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Fort de ses bons chiffres diffusés en début de semaine en matière de Sécurité Routière, le Jura communique par le biais de la Préfecture sur l’évolution de la politique en la matière depuis 45 ans. Des mesures souvent polémiques mais avec des résultats, en l’occurrence 5 fois moins de morts entre 1973 et 2018. Une piqure de rappel avant l’arrivée controversée des 80 km/h en juillet…

« Personne ne peut savoir à l’avance en montant dans une voiture si la ceinture sera utile ou néfaste Â», « Le casque, moi personnellement, ça me gêne Â», « Boire du vin c’est pas, quand même, de l’alcool Â», « Entre rouler à 180 correctement et rouler à 60 n’importe comment, y’a pas photo, je préfère 180 correctement Â»... Voilà quelques commentaires que vous retrouverez dans cette vidéo.

Depuis quelques mois l'annonce de la diminution de la vitesse à 80 km/h sur les routes bidirectionnelles sans séparateur central fait beaucoup parler d’elle. Mais que disaient nos parents lorsque la ceinture de sécurité est devenue obligatoire ? Le port du casque à moto ? La baisse du taux d’alcool au volant ? Le 50 km/h en ville ? Petite plongée dans les archives de l’INA, qui nous révèlent que la sécurité routière a toujours fait réagir les Français...

« Les grandes mesures de sécurité routière évoquées dans ce film ont permis de passer de presque 17 000 morts à moins de 3 500 morts par an en France Â» rappelle la préfecture du Jura.

Pour voir la vidéo de la Sécurité Routière : https://www.youtube.com/watch?v=zB0BakJBgUY&feature=youtu.be

Les aidants, habitués à apporter une aide régulière à un membre de leur entourage en situation difficile, pensent rarement à demander de l’aide pour eux-mêmes. Aussi est-il proposé un atelier collectif « information santé » qui a pour objectif de renseigner et de sensibiliser chaque participant « aidant » aux risques médicaux spécifiques liés à sa situation et sur l’importance d’un suivi médical régulier.

Dans les semaines suivantes, chaque participant sera invité à consulter son médecin traitant pour un examen général. À l’automne, les intervenants seront conviés à une nouvelle rencontre pour échanger sur leur santé, pour recenser leurs besoins et pour que leur soit présenté l’ensemble des offres de soutien en place sur leur territoire.

 

On ne va pas se le cacher. On aurait préféré que cette finale U19 de Coupe de Franche-Comté se dispute à Léo Lagrange. Malheureusement en raison de la venue prochaine de l’équipe de France espoirs à Besançon et pour éviter de multiplier les rencontres sur la célèbre pelouse bisontine, la ligue de Bourgogne Franche Comté a délocalisé l’évènement à Baume-les-Dames. Cette nouvelle destination n’entache pas la détermination des jeunes pontissaliens. Bien au contraire.

Gaëtan Receveur, le coach de cette sympathique équipe, reconnaît qu’une finale de Coupe de Franche-Comté, quel que soit le lieu, galvanise ses jeunes joueurs. Les footballeurs eux-aussi sont ravis de participer à ce nouveau rendez-vous et remettre en jeu leur titre, remporté l’année dernière face à une valeureuse équipe de Courcelles-les-Montbéliard. Cette année, l’adversaire est le Racing Besançon, qui a montré au tour précédent, face à Morteau Montlebon, qu’il avait bien l’intention de remporter le trophée. Dans le Haut-Doubs, ce derby est attendu avec impatience. « Les matches contre le Racing Besançon sont toujours particuliers. On se connaît bien. On a participé à certaines détections pour l’équipe du Doubs. On a parfois porté ces mêmes couleurs Â» expliquent Colas Vuillemin, le Capitaine, et Loïc Marguet, son coéquipier.

A Pontarlier, comme pour chaque compétition, rien n’est laissé hasard. Tout au long de la semaine, les jeunes ont multiplié les séances d’entraînement. Tous les aspects ont été travaillés. En bon technicien qu’il est, Gaëtan Receveur connaît les forces et les faiblesses de l’adversaire. Une préparation identique a sans doute été menée à la Malcombe. Lahouari Belhaj et Kebir Tahraoui ont dû également mobiliser leur troupe. C’est ce que nous vous raconterons dans quelques heures.

Le thème portera sur la "Bio Diversité". Il sera développé par Jacques IOSET. L’ours est un animal extrêmement difficile à voir, plus encore à immortaliser. Et pourtant, un photographenaturaliste s’est fixé, voici vingt ans, un défi complètement fou.

S’immerger dans une forêt des Balkans, y pister les ours, cerner de mieux en mieux leurs petites habitudes… et, transformer au fil des saisons et des années cette somptueuse forêt en un studio photographique unique au monde. Jacques IOSET a sans doute vu vivre les ours comme personne d’autre avant lui, mais il a aussi composé des lumières fascinantes avec des dizaines de flashs suspendus dans les arbres.

Quand la nuit tombe, les prises de vue se poursuivent et réinterprètent avec douceur les clairs obscurs du clair de lune. Peu à peu, au fil des pages et des années d’affûts, l’auteur nous entraîne dans les profondeurs d’une quête toujours plus intime. Au final, des ours, on ne distingue plus que quelques traits, une échine puissante, un pas dans l’obscurité. Plus sauvages que jamais.

Le conférencier : Né en 1959 dans le Jura suisse, Jacques IOSET reçoit sa première paire de jumelles à onze ans. Ce biologiste et photographe se passionne pour les prédateurs. Il a fait de nombreux voyages dans le Grand Nord et participé à plusieurs expéditions scientifiques au Spitzberg et au Groenland. Depuis plus de vingt ans, il passe presque tout son temps libre dans une forêt d’Europe de l’Est qui ressemble furieusement à ce qu’il peut trouver sur les crêtes autour de chez lui . . . mais en plus sauvage et surtout avec des ours. Cette conférence en images est l’aboutissement de plus de vingt années de prises de vues.

Après le souhait de Sylvie Dabert de ne pas renouveler sa présidence, après 15 ans de bons et loyaux services, l’association Commerce Pontarlier Centre a une nouvelle patronne et un nouveau bureau. La dernière assemblée générale a élu Charline Bardot à la tête de cette association pontissalienne. Agée de 28 ans, cette jeune présidente tient un salon de coiffure au centre-ville de la capitale du Haut-Doubs.

Charline Bardot reconnaît le travail mené par Mme Dabert. Elle a conscience des responsabilités qu’elle endosse. C’est la raison pour laquelle elle compte sur le soutien de toute son équipe pour l’aider à réussir son mandat et à conduire les projets prévus pour toujours et encore promouvoir et défendre  l’activité commerciale au centre-ville.

A ce sujet, deux principaux projets sont dans les cartons. L’association des commerçants du centre-ville entend mettre en place un site internet dédié à la vente en ligne de produits locaux et la mise en place de paniers shopping pour faciliter le transport des marchandises et inciter les clients à utiliser les parkings gratuits situés à proximité du centre-ville.

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