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La rentrée universitaire 2018-2019 s’est officiellement terminée le 13 novembre dernier à l’Université de Franche-Comté.

Cette année l’Université compte 23 485 étudiants inscrits dans l’ensemble des cursus proposés, soit une augmentation de 2,1% par rapport à l’an dernier.

L’Université se félicite car elle a pu proposer 280 places supplémentaires aux jeunes bacheliers grâce à des capacités d’accueil agrandies.

Alors que François de Rugy, le ministre de la Transition écologique, doit recevoir ce mardi après-midi des représentants des "gilets jaunes", à la demande d'Emmanuel Macron, en Franche-Comté, la mobilisation ne s’arrête pas.

Actuellement, des perturbations nous sont signalées à Ecole Valentin, où des manifestants expriment leur mécontentement.

Vendredi soir à Orchamps-Vennes, deux appartements partaient en fumée. Parmi les victimes, une dame de 60 ans vivant seule chez elle, et une maman qui vit avec sa fille de 17 ans. 

Ces trois victimes ont tout perdu dans l'incendie. Le maire de la commune, Thierry Vernier a décidé d'ouvrir deux salles en mairie dédiées aux dons. Il lance un appel aux dons pour venir en aide à ces personnes qui ont tout perdu. 

Tous les dons seront acceptés, mobilier, matelas, linge, électroménager etc. 

Les victimes lancent également un appel à la générosité des commerçants. "Si certains d'entre eux, ont des articles invendus, des vêtements, des matelas, nous voulons simplement nous reconstruire, nous n'avons plus rien, nous avons tout perdu" explique l'une d'elles. 

La répartition des dons se fera équitablement entre les personnes. Il est également indiqué, que la victime âgée de 60 ans recherche un nouveau logement sur la commune type T2. 

Quant à la mère de famille et sa fille, "nous ne recherchons pas un château, nous voulons simplement retrouver un appartement type T3 sur Orchamps-Vennes" explique la mère. 

Si vous pouvez aider ces personnes n'hésitez pas à prendre contact avec la mairie d'Orchamps-Vennes.

Une première mobilisation qui en appellera sans doute d'autres. Tant l’enjeu est important. Ce mardi, à l'appel de plusieurs syndicats, une vingtaine de personnes se sont rassemblées sur l’esplanade des droits de l'homme à Besançon pour exprimer leur opposition à la réforme des lycées qui s'annonce.

Les inquiétudes portent principalement sur la réduction du nombre d’heures de cours et les suppressions de poste qui en découleront. « Des décisions qui auront inévitablement des répercussions sur la qualité des enseignements » explique Olivier Coulon de la CGT . Ces inquiétudes sont d'autant plus grandes chez les professeurs qui interviennent en lycée professionnel, qui doivent, en plus de transmettre des savoirs, redonner confiance à leurs élèves qui, pour certains, connaissent des difficultés familiales et sociales.

Les manifestants regrettent ces décisions gouvernementales « dictées par Bercy Â», sans discussion possible. Les manifestants expliquent que « dès la rentrée 2019, la réforme de la voie professionnelle a prévu de réduire drastiquement les heures d’enseignement des matières fondamentales au profit d’heures d’accompagnement personnalisées qui se feront en classe entière, avec des effectifs d’élèves de plus en plus nombreux et présentant des parcours bien différents, puisque des apprentis seront accueillis dans ces classes Â». Pour les enseignants, « cette baisse des heures d’enseignement réduira également les possibilités de poursuite d’études des lycéens de l’enseignement professionnel Â».

Rappelons que les syndicats CGT éduc'action, Sud éducation et SNUEP-FSU ont déposé un préavis de grève jusqu’au 21 décembre.

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