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Après quelques temps de réflexion, Sylvie Vermeillet, conseillère régionale, maire de Cernans et présidente de l’association des maires du Jura, a accepté la proposition de Clément Pernot, le conseiller général sortant du canton de Champagnole, d’être sa partenaire pour les élections départementales de mars prochain, sur ce territoire jurassien. Les deux élus forment ainsi le binôme titulaire, soutenu par la droite.

« Très clairement, Clément Pernot me demande de faire valoir mon expérience régionale et municipale afin de contribuer à l'élaboration des politiques départementales Â» explique l’élue jurassienne. Et de compléter « mon expérience dans ce domaine peut aider à servir un peu mieux le Jura Â». Si, sur ce territoire, la liste de droite semble partir avec un avantage certain, Sylvie Vermeillet ne veut surtout pas crier victoire trop vite. « Il y a l’élément Front National qui fait parler beaucoup de lui en ce moment. Quand on se présente à un suffrage, il faut rester très humble Â» argumente Mme Vermeillet.

Aucune prétention pour la présidence de l’assemblée départementale.

Certains médias régionaux attribuaient à Sylvie Vermeillet des ambitions pour la présidence de la nouvelle assemblée départementale. L’élue dément formellement cette éventualité. « Je n’ai aucune prétention pour la présidence du Conseil Général Â» explique-t-elle. La présidente des Maires du Jura le promet, ses seules ambitions sont de permettre à son groupe de reconquérir le département, géré actuellement par le parti socialiste.

Concernant le panneau d'interdiction de circulation implantée à Chaon, la municipalité de Montperreux fait savoir qu'un arrêté a été pris par la commune pour réglementer la circulation sur ce secteur.

« Le trafic routier devenait très dangereux. Le bus scolaire ne pouvait même plus y passer. Cette route n'est pas faite pour accueillir un fort trafic » nous a expliqué Mr Le Maire, Daniel Capelli.

Rappelons que depuis quelques jours un sens interdit a été installé dans le village pour interdire la circulation des voitures, entre 15h30 et 18h30, au niveau de la rue des Prés-Maillots.

Un SDF a reçu un coup de couteau hier soir à Besançon, aux Glacis, le foyer d’hébergement de nuit des sans-abris. Un individu d’une vingtaine d’années a aspergé d’autres SDF avec du gaz lacrymogène. L’un d’eux, qui est intervenu, a été blessé.

La victime a été touchée au poumon. Elle a été hospitalisée. Son pronostic vital n’est pas engagé. L’agresseur présumé a pris la fuite mais les policiers bisontins ont réussi à l’interpeller. Il a été placé en garde à vue.

Alors que l’on célèbre cette année le  centenaire de l’interdiction de l’absinthe en France, une classe d’une dizaine d’élèves de l’option « accompagnement personnalisé Â» du Lycée Saint-Bénigne de Pontarlier s’est intéressée à l’histoire du produit.

Pour enrichir leurs connaissances, les adolescents, en compagnie de leur enseignante, Maryline Quelet, ont visité le musée municipal pontissalien dont trois salles relatent cette histoire passionnante et tumultueuse. Grâce à l’intervention d’une guide conférencière, le groupe a récolté de nombreuses informations et anecdotes. Il faut bien avouer que l’histoire de l’absinthe à Pontarlier est riche et regorge de nombreux évènements qui font partie de l’Histoire de la capitale du Haut-Doubs.

Les élèves sont intarissables sur le sujet. L’arrivée du fameux breuvage en provenance de Suisse, le lobbying des viticulteurs, la promulgation de la loi sur l’interdiction de l’absinthe par le Président Raymond Poincaré, le 7 janvier 1915, et ses effets catastrophiques sur l’activité économique et l’emploi ou encore le succès du produit en France, … . Autant de nouvelles connaissances que chacun a plaisir à raconter.

L'info est relatée par le journal « Aujourd'hui en France ». Une étude réalisée par des chercheurs de l'université de Franche-Comté établit que la dioxine à une influence néfaste sur la fertilité des hommes.

L'étude implique 250 hommes ayant fréquenté, de près ou de loin l'usine d'incinération de Besançon, dont les anciens fours, aujourd'hui remplacés, avaient rejeté de la dioxine durant plusieurs années.

« Le nombre de spermatozoïdes s'est révélé être en quantité inférieure chez les personnes qui se trouvaient dans l'environnement proche ou immédiat de l'usine » explique le quotidien national.

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