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La police de Besançon appelle à la vigilance. Un couple de personnes âgées, domicilié rue des Fontenottes, a vu débarquer chez elles de faux agents GRDF.

Ils se sont présentés à leur domicile et ont prétexté un rendez-vous pour s’introduire chez eux. L’un des individus a fait semblant de s’occuper d’une conduite de gaz.

Pendant ce temps, l’autre s’est chargé du reste. Les deux malfrats sont repartis avec 3000 euros en liquide. 

C’est un projet important pour Pontarlier, mais aussi tout le Haut-Doubs. Il est le fruit d’une réflexion de plusieurs années entre le monde médical et les élus pontissaliens. Ce mercredi, Patrick Genre, le maire de Pontarlier, a posé la première pierre de la future maison médicale de la ville . Un projet de 4,6 millions d’euros, financé par l’état, la région Bourgogne Franche-Comté, le conseil départemental et la Ville.

A l’idéal, la maison sera livrée au cours du mois de juin 2019. Une vingtaine de professionnels occuperont les lieux. La médecine du travail sera également présente. Mr Genre explique que « c’est le pôle de santé principal de l’agglomération pontissalienne qui est en train de voir le jour». Une structure qui répond au manque de professionnel de santé sur ce territoire. « Cette maison médicale va nous permettre d’améliorer et élargir l’offre Â» précise l’édile du Haut-Doubs.

Mr Genre souligne que ce projet a redynamisé le secteur. Le nombre de demandes d’installation a dépassé les espérances. Aujourd’hui, la maison affiche complet. Dans ces conditions, Patrick Genre précise que « le cabinet éphémère, qui accueille actuellement des médecins, sera conservé. Des spécialistes, comme des ophtalmologistes, pourraient venir exercer prochainement dans le Haut-Doubs.

Plus que quelques jours à Pontarlier pour profiter de l’exposition organisée par l’association Pictura à la Chapelle des Annonciades.

Cette exposition d’art contemporain réunit onze artistes, six peintres, trois sculpteurs, un céramiste et un ébéniste.
Tous se sont réunis pour exposer leur travail.

L’exposition est à découvrir jusquà vendredi, l’entrée est accessible à tous.

Depuis hier, l'agence de travaux de l'ONF effectue l'abattage d'une trentaine d'arbres considérés comme dangereux à Lons-le-Saunier.

Suite à une étude menée par l'ONF sur les 900 arbres du parc, un diagnostic sanitaire a été rendu listant les arbres  malades pouvant être dangereux. 

L'ONF va effectuer l'abattage de ces arbres jusqu'en début de semaine prochaine. Il est demandé à l'ensemble des riverains de rester prudent et de respecter les zones de sécurité tout au long de la période de travaux. 

Les arbres abattus seront remplacés avant la fin de l'année.

Hier avait lieu la cérémonie de labellisation du Drugeon. Cette rivière située dans le Haut-Doubs a connu de nombreux changements depuis les années 1960. En effet, dans le but de gagner des terres agricoles, le Drugeon a été rectifié et recalibré ce qui a entraîné une perte de 10km de la rivière. Ces travaux ont également fortement impacté la richesse biologique de la rivière.

Dès 1997, des élus se réunissent et décident d’engager un programme de travaux afin de restaurer le Drugeon et qu’il retrouve ainsi sa biodiversité initiale.
Vingt ans plus tard, 72% de son tracé initial a été restauré. Suite à cet engagement, le Syndicat Mixte des Milieux Aquatiques du Haut-Doubs (SMMAHD) a décidé en 2016 de mesurer l’impact des travaux sur le peuplement aquatique et la qualité du cours d’eau.
Les résultats sont très positifs, l’Agence de l’Eau a décidé de décerner le label écologique « Rivière en bon état Â» sur une portion amont du Drugeon.

Certes, la rivière n’a pas été labellisée entièrement, mais c’est un premier pas. « Il faut poursuivre cette reconquête écologique Â» explique Philippe Alpy président du SMMAHD.

Une belle reconnaissance et un travail à poursuivre

Le travail n’est pas terminé, Jean-Noël Resch, hydrobiologiste du SMMAHD l’explique, « la quantité d’espèce piscicole a clairement augmenté, même si nous espérons une hausse encore plus importante. Nous mesurons aussi les petites espèces qui vivent au fond de l’eau. Aujourd’hui il nous manque encore les espèces les plus sensibles, celles qui ne résistent pas aux produits toxiques Â».

Le SMMAHD souhaite poursuivre ces avancées avec les différents acteurs du Drugeon, notamment en améliorant les pratiques agricoles. L’objectif serait ainsi de diminuer l’excès d’azote, de carbone et de phosphore dans l’eau du Drugeon ce qui empêche certaines espèces de réapparaître ou bien de se repeupler.

« Nous avons obtenu ce label ce qui prouve le soutien que nous apporte l’agence de l’eau. Aujourd’hui nous restons sur un milieu vivant, une rivière avec des êtres vivants, il faut que nous soyons en veille permanente. Nous ne devons pas relâcher le travail effectué depuis vingt ans Â» conclut Philippe Alpy.

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