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Alice Jeanningros qui habite Montlebon et Claire Rodier-Mefflet, une neuchateloise, se sont rencontrées il y a 3 ans sur leur lieu de travail. Les deux copines ont aujourd’hui décidé de participer au rallye Aicha des gazelles 2019. Le seul rallye raid au monde 100% Féminin. Le challenge : prendre place à bord de leur 4x4 et partir à l'assaut du désert marocain. Au programme, sport, pilotage, navigation à l'ancienne mais aussi partage, solidarité, persévérance et dépassement de soi! Mais aussi solidarité, un pan très important du projet.

« Non seulement un objectif personnel et « fun » mais également l'occasion d'apporter notre soutien à tous les prématurés de Suisse, de France et du Maroc Â». 

Ainsi, les deux amies souhaitent mener une action concrète qui sera la collecte et le transport de matériel médical à destination du service de néonatologie du CHU de l'hôpital de Marrakech au Maroc.  Elles souhaitent également soutenir l'association "Né trop tôt" récemment implantée sur Neuchâtel à développer ses actions de soutien aux côtés de familles de prématurés.

Pour collecter des fonds, elles organisent des événements comme ce vendredi 14 décembre à la Première à Pontarlier où dès 19h30 est proposée une soirée fondue ouverte à tous !

Vous pouvez les retrouver sur Facebook (Pic&Colegram) et sur leur site www.picetcolegram.com

 

L'eau et l’assainissement est un sujet important qui touche le portefeuille des habitants du Grand Besançon. D’ailleurs, le 17 décembre la collectivité délibèrera sur les tarifs 2019. L’agglomération entend ainsi, d’ici 2028 au plus tard, harmoniser les prix pour l’ensemble des usagers du Grand Besançon. Et ce, pour atteindre un tarif unique de 3,30 euros/ M3 TTC ( hors inflation). Pour atteindre cette harmonisation des prix, il a été décidé, dès l’année prochaine, de lisser progressivement la note. Ainsi, parmi les 69 communes du Grand Besançon, certains villages, une grande majorité, verront leur facture diminuer, pour d’autres, la tendance est à la hausse, pour harmoniser les tarifs et financer les travaux de réhabilitation ou le renouvellement des équipements et réseaux d’eau potable et d’assainissement.

Un programme d’investissement de 130 millions d’euros

Grâce à la mise en place du tarif durable, le Grand Besançon va pouvoir réaliser un programme d’investissements de 130 millions d’euros sur les dix prochaines années. La méthanisation des boues de la station d’épuration de Port Douvot, des travaux sur le site de la station d’eau potable de la Malate, la création d’un bassin d’orage et d’un réseau pour les travaux de mise en 2X2 voies de la RN57 vers la Malcombe, le renouvellement de la station et d’une partie du réseau d’assainissement de Pugey ou encore le renouvellement du réseau d’eau potable de Saint-Vit font partie des actions programmées. Le plus gros chantier, d’un montant de 7,5 millions d’euros, concerne la construction d’une nouvelle station d’épuration à Cussey-sur-l’Ognon, dont les travaux devraient se terminer en 2019.

Jean-Louis Fousseret, le président du Grand Besançon, a tenu à préciser que « grâce à la politique mise en Å“uvre par la collectivité, en matière d’infrastructures et de préservation de l’environnement, cette dernière « n’a jamais été mise en difficulté pour l’alimentation en eau potable de la population Â» durant la forte sécheresse estivale. D’ailleurs, à ce sujet, le Grand Besançon souhaite que, d’ici 2 à 3 ans, tous les villages de son territoire bénéficient d’une double alimentation en eau potable pour pallier d’éventuelles difficultés, qui pourraient s’accentuer dans les années à venir. Par ailleurs, toujours selon l’élu, l’objectif tarifaire poursuivi permettra à ce territoire « d’avoir l’un des tarifs les plus bas de France Â» dans ce domaine.

"Considérant que tout mouvement de contestation doit trouver une issue", le préfet du Jura demande la fin des rassemblements et la levée de tous les points de blocage sur les ronds-points du département.

"Le président de la République a répondu à l’urgence économique et sociale en prenant des mesures immédiates comme notamment L’augmentation du SMIC de 100 euros par mois, l’annulation de la hausse des taxes sur les carburants, la défiscalisation des heures supplémentaires, la suppression de l’augmentation de la CSG pour les retraités les plus modestes" détaille le représentant de l'Etat qui poursuit: "Il a également ouvert un grand débat national sur la transition écologique, la fiscalité et les services publics, l’évolution du débat démocratique et l’immigration, permettant à chaque français de faire part de son témoignage, d’exprimer ses attentes et ses propositions de solutions".

Cette grande concertation sera évidemment déclinée dans le Jura, elle a pour ambition de répondre à l’attente exprimée par les citoyens d’être plus directement associés à l’élaboration des politiques publiques qui ont une incidence directe sur leur vie quotidienne.

Le préfet du Jura rappelle que les actions des gilets jaunes ont "considérablement affecté l’économie locale et particulièrement pour les commerçants et petites entreprises alors que les fêtes de fin d’année conditionnent précisément la pérennité de leurs établissements".

Vous avez sans doute vu ou vous verrez bientôt les pompiers de votre secteur passer chez vous pour proposer leur calendrier. Dans beaucoup de centre, cette édition annuelle est accompagnée d'un appel au recrutement de vonlontaires. Un besoin de plus en plus marqué notamment dans le Haut-Doubs en zone frontalière mais aussi dans le secteur de Besançon.

Pour maintenir des effectifs suffisants, en journée notamment, le SDIS recherche donc encore et toujours des sapeurs pompiers volontaires. Des soldats du feu disponibles, désireux et capables de sauver de s'investir.

Pour postuler, il faut avoir 16 ans, habiter dans une commune proche d’un centre de secours, avoir envie d’apprendre des gestes techniques et avoir une condition physique satisfaisante. Les personnes intéressées sont invitées à se faire connaître en remplissant le formulaire disponible sur le site www.pompier25.fr ou en se rendant dans le centre de secours le plus proche de son domicile.

« Juste avant la trêve des confiseurs, les agricultrices et les agriculteurs des zones défavorisées simples peuvent être rassurés : la nouvelle carte vient d’être validée par Bruxelles Â» se félicite la FDSEA.

Différents critères comme la polyculture élevage, l’autonomie fourragère, parcellaire proposés par la profession et retenus par les services instructeurs, ont permis de rattraper de nombreux secteurs qui avaient été injustement oubliés dans tous les départements de la région. Finalement, avec 2 829 communes classées, il y a plus de 97 % des communes reclassées et 448 communes entrant dans le nouveau zonage.

« Il reste quelques communes qui n’ont pas été intégrées, notamment en Côte-d’Or et en Saône-et-Loire. Pour soutenir les éleveurs concernés, nous avons demandé la mise en place d’une mesure agro-environnementale spécifique, opérationnelle à partir de 2019 Â» explique le syndicat qui conclut : « Ce zonage ne doit pas faire oublier la nécessité d’avoir une Europe forte qui préserve son indépendance alimentaire, avec une politique agricole commune ambitieuse qui permet de financer l’ensemble des zones défavorisées Â».

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