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Alors que la France est selon les réseaux sociaux proche d’une nouvelle révolution avec un peuple remonté comme jamais, la démocratie suisse est elle aussi mobilisée autour d’un tout autre sujet que le peuple tranchera le 25 novembre.

N’en déplaise à ceux qui jugent la question futile, elle suscite dans la confédération helvétique un vif débat entre pro et anti cornes. Sur fond de souffrance animale, la question a aussi un intérêt économique puisque clairement, les Suisses ne doivent pas se prononcer pour ou contre l'écornage.

En effet, l'initiative populaire «pour la dignité des animaux de rente agricoles» consiste à accepter ou non que l’Etat apporte un soutien financier aux détenteurs de vaches, de taureaux reproducteurs, de chèvres et de boucs reproducteurs portant des cornes. Autrement dit, l’aide publique sera coupée à ceux qui en font de même avec les attributs de leurs animaux.

Une nouvelle dépense publique qui selon les défenseurs de cette initiative populaire coûterait 15 millions de francs par an alors que le Conseil fédéral pense que la facture pourrait être doublée.

 

La République En Marche organise chaque mois de nombreuses rencontres. Elle propose de « réfléchir aux problématiques de politiques locales et nationales qui préoccupent le plus les citoyens à l’échelle de leur commune, intercommunalité, département et région Â»

Des militants qui auront sans doute fort à faire dans le climat national actuel lors des rendez-vous fixés jeudi 8 novembre à 18h15, à l'Hôtel de France à Ornans sur le thème « ancrage local du mouvement et Municipales 2020 Â» , le Vendredi 9 novembre à 18h30 au Surabaya Café à Villers-le-Lac pour une rencontre avec les citoyens en présence d'Alexandra Cordier, référente du mouvement pour le Doubs et enfin une rencontre des Jeunes Avec Macron Jeudi 15 novembre à 18h00, Bar La Fontaine, place de la Révolution à Besançon pour une rencontre en présence de Fannette Charvier, députée du Doubs

Alors que la Guerre avait laissé les campagnes françaises orphelines de nombreux hommes tombés dans la force de l’âge, les villages avaient à cœur de leur rendre hommage en construisant un monument aux morts. Simple en apparence. Sauf que la décision devait aussi être prise de la liste de noms à y faire figurer.

A Goumois où 7 enfants du pays sont tombés au champ d’honneur selon l’expression consacrée, l’un d’entre eux ne semblaient pas avoir selon Monsieur le Curé, lui aussi ancien poilu, les qualités requises pour mériter cet hommage. Sa faute ? Etre non-croyant et proche des francs-maçons.

Malgré les discussions menées, aucun accord ne pourra être trouvé si bien que le monument ne sortira pas de terre. Un projet resté très longtemps dans les cartons et qui n’en ressortira qu’avec le nouveau siècle. Il faudra en effet attendre 2001 pour que Goumois dispose enfin de son monument aux morts !

Que les familles franc-comtoises se rassurent. Il y aura bien des sapins à Noël. Avec la sécheresse de ces derniers mois, la question se posait. Vincent Duchesne, le patron des pépinières du même nom, rassure tout le monde. D’ici quelques semaines, à la fin du mois de novembre, son entreprise va procéder à la coupe des sapins qui décoreront les intérieurs et extérieurs des maisons et appartements durant toute la durée des fêtes de fin d’année. Qu’il s’agisse du Nordmann ou de l’épicéa, la clientèle aura l’embarras du choix. « Nous sommes dans une région où le sapin de Noël résiste bien aux conditions climatiques qui sont les siennes Â» explique Mr Duchesne. Et de poursuivre : « Il a beaucoup plu jusqu’à fin juin et le Nordmann, qui est la première variété vendue, fait sa pousse en début de saison. Elle a donc eu lieu avant fin juillet. Ensuite, c’est plus de l’entretien. Les sapins n’ont donc pas souffert Â».

En revanche, les interrogations se portent sur les jeunes plantations. Celles qui seront vendues dans une dizaine d’années. Plantés au printemps, ces jeunes sapins n’ont pas tous supporté les fortes chaleurs et surtout le manque d’eau. Quelques pertes ont été enregistrées. Pour contrecarrer tout cela, les plantations seront plus nombreuses qu’à l’accoutumée l’année prochaine. Celles qui ont résisté font l’objet de toutes les attentions. Cet imprévu « n’aura aucune incidence sur la qualité et la quantité de sapins mis en vente cette année Â» conclut le patron des pépinières Duchesne. Qu’on se le dise.

Les habitants de Champagnole ont du être étonnés hier de voir un tel déploiement de forces de l’ordre et secouristes hier après-midi. Il s’agissait en fait pour tous ces acteurs de la sécurité civile de mettre en place un exercice grandeur nature simulant une attaque terroriste avec de nombreuses victimes.

Pour l’occasion, le centre opérationnel départemental, cellule de gestion de crise, avait été activée en préfecture. Tous les services de sécurité et de secours étaient mobilisés et ont pris part de façon active qu’il s’agisse des gendarmes, policiers municipaux, sapeurs pompiers et personnels du SAMU.

Désormais, les autorités vont pouvoir dresser le bilan de cette opération pour voir quels sont les points à améliorer.

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