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L’information pourrait paraitre anodine. Imaginez, une boucherie à la vitrine cassée à coup de jets de pierres. Non ce n’est pas un coup des Blacks Blocs qui ont semé la pagaille à Paris le 1er mai, mais bel et bien un coup de colère contre un petit commerçant. Enfin, des petits commerçants puisque l’incident s’est répété six fois ces dernières semaines dans le canton de Genève.

Les assaillants, s’ils courent toujours, ont pu être identifiés comme appartenant à un groupe de défenseurs de la cause animale. « La signature des militants antispécistes est claire Â» a précisé la Police, sans en dire plus pour ne pas compromettre l’enquête. (Ndlr : les antispécists refusent le droit de mort de l'être humain sur l'animal et ne consomment pas de produits alimentaires provenant d'animaux).

Faut-il craindre de tels agissements en France. Certes des militants défendent eux aussi la vie des animaux et prônent de ne pas en manger mais ils sont jusqu’à présent pacifistes. Malheureusement, comme dans tout groupe humain, il y a aussi des individus extrémistes aux méthodes radicales.

Lors de sa récente assemblée générale, la Fédération de Chasse du Doubs avait soulevé le sujet précisant qu’au niveau national « Les Fédérations travaillent sur les problématiques liées à la montée des mouvements militants pour la cause animale... Le département du Doubs est concerné et la défense de la chasse se fera avec le monde rural et particulièrement le monde agricole qui subit de plein fouet cette vague d’attaques Â» précisaient même les responsables.

Phénomène de société nouveau, le mouvement pour le « bien-être animal Â» a pris une ampleur considérable ces derniers mois, avec les vidéos sur le mauvais traitement des animaux domestiques dans certains abattoirs. « Ce mouvement est animé par une minorité qui, sous couvert de militer pour la bientraitance des animaux domestiques, privilégient la nourriture végétarienne et visent à bannir toute forme d’utilisation de produits d’origine animale : viande mais également lait, Å“uf, cuir, laine… Â».

« Des U7 aux seniors les filles qui aiment le ballon rond peuvent évoluer dans toutes les catégories au club des Fins Â» se réjouit l’entraineur des ainées Thomas Tournier qui souligne l’importance de ce réservoir de jeunes joueuses pour que le club puisse continuer à évoluer.

Car c’est bien de cela qu’il est question. L’équipe fanion est en effet en course pour une montée en R1F, la régionale 1 Féminine, le plus haut niveau de Bourgogne Franche-Comté. « C’est la deuxième phase de la saison et déjà lors de la première moitié nous avons gagné notre montée en R2F Â» souligne le coach.

Il ne reste aujourd’hui que 4 matchs avant peut-être de gagner un ticket pour un niveau qui est celui juste en dessous de la Ligue 2 féminine. « La dernière journée contre Miserey avec qui nous sommes co-leaders sera peut-être une finale Â».

Une montée qui entrainerait quelques bouleversements, notamment des déplacements beaucoup plus long et parfois difficile à assumer pour certaines joueuses qui peuvent avoir d’autres obligations. « Ã§a nous oblige donc à nous renforcer pour avoir un groupe assez large Â» explique Thomas Tournier, confiant pour l’avenir de son équipe et fervent défenseur du foot féminin : « Il y a plus de jeu et moins d’embrouilles. C’est vraiment un tout autre état d’esprit Â» plaide-t-il.

Lauralyne Demesmay est devenue ce dimanche la nouvelle Miss Doubs. Cette jeune femme, âgée de 18 ans, originaire de Devecey, près de Besançon, est actuellement en terminale filière économique et sociale, option européenne anglais, au lycée Saint Jean à Besançon. A l’issue de cette année scolaire, en fonction de l’épilogue de l’élection Miss Franche-Comté et donc de sa participation à l’élection Miss France, elle intégrera cette année, ou la suivante, une prépa HEC aux hautes études commerciales. Elle le promet, elle ne laissera pas tomber ses études. Quoiqu’il en soit.

La Doubiste savoure ce sacre. Depuis hier, les rendez-vous se multiplient. Interviews, shootings photos, … , son emploi du temps s’est très rapidement rempli. Ce qui n’est pas pour lui déplaire. Lauralyne a souhaité participer à cette aventure. C’est un défi qu’elle a voulu se lancer. Soutenue par ses parents, elle entend se donner à fond et profiter pleinement de cette notoriété. Désormais, son objectif est de bien représenter le département du Doubs et de préparer la future échéance régionale qui s’annonce. L’élection de Miss Franche-Comté aura lieu le 20 octobre prochain à Belfort. Miss Doubs peut compter sur ses proches et ses amis lycéens pour l’aider à réussir ce projet personnel.

Depuis la victoire en finale de coupe de France en février dernier, le Tchoukball Club Comtois en rêvait. Et il l’a fait.

Au terme d’un week-end riche surtout en bons moments, face à des équipes venues de toute la France, garçons et filles de Valdahon n’ont pas tremblé et ont assumé leur statut de favori tout en jouant à domicile.

Au final, ce sport mixte méconnu sort un peu plus de l’ombre encore grâce à cette nouvelle performance et offre à la petite ville des portes du Haut-Doubs un doublé coupe championnat de France. Historique !