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Frédéric Péchier, le médecin anesthésiste, soupçonné de 24 empoisonnements à Besançon, a été laissé libre sous contrôle judiciaire. Ce mercredi après plusieurs heures d’audience, la chambre de l’instruction de Besançon a confirmé le jugement prononcé en mai dernier par le juge des libertés et de la détention. Les conditions du contrôle judiciaire restent inchangées.

Maître Randall Schwerdorffer, l’un des trois avocats du prévenu, explique que son client a été ‘très soulagé par la décision Â». Et de poursuivre : « Ca a été possible car nous avions des magistrats qui ont fait prévaloir la liberté. Le dossier est très compliqué Â» explique Me Schwerdorffer. Et de compléter : « Nous vous le disons avec force. Le docteur Frédéric Péchier est présumé innocent. C’est un dossier sans preuve Â». L’avocat a notamment demandé à la presse de « respecter, le plus scrupuleusement possible, la présomption d’innocence Â». « Ce ne sont pas les rumeurs qui font des accusations et des coupables Â» a-t-il conclu. En attendant le procès du Docteur Frédéric Péchier, les investigations se poursuivent.

Incompréhension des parties civiles

Les avocats des parties civiles ont pris acte de cette décision. L’un d’eux explique que la cour d’appel de Besançon « a reconnu que Frédéric Péchier avait fait quelques entorses à son contrôle judiciaire Â». Il est par ailleurs expliqué que « du moment où cette même juridiction avait choisi de placer Frédéric Péchier sous contrôle judiciaire, il y a déjà deux ans, il y avait de fortes chances pour qu’elle ne se déjuge pas Â». En revanche, pour les proches des victimes présumées, cette nouvelle est difficile à admettre. La famille du petit garçon de 4 ans, hospitalisé pour une opération des amygdales, et qui est sorti de la salle d’opération dans le coma, a l’impression que la justice vient d’innocenter le Dr Péchier. Ce qui est loin d’être le cas. Bien entendu. « Cette personne aurait dû être incarcérée Â» explique ce Monsieur. Et de conclure : « Nous n’arrivons pas à comprendre la justice Â»

A l’occasion de la journée nationale des sapeurs-pompiers, le service départemental d’incendie et de secours du Doubs organise une cérémonie ce samedi 15 juin, à 10h30, à Pouilley-les-Vignes, sur la place de l’Etoile.

Rappelons que cette journée nationale a été instaurée en 2003 par l’état français pour rendre hommage au courage de celles et ceux qui, sur le territoire national et parfois à l’étranger, concourent à la protection des personnes et des biens. Ce sont d’abord l’engagement et les valeurs d’abnégation des sapeurs-pompiers que la France souhaite saluer et valoriser, tout en rendant hommage à la mémoire des sapeurs-pompiers qui ont perdu la vie en service commandé.

A Pouilley-les-Vignes, la cérémonie débutera à 10h30. En 2018, dans le Doubs, les sapeurs-pompiers ont effectué 40.000 interventions. Le SDIS du Doubs compte 3000 soldats du feu.

A compter de ce jeudi, et jusqu’à dimanche, le Grand Besançon organise la manifestation « Grandes Heures Nature Â». Ce festival 100% bisontin est entièrement dédié aux sports outdoor. Au programme : un salon pour découvrir les marques et tester les produits, des compétitions et des défis dans toutes les disciplines et pour tous les publics, un village d’animations, des espaces de tests et d’initiations, des shows sportifs, des conférences et des concerts.

Parmi les rendez-vous à ne pas manquer : la tournée Fise Xpérience Series 2019. Ce grand évènement de Mountain Bike Freestyle fait étape à Besançon ce samedi et ce dimanche. Au programme : des compétitions, mais aussi de nombreuses démonstrations, initiations et animations gratuites.

Un grave accident de la route s'est produit ce matin aux Auxons à proximité de Besançon. L'accident s'est produit sur la D1, route de Besançon. 

Deux véhicules sont entrés en collision. Trois blessés sont à déplorer. La première victime, une jeune femme de 22 ans est gravement blessée et toujours incarcérée dans son véhicule. 
Les deux autres victimes, un homme de 44 ans et un homme de 58 ans sont légèrement blessés. 

Les secours sont sur place. La route est totalement coupée dans les deux sens de circulation.

Vous ne le savez peut-être pas.  Au Moyen Age, on buvait déjà du Savagnin. Cette découverte est le fruit du travail de chercheurs anglais qui ont analysé l’ADN de 28 graines de vignes retrouvées sur neuf sites archéologiques différents, dont un site médiéval d’Orléans.

Les plus anciennes remonteraient à au moins 500 ans avant Jésus-Christ. Est-il utile de préciser que le Savagnin est énormément cultivé dans le vignoble jurassien, où il permet notamment de produire le vin jaune ?

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