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Ce samedi, selon l’OFSP, la Suisse compte désormais 27’404 personnes testées positives. Concernant les décès, l’Office en déplore ce jour 1'111.

L’OFSP continue d’indiquer que la Suisse a vraisemblablement passé le pic de l’épidémie, se retrouvant dans une situation comparable à début mars. L’office ajoute qu’il ne faut cependant pas baisser la garde et qu’un rebond reste possible.

Les cantons de Genève et Vaud restent les plus touchés en Suisse Romande, alors que le pays connait actuellement l’une des incidences les plus élevées en Europe (319 personnes touchées pour 100’000 Habitants)

A Besançon. La CGT salarié.e.s étudiant.e.s dénonce le remplacement des partiels de fin d’année par un contrôle continu à distance, mis en Å“uvre par l’université de Franche-Comté en pleine crise de coronavirus et de fermeture des universités en France. Le syndicat pointe « les pleins pouvoirs accordés au président de l’université Â» et « la fracture numérique entre les étudiants Â». D’autre part la CGT s’interroge sur la promesse « d’un suivi individualisé Â» prôné par l’administration, « alors qu’avec près de 23.000 étudiants, les personnels étaient déjà débordés avant la pandémie, manquant cruellement de moyens Â».

Dans ces conditions, et afin « qu’aucun étudiant ne soit laissé au bord de la route Â», il est demandé « une validation automatique du deuxième semestre pour l’ensemble des étudiants Â». « Un changement de règle aussi brutal que la non-tenue des partiels constitue une rupture d’égalité scandaleuse Â» conclut le syndicat.

Le PAL, le parc d’attractions et animaliers de l’Allier, créé en 1973, vient à nouveau de reporter son ouverture. Alors qu’il devait ouvrir le 1^er Mai « sous toutes réserves », le site, qui doit accueillir 160 saisonniers, est fermé jusqu’à nouvel ordre, au mieux à partir de début juillet.

Avec plus de 640 000 visiteurs en 2018 Le PAL reste dans le TOP 5 des parcs d’attractions les plus visités en France.

Dans un communiqué de presse la CGT Educ’Action de Besançon réagit à la réouverture des établissements scolaires le 11 mai prochain. Le syndicat explique qu’il s’agit « d’une décision hypocrite qui met à nouveau en danger les agents et les élèves de l’éducation nationale Â». « Il s’agit bien entendu de répondre aux demandes du Patronat qui souhaite un retour précipité des salariés à la production Â» écrit-il.

Pour l’heure la CGT Educ’Action s’inquiète. D’autant que sa rencontre avec Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’éducation nationale, est loin d’avoir été concluante, notamment sur la problématique de la sécurité sanitaire des adultes et des élèves. Dans ces conditions, il est clairement demandé le report de la réouverture du 11 mai.