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« Des solutions précipitées et coûteuses pourraient aboutir au gaspillage de fonds publics en n’améliorant pas ou très peu un Doubs agonique et déjà plus qu’amoindri avant les pertes Â» explique le collectif SOS Loue Rivières Comtoises qui montent à nouveau au créneau après les premières mesures appliquées suite à la catastrophe écologique de ces dernières semaines.

Pour les membres de ce collectif, tous fins connaisseurs de la question de l’eau, le phénomène karstique naturel irrémédiable est encore accentué par des facteurs d’origine humaine notamment les étiages et l’érosion de la rivière, ce qui ne doit pas non plus faire oublier une qualité de l’eau lamentable dans ce secteur

« les assecs ont la particularité d’attirer les caméras donc les politiques…» déplorent-ils (ce matin encore une grande chaine d’information continue organisait dès 7h des directs depuis le lit de la rivière…).

Ils poursuivent : « on ne connaît rien ou presque à ces nouvelles failles… Mais causes de tous les maux et de toutes les angoisses, bouc émissaire bien pratique, il faut faire taire ces pertes ! Les premières dérives n’ont pas tardé, c’est peu dire ! Â».

Bien entendu, ils prennent acte des travaux effectués avec des premiers constats sur le terrain qu’ils jugent inquiétants : « en plein lit de la rivière un des regards en béton posé récemment devait court-circuiter une faille mais seulement à l’étiage. La hauteur du regard, 90 cm tout de même !, laisse déjà supposer une alimentation de la faille plutôt en cas de bon coup d’eau… Et ce samedi, une fois le béton sèché, on constate que tout le fond est bétonné et colmaté contrairement au projet initial…, rendant inopérant l’alimentation en eau de cette faille quelque soit le débit du Doubs Â».

Reméandrer…Dans quel but ?

Redonner son cours naturel au Doubs est une solution évoquée ces derniers jours. « S’agit-il alors plutôt, après un effet de green washing et de communication, de nous faire un reméandrement bien étanche, en somme planter des roseaux dans un canal qui tourne mais qui ne dit pas son nom? Â». Une possibilité que SOS Loue Rivières Comtoises ne rejettent pas mais sur laquelle elle s’interroge non sans une pointe d’humour : « Belle photo d’inauguration garantie. Mais au risque de poursuivre le réchauffement de l’eau et d’entretenir une guerre de l’eau débutante entre vallées Â». Et pour quel but ? Â« Permettre à un filet d’eau pollué de couler à Entre-Roches ? Se donner bonne conscience et l’illusion de sauver nos rivières? Garantir de l’eau au barrage du Chatelôt ? Répondre aux injonctions de quelques responsables bien placés ? Â»

Le Collectif n’est opposé à rien dans l’immédiat mais s’inquiète des incertitudes liées à des aménagements précipités et demande qu’un bilan précis des circulations souterraines soit fait pour savoir où et à quelle vitesse ressort cette eau. « C’est un préalable indispensable qui permettra de réfléchir concrètement pour les rivières et l’alimentation en eau potable Â».

Naissances :

18/08/18 – Maëline de Sylvain PAGNOT, régleur et de Charline MAIRE, agent territorial.

19/08/18 – Alix de Luc VIENOT, conducteur de chantier et de Johanna MULLER, technicienne en imagerie médicale.

20/08/18 – Nathan de Franck PASSARD, menuisier et de Pauline BERTONCINI, comptable.

23/08/18 – Hugo de Jérôme HENRIET, scieur et de Emilie CLERC, professeur d’éducation physique et sportive.

23/08/18 – Anaé de Jonathan DELORME, vendeur livreur et de Elodie ROGNON, auxiliaire de puériculture.

23/08/18 – Clara de Philippe GIROD, agriculteur et de Mathilde GARNIRON, agricultrice.

23/08/18 – Tom de Loïc POURCHET, paysagiste et de Barbara LATRASSE, aide soignante.

23/08/18 – Loubna de Brahim LYOUSFI, technicien en usinage et de Najat BOUZAMBOU ingénieur packaging.

Publication :

21/08/18 – Soufyan CHLIAH, technicien informatique et Sadika EL ZARZARI, intérimaire.

Mariages :

25/08/18 – Grégory GUYON, pharmacien et Carole FERRARI, pharmacienne.

25/08/18 – Aymeric VOIRIN, auditeur et Halima AMIN, rédactrice.

25/08/18 – Pierre GERMAIN, ingénieur et Marion BAUD, directrice de clientèle.

Décès :

18/08/18 – Janik VERNIER, 65 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs).

