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Ce mercredi, dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, une convention, relative à l’accueil, la prise en charge et la prise des plaintes des femmes victimes de violences dans les locaux du CHRU Minjoz à Besançon, sera signée.

Cet outil s’inscrit dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales et les actions prévues dans le Plan départemental, signé le 25 novembre 2019 par le préfet du Doubs, les procureurs de Besançon et Montbéliard, la présidente du Conseil Départemental du Doubs et les maires de Besançon et Pontarlier.

Il y a du handball ce mercredi soir. Dans le cadre d’un match en retard de la 6è journée de championnat en Proligue, le Grand Besançon Doubs Handball se déplace à Nice. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 18h30.

Par ailleurs, les Bisontins disputeront un autre match ce vendredi soir. Cette fois-ci, pour le compte de la 10è journée, le groupe de Dragan Zovko ira défier Nancy. La rencontre débutera à 20h30.

Le Président de la République Emmanuel Macron s’est expliqué ce mardi soir à la télévision. Il a confirmé la mise en place d’un calendrier en trois étapes. A compter de ce samedi 28 novembre, un premier allégement des règles de confinement est prévu : les promenades seront possibles dans un rayon de 20 kilomètres et pour une durée de trois heures, les activités extrascolaires en plein air seront de nouveau autorisés, les offices religieux seront à nouveau permis dans la limite de 30 personnes, les commerces pourront rouvrir jusqu’à 21h. Le Chef de l’Etat a annoncé la levée du confinement pour le 15 décembre prochain, « si les objectifs sanitaires sont atteints Â». Un couvre-feu sera lors instauré de 21 heures à 7 heures, sur l’ensemble du territoire. Une exception sera accordée pour les fêtes de fin d’année

Un nouvel assouplissement pourra être mis en place à partir du 20 janvier. Ainsi, les restaurants et les salles de sport pourront rouvrir et les cours en présentiels pourront reprendre dans les lycées, puis, 15 jours plus tard, dans les universités.

Enfin, les premières vaccinations sont envisagées dès fin décembre ou début janvier, mais cet acte ne sera pas obligatoire.

Hier, les députés ont adopté en première lecture le texte de loi très controversé sur la « sécurité globale Â», avec 188 voix pour, 104 contre et 66 abstentions. Son article 24, qui punit la diffusion malveillante d’images des forces de l’ordre, est également passé. Le député du Doubs de la République En Marche Eric Alauzet a voté cette loi. Selon lui, « elle permet de protéger davantage les policiers Â» et elle ne va pas à l’encontre des libertés, et notamment celle d’informer.

Mr Alauzet explique que « les violences contre les policiers ont doublé en quelques années Â» et que l’arsenal judiciaire n’était pas suffisant pour les protéger davantage et sanctionner ceux qui menacent leur vie et celle de leur famille Â». Le député du Doubs fait notamment référence aux messages, propos et autres photographies et vidéos diffusés sur les réseaux sociaux, jetant ainsi en pâture leur vie privée et mettant en danger leur sécurité

Quid du droit d’informer ?

Mr Alauzet l’assure. « Cette loi n’entache en rien la liberté d’informer des journalistes Â». « Ils pourront continuer à filmer, publier des images, y compris relatant des actes de dérive ou de violences policières, car cela peut malheureusement exister Â» explique-t-il. Et de poursuivre : « cette loi qui va protéger les policiers leur permettra de travailler avec beaucoup plus de sérénité. Cela évitera des dérapages Â». Hier, Jean Castex, le Premier Ministre,  a précisé qu’il saisira le Conseil constitutionnel sur l’article 24 afin que «ne subsiste aucun doute» sur le «respect» de «l'État de droit».

Un jeune majeur devra s’expliquer en avril prochain devant la justice. L’individu, défavorablement connu de la police, a été identifié à la suite d’un rodéo urbain, pratiqué en août dernier sur une voie piétonne dans le quartier Planoise.

L’individu transportait à tour de rôle d’autres jeunes, non équipés. Il a été auditionné lundi. Ce dernier n’a reconnu que partiellement les faits. Les investigations ont été menées par la cellule anti-rodéo du commissariat de police de Besançon.

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