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Un incendie s’est déclaré ce mercredi, vers 16h30, rue Alexandre Estignard à Besançon. Il s'agissait d'un feu de plancher dans un appartement, situé au premier étage d’une habitation qui en compte deux.

Une lance a été établie pour venir à bout du sinistre. L'occupant du rez-de-chaussée se relogera par ses propres moyens. Les appartements du 1er et du 2è étages étaient inoccupés.

C’est la douche froide pour les stations de ski du massif du Jura. Alors qu’elles avaient prévu de lancer leur saison lors des vacances de Noël, leur motivation a été douchée après la prise de parole d’Emmanuel Macron mardi soir. Elles devront patienter encore. La mi-janvier est dans toutes les têtes.

A Métabief, la station était prête. Il ne manquait plus que la neige. Les saisonniers avaient été recrutés. Mis au chômage partiel, ces derniers prendront leur fonction d’ici quelques semaines. Philippe Alpy regrette cette décision. D’autant plus que l’été dernier, la station avait su s’organiser pour accueillir, tout en respectant les mesures sanitaires, les touristes et locaux, désireux de profiter du bon air du Haut-Doubs et des activités outdoor de la station.

Une perte minime

A Métabief, lorsque l’or blanc est au rendez-vous, le chiffre d’affaire des vacances de Noël s’établit à 10% de celui réalisé sur une saison entière. Ainsi, la perte enregistrée n’est pas très importante, mais il ne faudrait que cela perdure. Pour que la station puisse fonctionner pleinement, Philippe Alpy espère également que tous les secteurs d’activité puissent travailler normalement. Il fait ainsi référence aux bars, restaurants et autres structures qui, pour l’heure, restent clos.

Un jeune homme de 21 ans a été déféré ce mercredi au Parquet de Besançon. Cet habitant du Haut-Doubs faisait l’objet d’un mandat d’amener à la suite d’une non-exécution de peine portant sur une affaire de trafic de stupéfiants.

Il devait effectuer une peine de trois mois de prison ferme. En attendant le résultat des tests toxicologiques, il  a été remis en liberté.

Mercredi 25 novembre, une opération de gendarmerie se tenait de 14h à 17h sur la route nationale 57, allant de Besançon jusqu’à Métabief. Cinq points de contrôle, fixes et mobiles, ont été mis en place. Cette opération répondait à plusieurs exigences : le contrôle des attestations de sortie, de l’alcoolémie, de stupéfiants, ainsi que des grandes vitesses. Cette intervention s’inscrit aussi dans le cadre de la lutte anti-terroriste.

Ces contrôles sont conduits régulièrement, et ne prennent pas place aux mêmes points ni aux mêmes horaires, pour « surprendre et faire respecter les règles sanitaires demandées par le premier ministre et le gouvernement Â» d’après le Major Antoni, chargé de communication de la gendarmerie de Franche-Comté. « Une majorité de la population respecte bien les règles de l’attestation. Une frange minime ne la respecte pas, et est verbalisée à hauteur de 135€ Â» affirme le gendarme.

C’est un nouveau dispositif pour lutter contre les violences conjugales. Une pluralité d’acteurs a signé une convention ce mercredi 25 novembre au parquet de Besançon pour la mise en œuvre de ce bracelet. Il a pour vocation de tenir éloigné les conjoints ou ex-conjoints violents de leur victime. Il sera testé dès le 3 décembre à Besançon, sur un individu qui sortira bientôt de prison, menaçant de représailles son ex-conjointe. C’est un dispositif qui sera généralisé à l’ensemble des juridictions de France à partir de début 2021.

Cet outil est divisé en deux parties, la première destinée à l’individu jugé violent, et l’autre à la victime. Un système de géolocalisation prévient les deux personnes lorsqu’elles sont à proximité l’une de l’autre. Il sera alors indiqué à l’individu porteur du bracelet de s’éloigner. Si cette personne continue sa progression et ne répond pas aux appels du téléopérateur, les forces de l’ordre, police ou gendarmerie, interviendront pour interpeller l’individu, et la personne menacée sera appelée à se protéger, à se mettre en lieu sur.

Ce bracelet anti-rapprochement suppose 3 prérequis :

-          Le fait qu’une personne soit condamnée à une interdiction d’entrer en contact avec une victime

-          Que la personne soit interdite d’un ressort périmétrique autour du lieu de domiciliation de la victime

-          Et enfin il faut l’accord de la victime. Elle sera dotée d’un boîtier, qu’elle va porter physiquement avec elle. Ce boîtier comporte 3 fonctionnalités : une balise GPS qui positionne la victime de façon permanente aux yeux d‘un téléopérateur. Ce qui lui permet d’appeler ou d’être appelée par l’opérateur.

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