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Après un mois de pause estivale, l’activité des crèches municipales a repris depuis mardi dernier à Besançon. Pour cette nouvelle rentrée, la ville annonce l’existence de 646 places. Ce qui permet l’accueil de 1035 enfants. Grâce aux structures associatives et privées, selon la ville de Besançon, « les besoins des familles sont satisfaits Â».

Rosa Rebrab, l’élue déléguée à la petite enfance, assure que tout est mis en œuvre pour accueillir dans les meilleures conditions les enfants qui sont confiés à la ville. Depuis deux ans maintenant, le mode d’attribution des places en crèche a été revu et semble convenir. Les projets éducatif et pédagogique font l’objet de toutes les attentions afin d’améliorer toujours et encore l’accueil des tout petits et répondre aux attentes et aux interrogations des parents. Ainsi, les directrices des quatorze établissements bisontins s’attachent à décliner dans leur structure ces intentions éducatives.

Accompagner et conseiller les familles

Outre l’exigence portée sur la qualité de l’encadrement des enfants, la Ville de Besançon multiplie les initiatives. Des psychologues et des pédiatres interviennent régulièrement dans les structures pour aider au développement de l’enfant et rassurer et conseiller les familles. Des temps de soutien à la parentalité sont également mis en place tout au long de l’année. « L’objectif n’est surtout pas de s’immiscer dans la vie familiale mais d’accompagner ses membres et de tisser du lien Â» explique Rosa Rebrab. C’est ainsi que des conférences, des médiations artistiques autour d’un conte, d’un atelier culinaire, … voient le jour tout au long de l’année.

Atelier de communication signée

Mis en place l’automne dernier, ce moyen de communication, qui sera décliné progressivement dans toutes les crèches municipales bisontines, permet de communiquer plus facilement avec les enfants. Grâce à la communication gestuelle, l’éducatrice peut mieux se faire comprendre. « Ce qui rassure les petits et instaure un climat plus serein Â». Un livret à destination des parents a également été conçu pour permettre la poursuite de cette forme d’échanges à la maison.

La préfecture du Doubs fait savoir que les mesures de restriction de consommations d’eau, prises en le 5 juillet dernier sur l’ensemble du département, sont maintenues. Les débits des rivières et les niveaux des nappes sont en baisse cette semaine par rapport à la semaine passée. Néanmoins, « aucun problème majeur d'alimentation en eau potable n’a été constaté pour le moment par les différents syndicats bien que les niveaux des nappes soient relativement bas Â» précise le communiqué préfectoral.

Il est rappelé que l’utilisation de l’eau hors des stations professionnelles pour le lavage des véhicules est interdite, sauf pour les véhicules ayant une obligation réglementaire et pour les organismes liés à la sécurité. Le remplissage des piscines privées existantes, sauf lors de la première mise en eau de piscines et bassins en construction, l’arrosage des pelouses, des espaces verts publics et privés, des jardins d’agrément, des espaces sportifs de toute nature de 8 h à 20 heures (les jardins potagers ne sont pas concernés) de sont également pas autorisés.

Par ailleurs, les fontaines publiques doivent être fermées lorsque cela est techniquement possible. Il est demandé aux collectivités d’être particulièrement vigilantes aux usages de l’eau par leurs services, qui doivent respecter scrupuleusement les restrictions.

Il est rappelé par ailleurs qu’il est interdit de naviguer (canoë, kayak, raft) sur de nombreux secteurs de la Loue, le débit de cette rivière étant inférieur à 5m³/s à Vuillafans. Le non respect de ces interdictions peut être puni d’une contravention.

Le nombre de tués est reparti à la hausse. En juillet 2017, six personnes ont perdu la vie, dont trois motards, sur les routes du Doubs.

C’est la période la plus meurtrière depuis le mois de mars 2016, date à laquelle huit personnes avaient succombé à leurs blessures à la suite d’un accident de voiture.

Depuis le début de l’année, les autorités enregistrent 18 tués (-6 par rapport à 2016 sur la même période), 167 accidents (-19) et 202 blessés (- 14) dans le Doubs.

Les chiffres du chômage pour le mois de juillet 2017 sont connus. En bourgogne Franche-Comté, fin juillet 2017, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A s’élève à 130.490.

L’augmentation est de 1% par rapport à juin dernier (-2,9% sur un an). En France métropolitaine, ce nombre augmente de 1% sur un mois et de 0,1% sur un an.

Par département, l’évolution par rapport à juin 2017 est la suivante : +0,6% dans le Doubs, +0,2% dans le Jura, -0,4% en Haute-Saône et +0,6% dans le Territoire-de-Belfort.

Pour le député belfortain (UDI) « l’annonce faite par le Ministre du Budget concernant la hausse de la CSG est comme on pouvait le craindre un marché de dupes. Alors qu’au départ, le candidat Macron avait annoncé que cette hausse de CSG serait couplée par une baisse de charges et la suppression de la taxe d’habitation, voilà qu’il n’en est rien. En effet, la hausse de la CSG est bien pour le 1er janvier 2018, sa compensation en baisse de charge serait étalée en deux fois sur l’année 2018, quant à la suppression de la taxe d’habitation, elle est prévue sur 3 ans ! Résultat, c’est un marché de dupes où il n’y a que des perdants ! Les salariés qui ne sont qu’en partie compensés mais aussi les fonctionnaires, les professions indépendantes et bien sûr les retraités. Et avec un double effet, celui de la hausse de l’impôt sur les revenus, dans la mesure où la baisse de cotisations augmente le salaire net et donc à la fin l’impôt et la CSG explique-t-il. 

Pour le parlementaire, « la hausse de la CSG sera dangereuse pour le pouvoir d’achat des Français et donc pour le développement économique de la France. Les discussions budgétaires en automne seront donc cruciales Â». Michel Zumkeller annonce qu’il y « prendra toute sa part, afin de préparer une autre alternative Â».

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