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La biathlète du massif jurassien, Lou Jeanmonnot-Laurent a vécu une riche saison. A seulement 19 ans, elle termine la saison avec deux globes de cristal et un titre mondial. Aux côtés de ses coéquipières Myrtille Bègue et Camille Bened, elle a été décrocher le titre mondial du relais féminin juniors. 

En course individuelle, elle conclut la saison avec l’obtention de deux globes de cristal, celui du classement général de la coupe du monde junior, et celui de la spécialité sprint.

Quel avenir pour la jeune biathlète ?

Certains l’imaginent déjà suivre le pas des grands athlètes de l’équipe de France senior comme Anaïs Bescond. Mais Lou Jeanmonnot-Laurent reste les pieds sur terre « pour l’instant si je peux rester avec l’équipe junior ça me convient. Sur le circuit junior, je prends de l’expérience en attendant de pouvoir un jour rejoindre le parcours senior Â» explique-t-elle.

Depuis la fin de la saison hivernale, la biathlète fait une pause en ski. « Au mois d’avril, c’est la vrai pause, puis dès le mois de mai on repart sur les routes pour enchaîner la course à pied, le vélo et le ski roues. Il ne faut pas perdre le rythme Â».

Mais le mois d'avril est aussi l'occasion pour la championne du monde de se replonger dans les cours. Elle qui est en deuxième année de licence STAPS à Besançon, n'a presque pas été à la Fac depuis septembre, c’est donc le moment de rattraper le retard accumulé.

Elle consiste pour l’escroc à se balader avec une voiture au rétroviseur cassé et à simuler, de préférence avec une personne âgée, un léger accrochage.

L’astuce consiste alors à accuser l’autre automobiliste d’avoir cassé son rétroviseur et de lui demander le nom de son assurance. Là, l’individu effectuera un appel à la dite assurance, prétextant qu’il en est aussi client, avec au bout du fil un complice.

Ce dernier expliquera à la personne piégée qu’un arrangement amiable en liquide est préférable, n’hésitant pas en cas d’hésitations de la victime à hausser le ton et avancer des risques bien plus importants encourus en cas de désaccord.

Une supercherie qui, quand elle fonctionne coûte aux malheureuses victimes de quelques dizaines à quelques centaines d’euros.

Il est donc conseillé de rester vigilant et de ne jamais remettre d’argent à qui que ce soit, si l’on se retrouve au milieu d’un accrochage ou d’un accident de voiture. Si quelqu’un vous demande de le dédommager en liquide, relevez sa plaque d’immatriculation, le modèle de sa voiture, et contactez rapidement les forces de l’ordre.

Danielle Brulebois, Fanette Charvier, Barbara Bessot-Ballot, Eric Alauzet, Denis Sommer, Frédéric Barbier et Christophe Lejeune, les députés comtois de La République en Marche s’inquiètent pour la filière bois et pour celle du chêne en particulier. Dans un courrier commun, ils sollicitent une rencontre avec le Ministre de l’Agriculture.

« Avec un taux de boisement de 44%, la Franche-Comté est l’une des régions les plus boisées de France. La situation que nous remonte le terrain est particulièrement inquiétante Â» écrivent-ils évoquant pour les scieries spécialisées dans cette essence un fonctionnement à 60% de leurs capacités « par manque de matière première puisque les volumes disponibles ont été divisés par près de deux en dix ans Â». Les départs en Chine de chêne brut auraient ainsi augmenté de 35% entre janvier 2017 et janvier 2018.

 Il est donc question selon ces élus de la pérennité de la filière alors que 10000 emplois sont concernés dans ce secteur d’activité particulièrement présent dans certaines zones de Franche-Comté. « Face à ce contexte, le plan forêt-bois est particulièrement urgent Â».

L’évènement approche à grands pas. Il se tiendra les 26 et 27 mai prochains. Ce week-end là, le Besançon Université Club Escrime (BUC) accueillera les Championnats de France des moins de 20 ans au sabre. La compétition s’annonce relevée puisque les meilleurs jeunes français de la discipline, âgés entre 17 et 20 ans, se défieront en terre comtoise. A l’image de Kevin Deschenes, son président, le club ne cache pas sa satisfaction de pouvoir proposer un tel évènement en Franche-Comté. En attribuant l’organisation de cette compétition au club bisontin, la fédération française d’escrime reconnaît le sérieux et les compétences du BUC. Le collectif s’est montré à la hauteur ces dernières années en prouvant son efficacité et son savoir faire lors de différentes compétitions nationales, et notamment la demi-finale des championnats de France il y a deux ans.

Donat Gloriot

Près de 300 participants sont attendus au palais des sports de Besançon pour ces deux jours de compétition. Le samedi, se disputeront les épreuves individuelles. Quant au dimanche, place au tournoi par équipe. Retenus pour leurs résultats obtenus sur le circuit national, ces jeunes champions français, garçons et filles, viennent ainsi chercher un titre national ou un podium en 1ère ou 2è division. Le club de Besançon sera représenté par Donat Gloriot (19 ans). Le jeune étudiant bisontin, actuel 51è Français, est qualifié pour les championnats de France de 2è division. Selon Kévin Deschenes, son président, il peut largement prétendre à une médaille.

Le pôle des microtechniques de Bourgogne Franche-Comté a lancé ce mardi 17 avril sur le site de Temis Innovation à Besançon son programme « propulseur Â» qui vise à compléter ou améliorer les services des dispositifs d’accompagnement existants. Cet outil propose un accompagnement « intense et sur mesure Â» aux startups et PME/PMI innovantes dans le domaine de la santé et des microtechniques sur une période allant de trois à 18 mois. Il s’agit de leur proposer un parcours d’innovation bien spécifique pour les aider dans la création d’une nouvelle entité ou d’une nouvelle activité.

Ainsi, des solutions sont apportées pour toutes les phases du développement et de l’entreprise, allant de la propriété intellectuelle à l’organisation interne, aux financements, à l’industrialisation du produit en passant par l’international. « Nous n’avions pas encore cette palette d’accompagnement » explique Etienne Boyer, le Président du Pôle de compétitivité des Microtechniques . Et de poursuivre : «  Notre ambition est de proposer une offre adaptée et individualisée à la situation de chaque nouveau projet Â».

Un appel à candidature est d’ores et déjà ouvert aux startups et entreprises innovantes pour intégrer le dispositif. Pour candidater, il suffit de se connecter sur www.propulseur-bfc.com . Soulignons que cette initiative est soutenue financièrement par de nombreux partenaires : conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Dijon Métropole, Communauté d’agglomération du Grand Besançon, Crédit Agricole de Franche-Comté avec le Village By CA Besançon, la Caisse d’Epargne de BFC et le Pôle des Microtechniques.

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