Les forces de l'ordre pontissalienne ont effectués de nombreux contrôles ce week-end. résultat, un jeune homme a été interpellé en possession de cannabis. Il a écopé d'une amende.
Un autre individu a lui été arrêté alors qu'il conduisait sous l'effet de l'alcool. Il avait 1,12g/l de sang. L'homme a reconnu les faits, son permis lui a été retiré et son véhicule immobilisé.
Ce lundi après-midi, Jean-François Chanet, le recteur de l’académie de Besançon, a rencontré la quinzaine de nouveaux élèves qui a rejoint le micro lycée de Besançon, implanté au lycée Louis Pergaud. Ces jeunes, qui ont été choisis à l’issue d’un entretien, durant lequel il a fallu qu’ils expriment leur motivation, n’ont pas envie de passer à côté de la chance qui leur est donnée. Tous ont envie de décrocher le baccalauréat à la fin de l’année. Tous ont également un projet personnel et professionnel postbac dans des univers très divers et variés. Comme l’a rappelé Mr Chanet, « le baccalauréat n’est pas une fin en soi. C’est ce qui se passera après qui est le plus important ».
« Il y aura des hauts et des bas »
Ces jeunes, que le lycée a parfois maltraité, savent que cette année scolaire ne sera pas de tout repos, mais tous ont la motivation et l’envie de réussir. Les parcours de ces futurs bacheliers sont à la fois si riches et semés d’embûches, qu’ils forcent le respect. Maladies, problèmes familiaux et personnels, perte de confiance, phobies scolaires… . Les raisons de ce désamour avec l’école sont multiples. Il n’empêche que malgré les aléas de la vie, Joseph, Victor et leurs petits camarades ont relevé la tête et retroussé les manches.
« Acceptez la main qui vous est tendue »
Au micro-lycée, tout au long de l’année, ils seront accompagnés par une équipe d’enseignants bienveillants. « Acceptez la main qui vous est tendue » ont déclaré d’anciens élèves. « Il faut développer ce genre de structures. Il y a tant de jeunes qui auraient besoin de ce type d’accompagnement et de ce coup de pouce » ont expliqué les jeunes au recteur. Et de poursuivre : « le même enseignement pour tous, c’est compliqué, il y a tant de particularités à prendre en compte ». Jean-François Chanet s’est montré très à l’écoute. Tout en reconnaissant les lacunes de l’éducation nationale dans l’accompagnement des jeunes en difficulté et en souffrance.
Samedi après-midi, l'association Go Zéro Déchet Pontarlier organisait un grand ramassage de mégots au centre-ville pontissalien.
Vingt personnes se sont réunies et ont arpenté les rues pendant deux heures avec pour seule cible les mégots jetés au sol. En deux heures, ils ont collectés 7,7kg de mégots soit 35 000 mégots.
D'autres actions seront menées tout au long de l'année par l'association pour tenter de faire de Pontarlier une ville propre et sensibilisée aux enjeux climatiques.
Dimanche soir, la gérante d’un fast-food pontissalien a demandé aux forces de l’ordre d’intervenir après qu’un homme a dévoilé ses attributs au sein du restaurant. L’homme avait déjà exhibé ses parties intimes la veille dans le même fast-food.
Placé en garde à vue pour exhibition sexuelle, l’homme de 56 ans d’origine étrangère n’a pas reconnu les faits. Voyant tout de même que sa tenue n’était pas appropriée, il a dit avoir regretté.
Il sera convoqué en mars prochain devant la justice pour répondre de ses actes.
Les discussions étaient en cours depuis plusieurs mois et c’est désormais chose faite, le DFCO et le CA Pontarlier ont officialisé leur partenariat.
Le CAP précédemment associé à l’AS Saint-Etienne a décidé de devenir partenaire du club dijonnais, club de Ligue 1. Ce partenariat va permettre aux joueurs du CAP de prendre part à certaines activités des dijonnais et associer leur image à celle d’un club professionnel.
« Le CA Pontarlier rejoint donc le réseau avenir du DFCO » est-il précisé dans un communiqué de presse.
