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Pontarlier s’est qualifié pour le huitième tour de la Coupe de France. Les pontissaliens ont battu 2 buts à 1 l’équipe de Saint Louis Neuweg. Les pontissaliens méritent amplement cette victoire. A la fin du match, Plein Air a recueilli quelques réaction.

Jérémy Courtet ( 20 ans – 1ère Coupe de France en tant que titulaire) : « J’ai vécu ces moments là sur le banc l’année dernière. C’est complètement autre chose de les vivre sur le terrain. C’était une belle soirée. La Coupe de France, dans les clubs amateurs, c’est ce qui fait vibrer les gens. C’est pour des ambiances comme ce soir que l’on joue au foot Â».

Julien Schulzendorf (33 ans - Attaquant ) : « Je suis ravi, avec toute l’équipe, que l’aventure continue. J’espère que l’on recevra encore pour le huitième tour. A 33 ans, je rêve d’un 32è de final contre une ligue 1. Il reste néanmoins encore un échelon à passer Â».

Pierre Arbelet ( Président du CAP football ) : « C’était sublime. Entendre une explosion populaire, comme celle que nous avons vécue ce soir, c’est extraordinaire. Entendre hurler, 1500 personnes lors des buts. C’est magique Â»

Jean Luc Courtet ( coach du CAP football) : « On est content. On accède au huitième tour. C’est encore un beau moment de foot à Pontarlier. Mon seul regret est le but que nous avons encaissé en toute fin de période et qui nous a fait peur. Nous avons payé notre suffisance. C’est un point que nous allons devoir régler Â».

C’est fait. Le CAP Pontarlier s’est qualifié pour le 8è Tour de la Coupe de France de football. Grâce à des réalisations de Coly et Courtet, les pontissaliens ont vaincu les alsaciens de Saint Louis Neuweg.Score final, 2 buts à 1

Après 10 premières minutes, confuses et difficiles, les pontissaliens ont dominé leur sujet.

Les performances individuelles de Cyril Letellier, Abba Coly. Julien schulzendorf ou encore jerémy Courtet et Rémy Bonnet ont permis au collectif du Haut Doubs de briller. La réduction du score par les visiteurs, très tendus, en toute fin de rencontre, n'est qu'anecdotique

Le tirage au sort du 8e tour, dernier tour avant l'entrée en lice des équipes de Ligue 1, aura lieu ce mercredi.

 

Ils l’ont clairement dit ce matin à l’occasion d’une grande opération nationale. Selon le ministère de l'Intérieur, au moins 2 100 poids-lourds se sont mobilisés à travers la France. La fédération de routiers Otre, qui a lancé l'appel à la mobilisation, évoque le chiffre de 4 200 camions à la mi-journée.

En Franche Comté, ce sont 120 camions qui ont participé à une opération escargot, qui s’est tenue à Besançon.

L’affaire suscite une vive émotion. Le corps d'un défunt a été incinéré à la place d'un autre jeudi à Caen, dans le Calvados. Lorsque les pompes funèbres sont venues récupérer le corps, la dépouille n’était plus là. Le cercueil avait été enlevé par une entreprise concurrente pour être conduit au crématorium.

Le CHU a diligenté une enquête interne pour comprendre comment cette situation a pu se produire. Quant à la famille du défunt incinéré, elle a, depuis, pu récupérer les cendres de son proche pour organiser ce vendredi une cérémonie de recueillement autour de l'urne qui lui était destinée.

Environ 150 travailleurs frontaliers, répartis dans une centaine de voitures, se sont rassemblés ce samedi matin, à Pontarlier, pour dénoncer le projet de suppression du droit d’option. Cette manifestation, qui s’est déclinée en une opération escargot, était organisée par un collectif de frontaliers, qui ne se reconnait pas dans la mobilisation orchestrée par les associations de travailleurs frontaliers.

Ce matin, les participants ont semé une belle pagaille dans les rues de la capitale du Haut Doubs. Provoquant des ralentissements et suscitant du même coup la colère des autres automobilistes. « Nous avons conscience que nous embêtons certaines personnes, mais il est important pour nous de nous faire entendre pour maintenir nos emplois et notre pouvoir d’achat Â» explique Grégory.

Détermination

Pour l’heure, le collectif pontissalien ne précise pas la suite qu’il entend donner à cette première mobilisation. Une chose est certaine, il n’en restera pas là s’il n’est pas entendu. « En Bretagne, les « bonnets rouges Â» sont bien parvenus à faire reculer le gouvernement. Pourquoi pas nous ? Â» explique Cédric. « Nous ne sommes pas contre le fait de participer à la solidarité nationale, mais pas dans les conditions actuelles. Qui accepterait de perdre 400 euros par mois ? Â» conclut Mickaël. Affaire à suivre.

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