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Les U18 pontissaliens d’Adrien Cruz et Baptiste Jeannier ont réalisé une belle performance ce samedi après-midi au gymnase du Larmont dans leur championnat régional.

Les jeunes handballeurs du Haut-Doubs ont vaincu l’équipe de Dijon, grâce à un ultime but marqué dans les 10 dernières secondes de la rencontre. Score final 21 à 20. Après une première période très difficile, le collectif en cours de deuxième période pour reprendre l’avantage.

Les coaches se félicitent de cette première victoire à domicile, qui en appellera sans doute d’autres. C’est sûr.

Si à Pontarlier, la mobilisation des gilets jaunes semble s’essouffler, à Besançon, plus d’un millier de manifestants ont participé au rassemblement organisé ce samedi au centre-ville de la cité comtoise, sur la place de la Révolution. Si l’on peut regretter les débordements survenus au fur et à mesure que le cortège s’intensifiait et se dirigeait vers la préfecture où l’attendait une trentaine de CRS, on enregistre une mobilisation toujours aussi importante, avec de réelles revendications. Dans les rangs, des salariés, des personnes sans emploi, des retraités, des étudiants et des lycéens. Pour ces derniers, « un avenir incertain et la précarité qui les attend Â», pour les plus âgés, « les difficultés à vivre, à terminer les fins de mois et des retraites qui ne permettent pas de vivre décemment Â».

« On n’en peut plus Â», « On est saigné », « Au peuple le pognon maintenant», … la contestation est bien réelle. Tous, hier, affichaient une détermination à toute épreuve. L’envie de poursuivre le mouvement était dans toutes les têtes. « Macon nous a pris pour des cons. Ce n’est pas parce qu’il nous a lâché quelques miettes que l’on va arrêter. Bien au contraire. Il faut poursuivre la mobilisation Â» expliquait-on. Les gilets jaunes attendent beaucoup plus du Président de la République, lorsqu’ils ne demandent pas tout simplement sa démission.

Ce samedi après-midi, la confrontation entre les manifestants et les forces de l’ordre a été très violente à Besançon. Parmi les manifestants présents, des gilets jaunes et sans doute des casseurs venus en découdre avec les CRS. Les attaques d’un côté comme de l’autre ont été très violentes. Les forces de l’ordre n’hésitant pas à jeter des grenades de désencerclement au milieu de la foule et des manifestants, venus pour très grand nombre exprimer leur colère et leur ras-le-bol. Plus d’un millier de personnes ont fait le déplacement dans la cité comtoise ce samedi après-midi

Parmi eux, Fabienne et sa maman. Cette jeune mère de famille ne parvient pas à joindre les deux bouts. « On vit en situation de précarité. Pourtant je travaille six jours par semaine. Je me lève à 2 heures du matin pour 1600 euros. Je ne m’en sors pas avec mes deux enfants en bas âge. Heureusement que mes parents sont là Â». Et de poursuivre : « Nous ne sommes pas des pilleurs et des casseurs, mais des citoyens en détresse. Nous voulons être entendus par les politiques Â». Situation identique pour sa maman, une femme d’artisan qui a Å“uvré toute sa vie pour ne toucher aujourd’hui qu’une retraite de 760 euros mensuels. Très engagée bénévolement, Suzanne dit « côtoyer la pauvreté tous les jours Â». « Je vois des quantités de gens en situation désespérante. C’est scandaleux Â» explique-t-elle.

Alors autant dire qu'être accueillies à coups de bombes lacrymogènes et grenades par les forces de l’ordre, « dans leurs pays Â», ces deux femmes sont très en colère. « Pourquoi tant de mépris Â» s’interrogent-elles.

Ski alpin

Station de Métabief : ouverture des secteurs Métabief et Super Longevilles reliés entre eux : Téléski Pré-midi, télésiège du Morond et pistes Berche, Combe, Familiale (partie haute), Pré-midi et Téléskis Super Longevilles et Bellevue, télésiège Paradis et toutes les pistes sauf Corniche, Dahu et Belette.Tarif unique à 20€.

Ski nordique

Secteur Mont d'Or : toutes les piste sont ouvertes mais non damées du jour, très humide sur le bas du domaine

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