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Le député PS Philippe Duron a remis ce mardi au gouvernement les conclusions de la commission sur l'avenir des trains Intercités, largement déficitaires. Selon ce rapport, « le réseau n'a pas bénéficié des investissements nécessaires en particulier le renouvellement de son matériel roulant, la qualité de l'offre s'est continuellement dégradée (...), les temps de parcours ont sensiblement augmenté et la régularité a régressé». Ainsi, il préconise une réduction des fréquences, du nombre d’arrêts et la suppression de cinq lignes. La ligne 4 ( Paris-Belfort) serait maintenue mais le nombre de ses fréquences seraient revues à la baisse. Les premiers arbitrages interviendront à la fin du mois de juin.

Ce mardi, dans un communiqué de presse, Marie Guite Dufay, la Présidente de la région Franche-Comté, fait savoir qu’elle a dernièrement rappelé à Alain Vidalies, Secrétaire d’Etat aux Transports, à la Mer et à la Pêche, « le caractère primordial du maintien de service actuel pour garantir une desserte complémentaire au TGV Rhin Rhône pour les communes desservies". Marie-Guite Dufay, « s’inquiète des hypothèses avancées par ce rapport, qui entraîneraient une dégradation du niveau de service ferroviaire inacceptable pour le territoire régional Â».

L’aéronef, disparu depuis cet après-midi, a été localisé au nord de la commune de Rondefontaine, dans le secteur de Mouthe, sur une piste de ski de fond, en forêt des Princes. Deux personnes se trouvaient à son bord. Elles n’ont pas survécu à leurs blessures. Elles n’ont toujours pas été identifiées.

L’avion provenait de Lausanne et se rendait à Dole. Sa localisation a été menée de concert entre la préfecture du Doubs et celle du Jura qui avaient déclenché un dispositif de recherches.

Huit patrouilles de gendarmerie ont été engagées pour les recherches, dont une patrouille mixte franco-suisse avec le canton de Vaud.

Cet après-midi, le Préfet du Jura a déclenché le plan de sauvetage aéroterrestre suite à la disparition d'un aéronef provenant de Lausanne à destination de Dole. Cet avion biplace avec deux personnes à bord n'a pas déclenché sa balise de détresse. Le dernier point de survol connu se situe sur une zone limitrophe entre le Jura et le Doubs, dans le nord du département à proximité de Mignovillard.

Des recherches sur le périmètre pressenti de disparition de l'aéronef sont mises en œuvre.

La gendarmerie a déployé des moyens terrestres et aériens sur le terrain. Le peloton de gendarmerie de montagne et le groupe de secours en milieu périlleux des pompiers se rendent sur place

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