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La tâche s'annonçait compliquée pour les hommes de Dragan Zovko. Le GBDH, douzièmes avant la rencontre, affrontait Nancy, quatrième, ce vendredi soir pour le compte d'une nouvelle journée en Proligue.

Malgré une meilleure deuxième mi-temps, les bisontins s'inclinent lourdement 35-24 après une première mi-temps catastrophique, offensivement comme défensivement.

La mission maintien se poursuivra samedi prochain face à Valence, alors que le GBDH ne compte qu'un petit point d'avance sur Sarrebourg, premier relégable.

Ce vendredi, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire était en visite en Côte d'Or et en Haute-Saône. Le membre du gouvernement est venu visiter deux entreprises soutenues par France Relance, ainsi que le site du collège Gérôme, qui accueillera le futur DGFIP de Vesoul, et son CFA.

Grand ami du maire de Vesoul Alain Chrétien, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire ne pouvait pas conclure sa visite en Bourgogne-Franche-Comté sans passer par la Nice de l'Est. Concernant l'implantation de la direction générale des finances publiques (DGFIP) à Vesoul, le membre du gouvernement a affirmé sa volonté d'assurer une équité entre les territoires : « Les territoires ruraux ont le droit aux mêmes services que les autres. Il n'y a pas de territoire d'élite, et de territoires secondaires. Les services publics doivent être présents sur l'ensemble du territoire national, c'est une question de justice et d'équité ». À cet effet, le ministre de l'Économie a annoncé la délocalisation de 5000 agents de la DGFIP qui s'implanteront dans les différents territoires au plus près des administrés, dont 50 à Vesoul. Une mesure qui permettra aux habitants de bénéficier d'un meilleur service : « C'est aussi une question d'efficacité. On gagnera en efficacité avec des agents au plus près des habitants, plutôt qu'à des centaines de kilomètres ».

Une volonté d'aider les projets innovants

Outre ce déplacement à Vesoul, Bruno Le Maire a également visité deux entreprises de la Région bénéficiant de l'aide de France Relance. Dans un contexte sanitaire et économique compliqué, le ministre de l'Économie a confirmé la volonté de l'État d'apporter son aide aux entreprises innovantes qui souhaitent investir et embaucher : « Il y a énormément d'inquiétude économique, je le mesure. Nous voulons apporter une réponse en réinvestissant dans le territoire. Les entreprises que j'ai visité ce matin hésitaient à investir. Nous leur apportons 1 million d'euros pour la première et 1,5 million pour la seconde ». Grâce à ce coup de pouce de l'État, les entreprises en question devraient respectivement ouvrir une trentaine et une centaine d'emplois. Une perspective d'embauche intéressante pour les jeunes notamment, dont la difficulté à s'insérer dans le monde professionnel ne cesse de croître. Une initiative félicitée et soutenue par Bruno Le Maire : « C'est la perspective d'un territoire qui se réindustrialise. Si les enveloppes sont épuisées et qu'il faut les recharger, nous n'hésiterons pas, si les projets sont innovants et créent de l'emploi rapidement ».

L' Agence Régionale de Santé fait le point sur la situation épidémique en Bourgogne-Franche-Comté. Il est constaté une baisse du taux d'incidence. Néanmoins, la situation reste fragile. Ce léger recul ne doit toutefois pas faire oublier la forte contagiosité des variants du virus.

Plus de 1 500 patients sont pris en charge pour des formes graves de la COVID, soit davantage encore qu'au pic de la première vague. Par ailleurs, plus de 3.600 décès sont répertoriés en établissements de santé ; Plus de de 2 140 décès dans les établissements médico-sociaux de Bourgogne-Franche-Comté.

Concernant la campagne de vaccination, plus de 138.000 personnes ont reçu une première injection, dont plus de 55.000 ont bénéficié d'une deuxième injection, au 17 février dernier.

A partir du 25 février, plus de 1.250 médecins de Bourgogne-Franche-Comté, qui ont opéré des commandes auprès des officines, pourront administrer le vaccin AstraZeneca à leurs patients de 50 à 64 ans présentant des comorbidités.

L'ARS rappelle en particulier qu'à compter de ce lundi 22 février, la durée de l'isolement de tous les patients dont le test sera positif passera de 7 à 10 jours.

Cet après-midi, vers 15h30, à la Vèze, un homme de 47 ans s'est blessé grièvement au niveau de la cuisse lors d'une activité de bûcheronnage. Après avoir été médicalisée par l'équipe SMUR, la victime a été transportée sur les urgences traumatologiques de Minjoz.

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