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Association engagée comme son nom l'indique dans la protection de la nature et de l’environnement, FCNE (Franche-Comté Nature Environnement) souhaite créer un réseau dans un but de conservation du patrimoine génétique, et de préservation de la biodiversité locale avec ses adaptations spécifiques (rusticité, résilience, …)

« Cela répond également au besoin d’approvisionnement en jeunes plants d’origine locale pour la plantation de haies effectuées dans le cadre du programme Biodiversit’haies Â» précise l’association qui recherche donc des référents locaux « pour contribuer à la récolte de graines labellisées Végétal Local Â».

Pour rappel, la création du label « Végétal Local Â»  s’est faite en réponse à l’appel à projets du Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie en 2011 avec pour objectif « la conservation et utilisation durable d’espèces végétales indigènes pour développer des filières locales », action alors lancée dans le cadre de la Stratégie nationale pour la biodiversité.

Organisée en mars dernier au centre nautique du Val de Morteau, la nuit de l’eau est une manifestation humanitaire, organisée au niveau national par l’UNICEF et la Fédération Française de Natation. Elle a pour objectif de récolter des dons pour favoriser l'accès à l'eau en potable dans le monde en invitant le plus grand nombre de personnes à venir plonger dans les piscines de France.

Pour la 7ème année, La Ville de Morteau , le Centre Nautique du Val de Morteau, la MJC, le Maison familiale Rurale des Fins et le Club UNICEF du Collège Jeanne d'Arc ont organisé ensemble cette soirée de solidarité.

Aux Fins, particuliers et entreprises se sont donc mobilisés ce qui a permis de faire un don de 1806€ à UNICEF somme plus particulièrement destinée à favoriser l'accès à l'eau potable à Haïti, pays sinistré.

L’Alliance Natation Besançon participe actuellement aux Championnats de France Promotionnels qui se disputent à Dunkerque. Trois nageurs sont en compétition. Le club bisontin est représenté par Pauline Biguenet (16 ans) qui se présente sur trois nages ( 200 m nage libre, 50 m papillon et 100 m papillon), Mathias Gilbert (17 ans) qui a d’ores et déjà pris la 20è place lors des séries du 200 m dos et qui participera au 100 m dos et Hugo Mila (16 ans), qui a terminé 30è des séries dans le 400 m nage libre et qui s’élancera sur le 1500 m nage libre.

Concernant les autres rendez-vous à ne pas manquer. Deux nageurs bisontins se rendront la semaine prochaine à Saint-Raphaël pour les championnats de France élite. Ils seront également accompagnés d’un officiel du club qui officiera lors de cette compétition.

Cette méthode vient de Belgique, elle est destinée aux familles et aidants de personnes atteintes d'autisme avec une intelligence normale et/ou avec une déficience intellectuelle (TED/TSA - symptômes autistiques...).

L’approche Communication Concrète se fonde sur un certain nombre de principes de base. « C’est une communication positive, visuelle ou tangible qui tend à rendre explicite ce qui est implicite, afin d’éclaircir le monde. Nous pouvons communiquer par le biais de la langue, mais aussi d’images ou d’objets » explique l’organisme.

« Dans un premier temps, nous utilisons l’approche Communication Concrète pour créer un confort de base. Sans ce confort de base, les individus ne sont pas en état de se développer et d’apprendre. Elle est aussi une part essentielle de la qualité de vie. La Communication concrète permet de mieux comprendre le temps, les espaces et les attentes, afin de garantir ce confort de base ».

Mais la personne autiste peut aussi développer des aptitudes, un travail est donc mené sur une double voie. « Non seulement nous adaptons l’environnement, mais nous rendons aussi la personne autiste plus compétente, nous l’aidons à aller plus loin sur la voie du développement.

Pour ces professionnels, l’individualisation devient un nouveau concept clé. Les points forts comme ses points faibles de la personne autiste déterminent la forme de communication concrète et orientent les objectifs d’apprentissage. « Nous ne devons pas non plus perdre de vue la fonctionnalité. Ce que nous enseignons via la communication concrète doit vraiment apporter quelque chose à sa vie quotidienne »