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Depuis lundi, les ambulanciers se mobilisent pour dénoncer leurs conditions de travail. A Besançon, les professionnels mobilisés regrettent la faible participation de leurs collègues à ce mouvement national.

Les revendications portent sur les salaires. Les grévistes se disent mal payés et demandent une meilleure considération de la profession. Ils demandent par exemple la rémunération complète des heures travaillées, notamment celles de nuit qui ne le sont qu’à hauteur de 75%.

Lundi, ils ont distribué des tracts à l’entrée de l’hôpital Jean Minjoz pour sensibiliser l’opinion publique et le milieu médical. Ce mardi, ils manifestaient dans le cortège bisontin aux côtés d’autres salariés.

Du côté de la participation. En Franche-Comté, la CGT est satisfaite de la mobilisation dans les différents rassemblements organisés dans la région.

Elle annonce 2200 manifestants à Besançon, 1000 à Montbéliard, 1100 à Belfort, 400 à Dole, 300 à Vesoul et 150 à Saint-Claude.

Les secours interviennent actuellement à Lavancia Epercy (39) pour un accident de la circulation impliquant une voiture seule couchée en travers de la chaussée, avec une victime consciente à l’intérieur. Les opérations de désincarcération sont en cours.

Journée de mobilisation ce mardi à Besançon pour dénoncer la loi travail et les ordonnances Macron. Des retraités, des salariés du public et du privé, des étudiants et des lycéens ont répondu à l'appel syndical. A Besançon, pas de division syndicale, la CGT, FO, Solidaires et la CFDT ont manifesté ensemble. Pacifiquement, en chanson, en scandant des slogans chocs et en défilant dans les rues du centre-ville, les manifestants ont montré leur détermination et leur désapprobation à la politique sociale initiée par l'état.

Pour les étudiants et les autres jeunes présents, « ras-le-bol de devoir toujours faire des sacrifices ». Ils dénoncent les nombreuses décisions gouvernementales qui fragilisent leur quotidien et celui de leurs parents et grands parents : la baisse des APL, la réforme des retraites, la loi travail bien sûr et la normalisation de l'état d'urgence. « Nous ne sommes pas des fainéants et des cyniques. Nous sommes le peuple qui en assez de travailler de plus en plus pour gagner de moins en moins. Pas question d'être renvoyé pour n'importe quel motif » expliquent-ils

Certains de ces jeunes ne voient également pas leur entrée de le milieu du travail d'un très bon œil. Il juge cet univers hostile et ne voient comment ils peuvent s'y épanouir. On écoute la réaction de l'un d'eux.

Les secours du Jura sont intervenus ce matin vers 8h20 pour un feu de garage d’environ 500 m² à Cousance. 200m2 du garage appartenant à un particulier sont partis en fumée. L'incendie a été maitrisé et les opérations de ventilation et de déblai sont en cours.

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