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En Haute-Saône, un bâtiment agricole de 1.500 mètres carrés est parti en fumée cette nuit  à Pusey. Sept moutons ont péri dans l’incendie, malgré l’intervention rapide des pompiers. Une vingtaine de soldats du feu a été mobilisée. L’origine du sinistre reste encore indéterminée.

A Montbéliard, un médecin de 60 ans s’est donné la mort. L'homme exerçait depuis 2007 à la clinique du groupe Kapa Santé.

Le groupe qui évoque dans un communiqué un acharnement médiatique ces derniers jours à l'encontre du patricien. Une patiente opérée pour une ablation de l'utérus a en effet déposé plainte contre lui. Elle affirme avoir failli perdre la vie après cette opération. Samedi, une centaine de personnes avaient défilé à Hérimoncourt, pointant du doigt une erreur médicale.


Tout au long de cette semaine, le camion « patrimoine et terroirs Â» s’est installé dans la cour du Lycée Professionnel Toussaint Louverture. Le concept est très intéressant  pour ces jeunes apprentis pontissaliens. 

Dans un camion qui se décline en deux espaces, une salle de classe ou une salle de restauration, en fonction des besoins, et une cuisine équipée, les jeunes suivent des cours théoriques et pratiques dispensés par trois professionnels chevronnés. Le matin est consacré aux ateliers théoriques avec des sessions sur les métiers de la restauration et de l’alimentation et sur les techniques de communication et de commercialisation. Au programme : la définition des signes de qualité ( AOC, AOP, IGP, Label Rouge, …), la géographie des terroirs ( découverte et travaux sur les produits de nos régions), les gastronomies régionales, les traditions et la culture générale y afférant et l’apprentissage de l’expression orale et les techniques de communication et de la prise de parole en public. L’après midi, place à la pratique. A savoir, la confection du repas lié à la thématique du jour et la préparation des interventions orales auprès de la clientèle pour les autres. Chaque soir, environ une quarantaine de convives sont invitées à participer au dîner préparé par les jeunes.

Six semaines de stage à Paris

A Pontarlier, la formation s’adresse aux terminales Bac Professionnel cuisine et service. Soit environ 24 jeunes garçons et filles passionnés par leur futur métier. Justement ces futurs serveurs s’investissent avec beaucoup de concentration et d’intérêt dans cette nouvelle expérience professionnelle. Pour certains, à l’image de Mathieu, l’envie de décrocher un stage de six semaines sur le marché de Rungis fait partie des objectifs personnels. « On participe à cette opération pour acquérir des expériences supplémentaires. A la clé, il y a un stage à Paris. C’est quand même un objectif à atteindre. On fait tout ce que l’on peut pour le décrocher Â» explique le jeune homme. Saraz, elle aussi, apprécie de pouvoir participer à cette initiative. « Ca nous aide à faire un travail sur nous même en tant que serveur. On acquiert de l’assurance et de la pratique Â» explique la jeune fille. Et de compléter. « Pour ma part, l’objectif premier est de montrer ce que je sais faire et que je suis capable de mettre en pratique ce que j’apprends  en cours ».

Les travailleurs frontaliers ne veulent pas baisser les bras... Les associations de défense avaient rendez-vous hier matin au ministère de l’économie à Bercy. Au final, elles n’ont pas rencontré Pierre Moscovici en personne, mais des représentants du ministre, qui ont confirmé la suppression du droit d’option à partir du 1er juin prochain. Et donc un retour à la sécurité sociale avec une cotisation sur salaire.  

Dans ces conditions, la rencontre n’a pas été jugée « concluante Â» par les représentants des frontaliers qui appellent à manifester le 16 octobre prochain à Paris devant l'Assemblée Nationale et le 20 octobre à Pontarlier.

Le conseiller général du canton de Mouthe, Jean-Marie Saillard, est engagé depuis le début aux côtés des frontaliers et il se montre réaliste. Il y a peu de chance de faire reculer le gouvernement. Néanmoins, il faut être attentif aux conséquences d'un tel changement notamment en ce qui conerne l'emploi dans les compagnies d'assurance qui gèrent actuellement la prise en charge des soins des travailleurs frontaliers, souligne Jean-Marie Saillard.

 

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