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Au titre des inondations par remontée de nappes phréatiques du 22 janvier au 28 janvier 2018, la ville de Besançon a été reconnue en état de catastrophe naturelle. Les personnes concernées disposent d'un délai 10 jours maximum à compter de la date de parution au Journal Officiel du présent arrêté pour effectuer les démarches nécessaires auprès de leur compagnie d'assurance, soit jusqu’au samedi 14 septembre prochain.

Ce mercredi, en plein grenelle des violences conjugales, une rencontre s’est tenue en préfecture du Doubs, à Besançon, en compagnie des procureurs de la République de Besançon et Montbéliard, des forces de police et de gendarmerie et du monde associatif. Cette réunion faisait suite à un premier échange qui s’est tenu l’automne dernier. L’objectif étant d’assurer une meilleure coordination entre les différents acteurs engagés dans cette lutte. Différents groupes de travail sont nés et des réflexions et propositions ont vu le jour dans des registres divers comme la prise en charge des victimes, leur accompagnement social, la formation des policiers et des gendarmes ou encore l’hébergement d’urgence. La problématique de la prise en charge des victimes durant leur hospitalisation a également été abordée. Ce nouveau temps de rencontre va permettre l’élaboration d’un plan départemental de lutte contre les violences faites aux femmes, qui devra être finalisé cet automne.

Quelques chiffres

Les services de l’état annoncent 420 plaintes au 1er semestre 2019 dans le département. 135 plaintes de femmes victimes de violences volontaires ont été enregistrées en zone gendarmerie. Les autorités en ont comptabilisé 285 en zone police. En 2018, l’association « solidarité femme Â» a accompagné 650 femmes à Besançon. Pour rappel, le 39-19 est le numéro d’écoute national destiné aux femmes victimes de violences.

La caserne de pompiers de Pontarlier ouvre ses portes ce samedi 7 septembre au grand public. L’occasion pour les pompiers pontissaliens de fêter les 10 ans de la caserne actuelle.

Cette journée portes-ouvertes sera marquée par cet anniversaire mais aussi par l’inauguration du mémorial, installé à Pontarlier en hommage aux sapeurs-pompiers pontissaliens disparus au cours de la Grande Guerre et ses pompiers du SDIS 25 morts en service.

Le centre de secours ouvrira ses portes à partir de 9h et proposera de nombreuses activités jusqu’à 18h.
Au programme, démonstration du groupe cynotechnique, de l’équipe spécialisée en risques chimiques, des Jeunes Sapeurs-pompiers, du Groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux, sans oublier la venue d’un expert animalier qui présentera une intervention impliquant des vaches. Les sapeurs-pompiers présenteront également une manœuvre sur un véhicule en feu et sur les risques routiers.

Des démonstrations, et des ateliers pour toute la famille

Organisée par l’amicale des sapeurs-pompiers, cette journée festive permettra aux plus petits de découvrir le monde des pompiers, avec des animations ludiques, un parcours sportif, une structure gonflable et un baptême de plongée en piscine.

L’amicale a pensé à tout, vous pourrez également vous restaurer sur place, avec un barbecue géant, et des crêpes.

C’est l’une des grandes nouveautés de cette rentrée scolaire. La réforme du lycée entre concrètement dans sa mise en œuvre. En ce splendide mercredi après-midi, nous avons rencontré des jeunes de 1ère générale à Besançon, à qui nous avons demandé ce qu’ils pensaient de la réforme et de sa mise en œuvre dans leur établissement.

Rappelons que désormais les séries S, ES et L ont disparu. Désormais, les élèves choisissent leurs enseignements de spécialité qu’ils adossent à un tronc commun. Lundi dernier, les adolescents ont découvert leurs emplois du temps avec les spécialités qu’ils ont choisies. Si globalement, les jeunes se sont vus attribuer les options qu’ils ont choisis, ils reconnaissent, dans leur majorité, un début d’année « compliqué Â» dans leur lycée. La mise en application des emplois du temps est parfois laborieuse et demande une adaptation de tous les instants.

« Nos emplois du temps sont super chargés Â» explique théo. « Je ne suis jamais avec les mêmes élèves. J’ai quatre classes différentes Â» ajoute Lucas. D’autres jeunes dénoncent «  le temps perdu dans les transports en commun Â» pour se rendre d’un lycée à un autre pour suivre un cours. Sans compter les dépenses qui leur incombent, avec l’achat d’une carte de bus pour bouger d’un endroit à l’autre.

« C’est l’inconnue la plus totale Â»

Beaucoup de ces lycéens jugent être dans une situation « inconfortable Â». Pour justifier leurs propos, ils dénoncent « des règles du jeu encore très floues Â» concernant l’organisation du baccalauréat et les épreuves en contrôle continu, qui en dépendent dès la classe de 1ère Â». « Il y a encore pas mal d’incertitudes. Ma prof d’espagnol va s’absenter quinze jours pour comprendre la réforme. C’est speedant Â» explique ce jeune homme . Certes, il est encore trop tôt pour tirer un bilan définitif. Il n’empêche que beaucoup de zones d’ombre subsistent. Affaire à suivre.

Sur les sept derniers jours dans le département, pas de tué ni de blessé à signaler. Un bilan positif contrairement à celui de la semaine d'avant pendant laquelle on dénombrait trois accidents, dont un impliquant un mort. Baisse qui pourrait s’expliquer par celle du nombre d’excès de vitesse : 46 verbalisés contre 64 entre le 19 et le 25 aout.

Un changement légèrement positif dans le comportement est aussi à noter : 26 automobilistes ont été arrêtés avec le téléphone au volant, 9 pour conduite sous l’emprise d’alcool et/ou de stupéfiants contre respectivement 37 et 15 précédemment. 6 défauts de permis ont été découverts.

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