-midi, deux vols à l’étalage se sont produits à Pontarlier. Une plainte a été déposée par l’enseigne. La première personne, une femme, a dérobé une bouteille de whisky. Elle a reconnu les faits. Un rappel à la loi a été prononcé.
Une demi-heure plus tard, un individu a dissimulé deux bouteilles dans ces vêtements. Lui aussi a dû rembourser les produits. Il fait également l’objet d’un rappel à la loi.
Un homme de 40 ans, défavorablement connu des services de police, est actuellement en garde à vue dans les locaux du commissariat de police bisontin. Dans la nuit de lundi à mardi, vers 3h, une patrouille a interpellé cet individu qui transportait des sacs volumineux. Il se trouvait rue Nicolas Bruand. A la vue des policiers, ce dernier prend la fuite mais est formellement reconnu par les policiers. Lors de sa progression, il se débarrasse de son chargement et escalade un grillage. Après avoir récupéré les objets (tableaux et bouteilles de vin), les policiers choisissent d’attendre le malfrat présumé à proximité de son domicile.
Après avoir patienté une trentaine de minutes, ils constatent que le mis en cause, visiblement très nerveux, pénètre dans sa résidence où il est interpellé. Il est placé en garde à vue. Lors de son audition, il nie les faits et affirme que les policiers se sont trompés d’homme. Les victimes n’ont pas encore pu être formellement identifiées.
Deux individus, âgés de 17 et 24 ans, ont été interpellés par les policiers le 26 juillet dernier à Besançon. Une patrouille a été avisée que deux personnes jetaient des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. Sur place, la requérante désigne les deux mis en cause présumés. Il semblerait qu’à la vue des policiers, ces derniers se soient débarrassés des colis en les jetant dans un jardin voisin. Le plus jeune sera présenté à un juge des enfants en vue d’une mise en examen. L’aîné sera jugé en comparution immédiate. Tous deux sont connus des services de police.
Un accident s’est produit, vers 12h30, à Busy, sur la nationale 83, en direction de Quingey. Une voiture et un poids-lourd se ont percutés. Un jeune homme de 23 ans était incarcéré dans son véhicule.
Il a été transporté dans un état grave par le SMUR sur l’hôpital de Besançon. La circulation a été coupée dans les deux sens durant l’intervention des secours. Les causes et les circonstances de ce drame restent à déterminer.
Ce matin, vers 10h45, un accident s’est produit au carrefour de Chenecey- Buillon sur la nationale 83 entre une voiture et une moto. L’impact violent a déposé le motard sur le toit de la voiture. La victime de 62 ans a été transportée sur le centre hospitalier de Besançon. Le conducteur, âgé de 88 ans, a été prise en charge par une seconde ambulance.
Les secours sont rassurants. Ils n’évoquent aucune blessure grave pour les deux personnes impliquées. Les causes et les circonstances du choc restent à déterminer.
Le nouveau panneau de Max Marandet présenté sur le parking de son garage à Champagnole ne laisse personne indifférent. Après « Don Corleone soutient Sarkzoy », « Marine + Zemour = Zarine » et le Général de Gaulle s’interrogeant sur « ce qu’il a fait au bon dieu », le garagiste jurassien met en scène une affiche divisée en deux parties, sur laquelle se trouvent une photographie de Charlie Chaplin, avec un brassard, badgé « LREM », et le slogan « obéis fais-toi vacciner ». Son concepteur avance une démarche « apolitique, satirique et parodique faite au nom de la liberté d’expression ». Pour défendre le bienfondé de sa position, Mr Marandet fait référence à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen faisant référence à la liberté de la presse et qui stipule que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ».
« Ce n’est que de la parodie »
Max Marandet se défend de faire de la politique ou d’adopter une démarche de défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et de sa politique. « Pourquoi voir toujours le mal » s’insurge M Marandet. Et de continuer : « je fais simplement de la parodie pour faire rire. Honnêtement quand je vois le nombre de gens qui passent devant chez moi, rient et me mettent des commentaires, cela me conforte. Il n’y a pas de méchanceté ».
Intervention des forces de l’ordre cette nuit
Ce matin, en visionnant le contenu de ses caméras de vidéosurveillance, le sang de Mr Marandet n’a fait qu’un tour. Il dénonce la visite de sept gendarmes dans sa propriété. « Ils se sont permis de déplacer la remorque. Dans quel intérêt ? Parce que cela ne leur plaisait pas ? Sous quel droit, un gendarme peut-il rentrer dans une propriété privée sans autorisation et massacré le matériel » explique cet homme, qui pourrait entreprendre une démarche en justice. Et de conclure : « Où est la dictature ? ».
L'interview de la rédaction / Max marandet
Concernant les deux individus impliqués dimanche dans le jet d’un carton par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, on a appris ce lundi que la personne qui a balancé le paquet s’est vue remettre, à l’issue de sa garde à vue, une convocation pour s’expliquer en novembre prochain devant la justice. L’automobiliste qui l’attendait a été laissé libre et ne sera pas inquiété davantage.
Hier soir, vers 18h30, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Chemaudin pour un accident de la route impliquant un deux roues et une voiture. Les deux occupants du scooter, deux adolescents de 14 ans, sont grièvement blessés. Ils ont été transportés dans un état grave à l’hôpital de Besançon. L’automobiliste est indemne.