Un jeune automobiliste de 28 ans, impliqué la nuit dernière, vers 3h, dans un accident matériel de la circulation à Besançon, à hauteur du rond-point de Neufchâtel, a été placé en garde à vue différée. Il présentait un taux de 1,68 gramme d’alcool dans le sang. Ce dernier a perdu le contrôle de son véhicule qui a percuté des poteaux métalliques.
Un homme de 33 ans devra s’expliquer le 8 décembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir dérobé des tickets de jeux à gratter pour une valeur de 600 euros dans un établissement bisontin. L’individu et son enfant ont été interpellés au centre-ville, Grand Rue le 3 août dernier. Lors du contrôle, le trentenaire a confirmé être en possession des tickets volés. Il a été placé en garde à vue.
La police de Besançon appelle la population à la prudence. Depuis quelques jours, il a été constaté une recrudescence des vols à la roulotte la nuit. Notamment sur les parkings de surface du centre-ville, tels que le Petit Chamars, les Beaux-Arts et Cusenier. 45 faits ont été recensés depuis le 15 juin sur ces parkings bordant le Doubs. Les forces de l’ordre conseillent aux usagers de préférer les parkings sous vidéo surveillance, de ne pas laisser leurs effets personnels à vue et de bien verrouiller leurs véhicules.
Un grave accident de la route s’est produit ce samedi, vers 17h30, à Larnaud (39). Un véhicule de tourisme est en cause. On déplore quatre blessés légers et un blessé grave, qui a été transporté par Héli25 sur un centre hospitalier.
Dans un communiqué de presse, la Ville de Besançon indique qu’elle apporte son soutien à la famille et aux proches de Seif Boulazreg qui a perdu la vie le week-end dernier en chutant d’un muret de 4 mètres à proximité du Faubourg Tarragnoz, à flanc de la Citadelle. La municipalité rappelle qu’une enquête est en cours et qu’elle compte « sur une justice humaine et impartiale » pour rendre sa décision. Elle se dit « sous le choc » et précise qu’elle « reviendra vers la famille ».
Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant la justice. Il n’aurait pas supporté que sa demande d’internement lui soit refusée. Il a alors menacé de mort le personnel hospitalier, avant de saisir le bras d’un médecin et lui cracher au visage. Interpellé, il a été placé en garde à vue. Lors de son audition, il n’a reconnu que les crachats.
Hier, en fin d’après-midi, au centre-ville de Besançon, les policiers ont eu des difficultés avec un individu, soupçonné d’avoir commis une agression, avec tentative de vol, dans un magasin, situé 22 grande rue. Lors de son interpellation, ce dernier, alcoolisé, a refusé de donner son identité et a proféré des insultes en direction des policiers municipaux.
Lors de son transport au commissariat, il s’est glorifié de sortir de prison et a menacé de représailles les agents. Il a également tenté de mettre un coup de pied aux fonctionnaires présents aux geôles. Il leur a craché dessus. Le trentenaire a refusé de se soumettre à la vérification de son alcoolémie. Il a été placé en garde à vue avec différemment des droits.
A la suite de trois plaintes déposées au Parquet de Besançon pour des faits de violences sexuelles, une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur les agissements d’un individu, qui n’était pas titulaire, au début de ses interventions, du diplôme d’assistant en médecine esthétique. Ce dernier est soupçonné d’avoir commis des agressions et violences sexuelles sur certaines de ses patientes lors de séances d’épilation du maillot. Les faits auraient été commis à Besançon dans le cabinet de son frère, qui exerce en toute légalité la profession de médecin dermatologue. Les faits dénoncés courent entre mars 2020 et octobre 2021. Le faux médecin aurait mené ses premières interventions dès le mois de novembre 2019. Suite à un appel à témoins, ce sont dix nouvelles plaintes qui ont été enregistrées. La dernière est parvenue en mai dernier. Cinq viols auraient été commis.
L’individu réfute les faits qui lui sont reprochés. Pour l’heure, il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il lui est bien entendu interdit de pratiquer cette profession. Lorsque le dossier sera clos, il sera envoyé au conseil de l’ordre des médecins qui statuera également sur le cas des deux protagonistes.
L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon
L’affaire de l’ostéopathe de Pontarlier, soupçonné de viol et d’agression sexuelle, devrait être close l’automne prochain. Le mis en cause pourrait comparaître devant une cour d’assises. L’affaire est apparue durant l’été 2020 après plusieurs plaintes déposées par des patientes. Depuis sa médiatisation, 19 personnes se sont manifestées.
Huit faits de viol, avec des actes de pénétration vaginale, ont été enregistrés. L’individu est pour l’heure placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction d’exercer. Il conteste les faits qui lui sont reprochés et qui auraient été commis entre janvier 2018 et décembre 2020.
L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon
Un homme s’expliquera le 6 décembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences et proféré des menaces dans un établissement de restauration rapide au centre-ville de Besançon. L’individu a été interpellé et conduit au commissariat de la Gare d’Eau. La victime a porté plainte.
Le trentenaire n’aurait pas accepté que la jeune femme refuse son invitation à partager un verre. Il l’aurait menacé en la pointant du doigt et lui aurait jeté un verre de café à la figure. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits. Justifiant que sa réponse « n’était pas élégante ».