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A compter de ce lundi, les élèves de Besançon et du Grand Besançon, mais également tous les habitants vont découvrir un nouveau réseau Ginko. Comme le souligne Michel Loyat, le vice-président du Grand Besançon en charge des transports, « il faut remonter à 2014, et l’arrivée du tram dans la cité comtoise, pour connaître de tels changements Â».

A travers ces modifications, le Grand Besançon et Kéolis, son prestataire, espèrent conquérir une nouvelle clientèle. La réflexion ayant permis de proposer des circuits nouveaux et une organisation différente afin de répondre aux attentes et aux besoins des usagers. Des réunions publiques ont notamment été organisées sur tout le territoire pour définir ces nouveaux parcours.

Bien entendu, comme chaque nouveau lancement d’un projet ou d’un produit, la pression est grande. Les élus et leur gestionnaire espèrent que tout se passera pour le mieux. Néanmoins, pour aider les nombreuses personnes qui emprunteront les transports en commun durant les prochains jours, différentes actions seront mises en œuvre. Tout a commencé par la distribution de brochures d’information par secteur qui seront complétées par la présence des personnels de Kéolis sur le terrain et d’un bus, qui sillonnera le territoire pour répondre aux interrogations.

Tout le monde est dans les starting-blocks pour parer aux éventuelles difficultés et problématiques. « En fonction des réactions du public, « des aménagements ne sont pas exclus Â» signale-t-on en haut lieu. Affaire à suivre.

C’est un quartier qui aura un tout autre visage dans les prochaines années. Anciennement appelé les Abattoirs, le quartier de l’Îlôt Saint-Pierre, situé dans le centre-ville de Pontarlier, est en pleine réhabilitation. Les travaux de déconstruction vont désormais céder la place aux opérations de construction. Dans un premier temps, cela concerne la maison médicale, qui accueillera une vingtaine de professionnels de santé. Puis, les Pontissaliens verront apparaître une résidence seniors de 30 logements pour des personnes âgées qui ne sont pas en situation de dépendance. Enfin, 150 nouveaux logements seront également créés. Une opération qui sera mise en œuvre par Territoire 25, que la Ville a missionné.

Patrick Genre, le maire de la cité du Haut-Doubs, précise que ce quartier présentera également de nombreux autres avantages, comme le développement de circuits de déplacement doux et des constructions à énergie positive. A travers ce projet de rénovation urbaine, la Ville a porté une réflexion consistant à pouvoir poursuivre son développement, tout en évitant de consommer à outrance des terres. C’est ce qui semble avoir été possible sur ce projet. Et ce, même si certains espaces ne pourront pas être épargnés. D’ici quelques années, ce sont environ 500 personnes qui occuperont ces nouvelles habitations.

Tout au long de cet été, la Ville d’Ornans a recruté cinq jeunes garçons et filles en juillet et cinq autres en août pour des jobs d’été. Ces lycéens et étudiants, âgés entre 18 et 20 ans, domiciliés à Ornans ou dans la vallée de la Loue, ont assuré différents travaux et missions, comme l’entretien de la cité, l’organisation d’évènements, la création de liens avec les habitants et les commerçants ou encore la réalisation de tâches administratives.

 Faire confiance aux jeunes

Sylvain Ducret, le maire de la commune, a reçu ces jeunes gens avant leur prise de fonction. Il a apprécié leur envie « de s’investir pour leur commune et leur sens du service public Â». "Cela fait plaisir car ils aiment leur ville Â» commente l’édile. Pour Sylvain Ducret, le groupe a donné entière satisfaction et s’est montré à la hauteur. « Il faut faire confiance aux jeunes. Il faut leur tendre la main. Les jeunes sont notre avenir. C’est l’avenir de la commune Â» conclut-il.

Une première expérience dans le monde du travail

Pour la plupart de ces jeunes saisonniers, il s’agissait d’une première expérience dans le monde du travail. Sana Samya, Maxime et Yanis reconnaissent que ce mois passé à œuvrer pour la ville d’Ornans leur a été profitable. Bien évidemment, et tout naturellement, la motivation première est financière. Les jeunes ont touché environ 1200 euros pour 28 heures de travail hebdomadaire. Mais les étudiants reconnaissent également qu’ils sont venus chercher une expérience professionnelle et une occupation utile et formatrice. Certains y voient un moyen d’acquérir de l’expérience, d’apprendre à travailler en équipe, de se responsabiliser et de gagner confiance en soi.

Plus que quelques jours pour profiter de ces vacances estivales. Dans quatre jours, un tout autre environnement attend ces jeunes adultes, pour lesquels la vie active arrive à grands pas.

Dans ce bourg important du pays de Maiche où l'on compte près de 2000 habitants, 189 élèves s'apprêtent à faire leur rentrée lundi dans les deux écoles primaire et maternelle.

Durant ces deux mois de vanaces, la commune, compétente en matière de gestion des bâtiments scolaires en a profité pour effectuer quelques travaux comme chaque été. 
 
Des locaux bien propres et aux normes attendent désormais enfants et enseignants pour la renrée de lundi comme l'explique le maire Athony Mérique.

4,6 millions de personnes ont répondu au sondage lancé par l’Union européenne quant à la pertinence du changement d’heure. Une première tendance se dessine d’après les médias allemands avec 80% de personnes opposées à cette pratique, cette forte majorité souhaitant supprimer l’heure d’hiver vivre toute l'année au rythme de l'heure d'été.

Reste à savoir si cette consultation sera suivie d’effets alors même que les résultats seraient selon les mêmes journaux très largement influencés par le vote allemand (3 millions de personnes sur les 4,6 ayant participé).

Quant à nos voisins suisses, qui ne font pas partie de la communauté européenne, quelle que soit la décision, ils la suivront afin de rester en phase avec le reste du continent.

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