Concernant les deux individus dont la garde à vue a été prolongée samedi soir, on a appris ce dimanche que l’un d’eux devra s’expliquer prochainement devant la justice. En attendant son procès, il a été placé sous contrôle judiciaire. Vendredi soir, vers 21h, à Besançon, les policiers étaient intervenus au domicile d’un couple pour des faits de violences conjugales aggravées. Six jours d’ITT ont été prescrits à l’épouse. Le compagnon violent a été placé en dégrisement, avant de connaître la garde à vue. Ce dernier a reconnu les faits.
Le deuxième homme, qui conduisait sous l’effet de l’alcool, a été incarcéré, en attendant d’être jugé lundi en comparution immédiate. Vendredi soir, il a percuté un autre véhicule rue de Strasbourg. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif, contrairement à l’autre conducteur. Il été placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue, qui a été prolongée samedi soir.
Ce dimanche, à 16h, à Besançon, deux individus ont été interpellés et placés en garde à vue. L’un d’eux a été surpris en train de jeter un carton par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt. Le conducteur l’attendait moteur tournant. Sur l’un d’eux, une petite quantité de résine de cannabis a été découverte.
Dans un communiqué de presse, la Licra dénonce les nouvelles publications affichées lors de la manifestation des « anti-vax, anti-pass » du 24 juillet dernier à Besançon. Sur l’abribus de la place Saint-Pierre, l’affiche, avec l’écrit suivant, a été apposée : « De la république bananière à la dictature il n’y a qu’un pass ».
L’association condamne « sans réserve aucune l’usage de symboles, de mots qui évoquent les tragédies imposées à l'humanité par la dictature nazie dans les manifs récurrentes animées par des anti-vax et anti-pass sanitaire, adeptes des théories complotistes, négationnistes, racistes et antisémites ». « Des suites judiciaires pourraient être données » précise le communiqué de presse.
Et de conclure : « Nous ne pouvons pas laisser des millions de victimes du nazisme insultées en toute impunité… Il est urgent que le gouvernement et les pouvoirs publiques prennent leurs responsabilités et apportent une réponse ferme à ces comportements inacceptables qui mettent à mal notre socle Républicain » .
Cette nuit, vers 2h30, les sapeurs-pompiers bisontins ont pris en charge un homme de 28 ans blessé au dos. La victime a fait une chute de 12 mètres à la Chapelle des Buis au monument Notre Dame de la Libération. Médicalisée par le SMUR 25, elle a pu être extraite par l’équipe du GRIMP. La police nationale s’est rendue sur les lieux.
Cette nuit, vers 2h, les sapeurs-pompiers du Doubs ont porté assistance à une femme de 35 ans, résidant à Morteau. Elle se rendait à la clinique bisontine pour accoucher.
Le petit Mathéo était pressé de naître. Il a choisi de sortir du ventre de sa maman devant la caserne des sapeurs-pompiers du Valdahon. La mère et l’enfant ont été pris en charge par les secours. Ils vont très bien. La famille a été évacuée médicalisée sur la clinique en ambulance.
Hier soir à Guillon-les-Bains (25) alors que la commune célébrait tardivement le 14 juillet, un drame était constaté par les gendarmes. Alertés suite au comportement dangereux d’un homme de 39 ans, ils se rendent sur les lieux. Plus loin, alors que ce dernier avait pris la fuite, il découvre dans une voiture, le corps sans vie d’une femme de 54 ans. C’est alors que le tueur présumé surgit. Il refuse d’obtempérer, obligeant le gendarmes à faire usage de leur arme.
Cet individu inquiétait les spectateurs car il les menaçait avec des projectiles, en l’occurrence des bûches de bois. Touché au thorax, il décédera des suites de ses blessures dans la nuit à l’hôpital de Besançon. Précisons qu’il n’est pas un inconnu de la police et de la justice. En 2005, il avait été condamné à trois mois de prison ferme pour vol avec violences.
Le visage de la femme présentait des traces de coups, en l’occurrence des coups de poings. Ce dernier a reconnu avoir violenté sa victime.
Les investigations se poursuivent pour connaître les causes précises de ce drame. Deux autopsies seront pratiquées en début de semaine.
Un automobiliste de 25 ans, domicilié dans l’arrondissement pontissalien, a été interpellé à l’issue d’un contrôle routier vendredi soir, vers 22h, à Pontarlier. Il a été entendu ce matin. En attendant les suites judiciaires, son permis de conduire a été suspendu. Son véhicule a été immobilisé.
Un automobiliste est actuellement en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Vendredi soir, il a percuté un autre véhicule rue de Strasbourg. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif, contrairement à l’autre conducteur. Il été placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue, qui a donc été prolongée ce samedi soir.jus
Vendredi soir, vers 21h, à Besançon, les policiers sont intervenus au domicile d’un couple pour des faits de violences conjugales aggravées. Six jours d’ITT ont été prescrits à son épouse. Le compagnon violent a été placé en dégrisement, avant de connaître la garde à vue. Ce dernier a reconnu les faits. Il s’expliquera ce dimanche matin devant le procureur de la république.
Dans la lutte contre l’insécurité routière, la Préfecture du Doubs fait savoir que les premiers radars urbains seront déployés sur le département du Doubs. Ainsi, ils prendront place à titre expérimental sur le territoire du Pays de Montbéliard. Les premiers équipements de ce type seront installés sur les communes de Pont-de-Roide-Vermondans, Valentigney et Bondeval du 27 au 29 juillet. Puis les autres dispositifs seront implantés à partir de septembre en fonction des différents travaux de génie civil et de pose. La phase d’expérimentation locale, qui a pour objectif l’homologation nationale du dispositif, se poursuivra jusqu’en janvier 2022.
Le « radar urbain » est un nouveau dispositif de contrôle automatisé conçu pour détecter les infractions en contexte urbain. Ils sont implantés en priorité sur les zones accidentogènes. Dans le cas de cette expérimentation, les implantations, qui ont fait l’objet d’une concertation locale, sont disséminées sur le territoire des communes de Pays de Montbéliard Agglomération et doivent permettre un vrai respect des limitations de vitesse et des feux rouges. « C’est une démarche globale de réduction de l’insécurité routière, adaptée aux territoires » explique le communiqué préfectoral.