19/08/18 – Jeannine MUNIER, 79 ans, retraitée, domiciliée à Morteau (Doubs), épouse de Gabriel FEUVRIER.

20/08/18 – Didier GEORGIADIS, 51 ans, vendeur libre service, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Nadine JOURNEAUX.

20/08/18 – Roger BRIOT, 79 ans, retraité, domicilié à Vuillecin (Doubs).

22/08/18 – Colette BADOZ-GRIFFOND, 83 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Jacques PUTELLI

22/08/18 – Louis GNECCHI, 93 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Marcelle FRACHEBOIS.

22/08/18 – Pierre LANDERER, 75 ans, retraité, domicilié à Les Gras (Doubs), époux de Danielle ANDRIONE.

22/08/18 – Radmila MITROVIC, 69 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Milisav JOVICIC.

23/08/18 – Serge OUTREY, 67 ans, retraité, domicilié à La Latette (Jura), époux de Martine BOLARD.

23/08/18 – Emile ROUSSET, 79 ans, retraité, domicilié à Sapois (Jura), époux de Rachelle VALCESCHINI.

23/08/18 – Angèle PÂRIS, 103 ans, retraitée, domiciliée à Le Russey (Doubs), veuve de Joseph NAPPEY.

25/08/18 – Ginette MARTIN, 88 ans, retraitée, domiciliée à Sombacour (Doubs), épouse de Serge MONNIER.

C’est une nouvelle saison qui se dessine au FC Planoise Chateaufarine. Depuis le 6 août dernier, le groupe U17 de Kevin Joliduc a repris le chemin de l’entraînement. Pour cette nouvelle saison, le coach bisontin peut compter sur une vingtaine de jeunes joueurs passionnés par le ballon rond. Certains ont montré leurs compétences la saison dernière. D’autres sont arrivés récemment à Besançon et ont envie de porter les couleurs du club.

Le groupe, qui a terminé avec le titre de champion régional en régional 2 U17 la saison dernière, va désormais se mesurer à l’échelon supérieur. Même si elle part dans l’inconnu, en rencontrant les meilleures équipes de Bourgogne et de Franche-Comté, l’équipe sait que la saison sera difficile. Néanmoins, elle est prête à en découdre.

Depuis le début de la préparation, l’entraîneur a pu évaluer la capacité de son groupe. Avec un titre de champion, une accession et un ¼ de finale de coupe de Franche-Comté, il sera compliqué de réaliser une meilleure saison que celle qui vient de s’écouler. Néanmoins, rien n’impressionne ce collectif qui est prêt à rivaliser avec ses prochains adversaires. Cela passe ce dimanche avec la réception de Valdahon Vercel en Coupe Gambardella. La première journée de championnat en régional 1 se disputera le 9 septembre avec un déplacement à Dampierre-sur-Salon, en Haute-Saône.

Père, mère et sœur de la jeune fille y font part de l’insoutenable attente de la vérité qui est la leur et évoque leur manque immense.

« Ce n’est pas possible de faire le deuil de son enfant » expliquent les deux parents ajoutant avec des mots très durs que Lelandais laissé le corps de Maelys « comme un déchet dans la nature ». Quant au silence et aux mensonges de l’assassin présumé ils disent être pris pour des imbéciles. « Qu’il assume et qu’il nous dise ce qu’il a vraiment fait ».

Un entretien d’autant plus poignant que la maman de la petite fille évoque sa rencontre avec Lelandais que sa fille lui a présenté comme « un copain voulant lui montrer ses chiens », les premières minutes de recherche avant même l’arrivée des gendarmes, moment où elle le recroise et l’interroge pour savoir s’il a vu la fillette…et ses doutes immédiats sur cet individu.

Comme celle des humains, la taille des voitures n’a cessé de grandir ces dernières années.Elles auraient selon une étude très sérieuse augmenté de 12 cm de plus en moyenne en largeur par rapport aux années 90. La mode des SUV, de plus en plus nombreux y est sans doute pour beaucoup.

Conséquence, chez nos voisins suisses, l'Association des professionnels de la route et des transports a décidé de réagir pour que la norme pour les largeurs de route soit au diapason afin de ne pas mettre les usagers de la route en danger, qu’ils soient automobilistes, cyclistes ou même piétons. Car on tient de l’autre côté de la frontière à cette cohabitation qui selon les spécialistes va nécessiter un élargissement qui pourrait aller jusqu’à 50 cm des voies de circulation.

Une évolution que les défenseurs de l’environnement déplorent. La décision ferait en effet selon eux la part belle à l’automobile et éloignerait d’autant la confédération helvétique de la loi qui exige de réduire les émissions de CO2 dans le trafic.

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