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En raison de la crise sanitaire actuelle, les inscriptions scolaires pour la rentrée 2020-2021 se feront dans un premier temps de façon dématérialisée pour l'Ecole Maternelle Les Sapins Bleus ainsi que pour l'Ecole Louis Pasteur.

La Ville de Maîche a mis en ligne toutes les infos utiles et les dossiers d'inscription sur son site internet : https://www.mairie-maiche.fr/inscriptions-ecoles.html

Les parents pourront également visiter virtuellement les locaux de l'école maternelle Les Sapins Bleus -->  https://ecolesapinsbleus.netboard.me/visite/

Après une interruption de six semaines, les travaux de mise à 2x2 voies de la RN57 entre l’A36 et Devecey, sous maîtrise d’ouvrage de la DREAL Bourgogne-Franche-Comté, ont redémarré ce lundi 27 avril. Ce chantier, comme de nombreux chantiers de la région, a été arrêté dès le 16 mars dernier car les conditions n’étaient pas réunies pour respecter les mesures gouvernementales de lutte contre la crise sanitaire liée au Covid-19.

Ce redémarrage fait suite à la parution d’un guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, rédigé par des organismes de prévention, partagé entre entreprises et organisations syndicales du BTP. « Le planning des travaux, l’ordonnancement et l’organisation des tâches ont donc été revus et adaptés afin de permettre la reprise de l’activité dans le respect des conditions de sécurité du personnel intervenant sur place Â» explique la DREAL. Il est néanmoins précisé que l’incidence financière de l’ensemble de ces mesures restent à estimer.

Afin d’informer le plus grand nombre de ses administrés sur l’évolution de la crise sanitaire et toute information concernant le Covid 19, la municipalité d’Ornans a installé une vingtaine de panneaux aux quatre coins de sa ville. « L’information affichée est actualisée régulièrement en fonction de l’actualité Â» précise-t-elle.

Ces panneaux se situent :

- Fontaine du Seult
- Aire de jeux des cités Oerlikon
- Entrée du parking de la Boneille
- Parking rue de la résistance
- Rue de lonège
- Croisement rue des Jeannettes – rue des Fleurs
- Croisement route de Chassagne – rue de Chauveroche
- Rue Saint Laurent – entrée église
- Grand pont – Musée Courbet
- Fontaine du Jura
- Gendarmerie – rue Edouard Bastide
- Croisement rue du Moulin – parking de la Fenotte
- Rond-point Alstom – entrée parking
- Mambouc vers les poubelles
- Rue des Vergers avant l’hôpital rural
- Au CAL
- Abribus route de Montgesoye – en face de Syratu
- Abribus route de Besançon – en face Super U
- Abribus de l'école Sainte Marie Saint Michel
- Abribus de Bonnevaux-Le-Prieuré

Ce lundi, dans le cadre de l’épidémie de coronavirus, 1.210 hospitalisations (-8 par rapport à dimanche) étaient comptabilisées en Bourgogne Franche-Comté, dont 196 en réanimation (+2 par rapport à la veille). Les autorités déplorent 814 décès en établissements de santé depuis le début de la pandémie (+19 par rapport à dimanche).

Si tous les secteurs sont touchés économiquement par le confinement en vigueur, le monde du spectacle, déjà réputé précaire, risque d’en pâtir encore plus. Le début de l’été devait permettre à bon nombre d’artistes mais également aux équipes techniques et de sécurité, de remplir leur agenda grâce aux festivals et autres concerts. Cependant, la date minimum du 15 juillet, qui devrait être repoussée, contraint le monde de la musique notamment à revoir ses plans. Simon Nicolas, responsable de la communication de la Rodia, revient en détail sur cette situation complexe, au micro de notre rédaction.

Aujourd’hui, quelles sont les répercussions de cette situation sur La Rodia ?

Les répercussions sont catastrophiques pour nous, et pour tous les prestataires avec lesquels nous travaillons, que ce soit la sécurité, les intermittents, les techniciens du son, de la lumière.

C’est toute la profession qui est touchée ?

Oui, on a pas encore de bilan chiffré mais c’est toute la profession qui est touchée. Nous sommes une salle de concert qui s’auto-finance en grande partie, mais nous sommes également subventionnée. On pense à tous les cafés-concerts, les clubs, qui ne sont pas forcément subventionnés et qui sont dans une situation encore plus incertaine que la notre.

Comment s’en sortir pour ces personnes ?

Il faut se serrer les coudes. Le maître mot doit être « solidaire Â» en ce moment. Il faut regarder comment travailler avec tout le monde. Nous sommes un peu tous dans le même désarroi, on cherche des solutions pour que tout le monde s’en sorte, mais ce n’est pas simple. On ne sait même pas quand tout ça sera terminé.

Quand espérez-vous pouvoir reprendre les concerts ?

Actuellement, la date officielle fixée est celle du 15 juillet, mais on sait que cela va s’étendre. Nous, on espère reprendre à l’automne parce qu’on a une programmation assez dense, et parce qu’on a hâte de retrouver le public.

Cela veut dire qu’on se dirige sur des annulations et des reports pour l’été ?

Aujourd’hui on ne sait pas, et les personnes avec qui nous travaillons ne savent pas non plus. On essaye d’anticiper un maximum mais c’est extrêmement compliqué de se prononcer, tout change tous les trois jours.

Vous parliez de l’automne, on imagine que l’objectif principal, c'est le maintien du festival Détonation ?

Oui, mais on est dans le flou. On ne sait pas si les artistes américains pourront venir par exemple. Actuellement on travaille sur une version plus courte du festival, avec une scène en moins. On essaye d’étudier plusieurs scénarios pour être le plus prêt possible quand on nous dira « oui vous pouvez y aller Â» ou « non vous ne pouvez pas Â».

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