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L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Le patron d’un ancien salarié jurassien, condamné par la justice qui avait estimé qu’il n’avait pris aucune mesure pour protéger son employé des cris des cochons, vient de décider de faire appel. La décision avait été rendue en septembre dernier par le tribunal des affaires de sécurité sociale de Lons le Saunier. 

Cet opérateur de porcheries industrielles a été reconnu coupable « de fautes inexcusables excusable» contre un de ses anciens employés, devenu sourd. Selon la justice, Serge Personeni, 49 ans, n'a pas été suffisamment protégé contre le cri strident des cochons et le bruit des machines de la porcherie. 

Un braquage s’est produit hier soir, vers 20h, au préjudice d’un bureau de tabac, rue de Salins, au centre ville de Pontarlier. Le gérant a été gazé par le malfrat. Malgré ses blessures, le commerçant a réussi à protéger ses biens. L’individu serait reparti bredouille. Les investigations sont en cours.

Un homme, âgé d’une trentaine d’années, a reçu un coup de couteau dans la nuit de jeudi à vendredi au centre ville de Besançon. Les deux agresseurs, âgés de 20 et 21 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue.

Tout au long de ce week end, Pontarlier, capitale économique de l’Absinthe, vivra au rythme des 13ès Absinthiades. De nombreuses animations rythmeront cette année encore cette manifestation annuelle culturelle entièrement dédiée à l’Absinthe. Depuis son lancement, en 2001, ce sont plus de 50.000 passionnés et curieux, venus du monde entier, qui ont fait le déplacement pour assister à cet évènement.

De nombreuses animations à découvrir

Comme chaque année, le public trouvera des animations musicales, des dédicaces d’auteurs, le traditionnel et très réputé salon des collectionneurs et les concours de dégustation. Des expositions sont également au programme. Le Musée est ouvert tout au long de la manifestation et vous présentera des expositions thématiques. Petite nouveauté cette année, des visites guidées des Absinthiades sont proposées le samedi et le dimanche à 14 heures. Sachez également que la Fée Verte rend hommage à Bernard Laffont à travers des affiches de films. Cette année pour l’occasion, vous pourrez également déguster une cuvée spéciale Absinthiades et une petite viennoiserie exclusive préparée par un pâtissier pontissalien. De nombreuses autres découvertes culinaires seront également possibles. Bien sûr, durant ces deux jours les deux distilleries du secteur vous ouvriront leur porte.

Rendez vous ce samedi et ce dimanche à Pontarlier. Les animations sont à découvrir au Théâtre Bernard Blier, à la Chapelle des Annonciades et au Musée municipal.

Ce vendredi matin, à l’appel de la CRAEM, la Chambre Régionale de l’Ameublement et de l’Equipement de la Maison, une douzaine de vendeurs de meubles du département ont mené une action à Pontarlier pour mettre en garde la population locale contre les techniques de vente d’une société qui s’est implantée récemment dans un local désaffecté dans la zone des Grands Planchants à Pontarlier.

« Nous sommes là pour avertir les consommateurs sur les pratiques douteuses d’un magasin de meubles qui vient de s’implanter sur le secteur de Pontarlier Â» explique Mr Mougin, le Vice Président de la CRAEM. Le collectif mobilisé ce vendredi matin pointe des « pratiques non respectueuses de la réglementation en vigueur pour protéger les acheteurs Â». La technique, bien rôdée, consiste à contacter  un client par courrier ou par téléphone en l’invitant à venir retirer, « en couple Â», au magasin, un lot qui suscite l’intérêt. A son arrivée, le lot n’aurait qu’une valeur symbolique, et des équipes de vendeurs formées déploient tout un argumentaire pour le séduire et lui vendre un produit. Selon les manifestants, les prix affichés « sont artificiellement gonflés Â». Ce qui permet ensuite Â« d’appliquer de fausses remises, pouvant dépasser parfois les 70% sur un salon ou un meuble Â». Les professionnels du Haut Doubs tiennent également à souligner « qu’il ne faut pas compter non plus sur un service après-vente Â». « La présence de ces magasins est éphémère et ne dure que quelques mois Â».

Dépôt de plainte

De son côté, le responsable de l’enseigne, qui n’a pas voulu répondre à notre demande d’interview spontanée, indique qu’ Â« il a été contrôlé à plusieurs reprises et qu’il n’a jamais été sanctionné Â». L’enseigne sûre de sa démarche, n’hésite pas à intervenir juridiquement auprès de ses détracteurs. Néanmoins, selon nos informations, une cliente, récemment démarchée, aurait porté plainte à la gendarmerie. Elle dénonce le fait de n’avoir pas pu faire valoir le délai de sept jours de rétractation dont elle juge avoir droit.

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