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Selon des chiffres de l’Agence Régionale de Santé, la Bourgogne-Franche-Comté reste la deuxième région de métropole la plus touchée par la deuxième vague de l’épidémie de COVID-19. La pression sur le système de soins reste considérable.

Le pic des entrées à l’hôpital a été observé dans la région autour du 9 novembre, avec 180 entrées, le plus grand nombre de personnes hospitalisées étant enregistré le 16 novembre avec près de 1 860 personnes prises en charge, soit presque 500 de plus qu’au pic de la première vague (1 380 personnes hospitalisées). 1 677 décès sont à déplorer en établissements de santé ce 20 novembre, soit 176 de plus en une semaine ; 947 en établissements médico-sociaux d’après les données épidémiologiques de Santé publique France.

Depuis le début de l’épidémie, plus de 10 000 personnes ont été hospitalisées pour une forme grave de COVID-19 en Bourgogne-Franche-Comté.

En fin d’après-midi, les pompiers sont intervenus à l’hôtel Ibis, rue Viotte, à Besançon pour un feu dans une chambre. Deux lances ont été établies pour éteindre les flammes. L’hôtel a été évacué.

Depuis le 1er janvier 2020, la gendarmerie du Doubs a constaté une hausse importante des tapages, portant atteintes à la tranquillité du voisinage ou la santé de l’homme qu’en 2019. Ainsi, depuis le début de cette année, il a été enregistré 205 infractions pour ces motifs contre 114 en 2019. Soit une progression de 80%.

Une amende forfaitaire peut être infligée à l'auteur du trouble, pour un montant de : 68 € si l'auteur des troubles règle l'amende immédiatement ou dans les 45 jours suivant le constat d'infraction ou 180 € au-delà de ce délai. A laquelle s’ajoute une amende de 135 € pour non-respect du confinement.

Les pompiers interviennent actuellement à l’hôtel Ibis, rue Viotte, à Besançon pour un feu dans une chambre.

Selon les derniers chiffres du rectorat de Besançon, sur les 7 derniers jours (du jeudi 12 novembre au jeudi 19 novembre), 633 élèves ont été identifiés cas confirmés et 1418 élèves ont été mis en éviction. Quant aux personnels de l’Éducation nationale, 79 ont été identifiés cas confirmés et 125 ont été mis en éviction.

A ce jour, aucun établissement scolaire ou école n’a fermé. En revanche, sept classes n’accueillent plus d’enfants ou d’adolescents. Aujourd’hui plus de 80 % des lycées de l’académie proposent un enseignement hydride avec une part de cours en présentiel et une autre en distanciel

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