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Avec pas moins de 3 700 km de routes départementales (RD) à gérer, à entretenir et à aménager, la question de la sécurité routière fait partie intégrante de ses compétences au quotidien.

Alors, avant l’hiver, le Conseil départemental tient à encourager les bons comportements et le partage des bonnes pratiques, tout au long de l’année, à travers une campagne de communication à l’attention des usagers.

« Pendant la période hivernale, les automobilistes sont invités à équiper leur véhicule de pneus neige, plus précisément dès que la température moyenne est inférieure à 7°C. Adaptés à toutes les conditions hivernales, leur gomme plus tendre et leurs sculptures plus profondes améliorent l'adhérence et le freinage. Il est indispensable d'équiper les quatre roues afin de conserver une efficacité similaire à l'avant et à l'arrière » explique la collectivité qui invite aussi les usagers de la route à redoubler d’attention.

« Déneigement, salage, signalisation adaptée, aménagements, information… les équipes du Département sont mobilisées pour votre sécurité. Mais, tous les dispositifs du monde ne peuvent éviter à eux seuls les accidents » est-il expliqué avant de rappeler « quelques petits gestes simples qui peuvent sauver votre vie et celles des autres », à savoir :

- Veillez à l’état des équipements de votre véhicule : pneus, batterie, éclairage, essuie-glaces, lave-glace

- Prévoyez l’éventualité d’une situation de blocage : vêtements chauds, carburant en quantité suffisante...

- Enlevez la poudreuse sur votre voiture avant de prendre la route

- Allumez vos feux de croisement ou anti-brouillard

- Même équipés de pneus neige, réduisez votre vitesse

- Freinez doucement et évitez toute manœuvre brutale

- Mettez de la distance avec la voiture qui vous précède

- Ouvrez bien les yeux à l’approche d’un carrefour, d’un rond-point…

- Laissez la place aux engins de déneigement et salage et ne tentez pas de les dépasser

Selon la convention de Genève de 1951, un réfugié est une “personne craignant avec raison d'être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, [...] et ne peut ou, en raison de ladite crainte, ne veut y retourner". Article 1er A2 de la Convention de Genève du 28 juillet 1951.

La coopération entre services publics et acteurs privés, la concertation et la co‐construction sont des préalables indispensables à l’émergence de réponses pertinentes et réalistes pour favoriser l’intégration durable des réfugiés. “Il faut se préparer et se donner les moyens d’une approche systémique de l’intégration. Sans cela, nous aurons des réfugiés peu ou mal intégrés. [...] Nous faisons de la dentelle avec le droit commun” explique Alain Regnier, délégué interministériel à l’accueil et à l’intégration des réfugiés.

Aux termes de la convention d’engagement partenarial, les membres du CIR‐J s’engagent à mobiliser les dispositifs existants pour faciliter l’intégration durable des réfugiés dans le département et leur permettre un accès effectif au droit commun. Avec le soutien d’une coordinatrice départementale pour l’intégration des réfugiés, les synergies entre les acteurs publics et privés vont être confortées. « Une intégration réussie passe souvent par un accompagnement personnalisé. La sensibilisation et la mobilisation des citoyens à l’accueil des familles dans leurs communes est une réelle valeur ajoutée. Dans cette optique, des réseaux de parrainage pour les jeunes seuls mais aussi les familles, des partenariats avec les mairies d’accueil doivent être valorisés. On a tous quelque chose à apporter » précise la Préfecture.

Les français ont pu suivre tout au long du week-end les nombreuses cérémonies de commémorations de la fin de la 1ère guerre mondiale. Un conflit qui a concerné un grand nombre de nations venues combattre surtout en territoire français durant plus de quatre ans.

Pays frontalier avec la France, la Suisse est certes restée neutre mais, fait peu connu de l’histoire, près de 3000 ressortissants de ce pays voisin et ami sont tombés au champ d’honneur durant le conflit, engagés sous les couleurs françaises.

Pour rendre l’hommage mérité à ces hommes, autorités françaises et suisses étaient réunies samedi matin aux Brenets où ont retenti les hymnes des deux pays. En présence notamment des élus du Val de Morteau venus nombreux saluer cette fraternité que défend l’agglomération urbaine du Doubs, entité qui rassemble des communes des deux pays.

Avant même d’atterrir sur le sol français, Donald Trump avait tenu à faire savoir qu’il n’était pas d’accord avec Emmanuel Macron quant à l’éventualité d’une armée européenne. Un sujet qui fait débat depuis longtemps et sur lequel Cédric Perrin, Sénateur du Territoire de Belfort, Vice-Président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées a aussi son mot à dire : « Non, la défense de l’Europe n’est pas une insulte »

Le parlementaire membre des Républicains poursuit : « Si le projet de création d’une armée européenne est aujourd’hui chimérique, la défense de l’Europe ne fait, elle, aucun doute. Oui, il sera difficile de tracer ce chemin et de s’émanciper de cet Otan organisé et équipé. Oui, il sera difficile de forger une culture stratégique commune aux pays membres de l’Union européenne. Mais les points de convergence existent : nous partageons un territoire commun, nous sommes exposés aux mêmes menaces et nos ennemis sont similaires ».

Le sénateur conclut son analyse ainsi : « Pour ces raisons impérieuses, renforcer les liens entre les Etats européens, et permettre une coopération plus forte aux niveaux politique, industriel et militaire sont des objectifs indiscutables. L’Initiative européenne d’intervention (IEI) est un pas important dans ce sens, qui s’ajoute à la Coopération structurée permanente (CSP). L’Europe doit miser sur ces initiatives pour renforcer son autonomie et sa sécurité et ainsi, pousser vers une véritable et légitime défense européenne ».

Le Pont qui enjambe le Doubs à Villers-le-Lac et permet de relier le cœur du village au quartier des Pargots et des Bassots a connu de longues semaines de travaux depuis début septembre. Chaussée, trottoirs, garde-corps, corniches, assainissement, étanchéité…le pont a eu droit à une réhabilitation complète qui se termine avec depuis ce matin une réouverture partielle à la circulation.

Une bonne nouvelle pour les habitants de la commune ainsi que pour les nombreux frontaliers qui empruntent cette route en direction du Col des Roches.

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