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Deux voitures sont entrées en collision, vers 17h, ce dimanche, à l’entrée de Poligny. Un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture, qui est ensuite venue percuter un véhicule qui arrivait en face.

Six personnes sont impliquées. Quatre d’entre elles s’en sortent indemnes. Un père de famille de 45 ans est légèrement blessé.

Son enfant, âgé de 14 ans, est plus gravement touché. Il a dû être désincarcéré avant d’être transporté à l’hôpital de Besançon par l’hélicoptère de la sécurité civile.

Une femme a été découverte inanimée, hier, en début d’après midi, dans la piscine d’un hôtel, à Champagnole. Ce sont des clients qui ont fait la macabre découverte.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime, âgée d’une trentaine d’années, aurait fait un malaise et se serait noyée.

En attendant l’arrivée des secours, des personnes présentes ont tenté de lui faire un massage cardiaque. Mais en vain.

40 radars routiers ont été vandalisés en Bretagne depuis le début du mois de novembre, marqué par la fronde des «Bonnets rouges» contre l'écotaxe.

Sur ces 40 radars vandalisés, la moitié est hors d'usage, a annoncé la préfecture de région dimanche. Ces dégradations s’ajoutent aux 28 radars automatiques détruits ou vandalisés en Bretagne depuis le début du mois de novembre, soit un quart de l’équipement installé en bord de routes dans les quatre départements de la région.

Par ailleurs, les gendarmes du Finistère ont surpris et mis en fuite samedi soir plusieurs personnes qui tentaient d’incendier un radar automatique sur une route du sud du département. Vers 22h00, une patrouille a aperçu les occupants d’une voiture qui mettaient le feu à des pneus jetés au pied d’un radar situé sur une route départementale entre Fouesnant et la Forêt-Fouesnant, près de Quimper. Le véhicule a pris la fuite et les gendarmes n’ont pu interpeller les auteurs de la tentative de destruction. Ils ont éteint les flammes et le radar n’a pas été détruit. Une enquête a été ouverte.

Un accident s’est produit hier soir, vers 18h, à Cogna, dans le Jura. Une voiture a fait une chute d’une trentaine de mètres dans un ravin. On déplore un blessé grave qui a dû être désincarcéré par les pompiers.

Cet après midi, la piscine municipale de Pontarlier, théâtre de la première manche de la Coupe de Franche d’apnée, accueillait un grand champion. En l’occurrence, Alain Richioud, champion de France d’apnée statique avec un temps sous l’eau de 7'14" et recordman de France de la discipline avec un temps de 7'32" qu’il a obtenu lors des derniers Championnats d'Europe .

Après une grave blessure, cet ancien rugbyman a décidé, il y a huit ans seulement, de pratiquer cette discipline. « J’apprécie ce sport car il fait appel au mental et demande une excellente condition physique. Quand les premières détresses respiratoires apparaissent, il faut savoir les gérer. Au-delà de l’aspect mental, la préparation physique et la musculation sont aussi déterminantes » explique ce grand champion, qui ne compte pas les heures d’entraînement pour atteindre de telles performances.

« Chacun est dans sa bulle Â»

A quelques minutes du départ d’une épreuve, Alain Richioud est dans sa bulle. « Il est important de prendre le temps de mener un vrai travail sur soi Â». Ensuite, la technique prend le dessus. C’est la raison pour laquelle il rappelle que l’apnée est un sport dangereux qui nécessite des connaissances et de la pratique. « Il y a plein de choses à ne pas faire. La première chose à savoir, c’est qu’il ne faut jamais être seul. Un accident peut arriver à n’importe quel moment, y compris pour des athlètes bien préparés. On peut très bien avoir un accident au bout de 20 secondes d’effort. Si on est seul, on peut se noyer Â».

Faire appel à son imaginaire

Pas facile également de gérer sa prestation la tête sous l’eau. Avec l’expérience, Alain Richioud s’est trouvé une méthode qui lui permet de s’évader, d'oublier un peu les difficultés et  de multiplier les performances. « C’est l’imaginaire qui prime. Je me promène dans des paysages idylliques différents. Je me projette en Bretagne, dans les Alpes ou encore dans les Pyrénées » explique t’il. Cet après midi, à Pontarlier, la méthode a encore été payante puisque l’apnéiste a une nouvelle explosé les compteurs.

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