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Le chiffre semble être une réalité. Entre 400 et 500 enfants, faute de place, sont privés de restauration scolaire à Besançon. Une situation qui a fait réagir le sénateur Jacques Grosperrin, également chef de l’opposition au conseil municipal bisontin. L’élu a dernièrement partagé sa réflexion dans un communiqué de presse. Un écrit diffusé après avoir reçu le collectif « cantines en colère Â», composé de parents concernés par cette situation. Pour le sénateur, la Ville de Besançon doit répondre à la demande des familles et se mettre en conformité avec la loi.

Concernant l'’étude sur le sujet, sollicitée par la majorité municipale, Mr Grosperrin « n’y voit pas l’intérêt Â». « Quand on veut repousser un sujet gênant, on crée une commission Â» explique le parlementaire. Pour Mr Grosperrin, « la nouvelle équipe municipale devra s’emparer du sujet Â». Il  liste deux problèmes : la production de repas et les locaux pour accueillir les enfants. Dans un premier temps, il suggère de faire appel à des prestataires extérieurs, tout en décentralisant parfois les lieux d’accueil dans des écoles, des maisons des jeunes et autres structures capables d’accueillir du public. D’autre part, pour Jacques Grosperrin, le dédoublement des repas en maternelle, comme c’est déjà le cas en primaire, est une nécessité.  

Enfin, l’élu bisontin s’interroge sur la manière dont a été pensée la cuisine centrale bisontine, qui est au maximum de ses capacités de production. « On nous l’avait présentée comme une Rolls-Royce Â» commente l’élu. « A plus ou moins long terme se posera la question de la construction d’une nouvelle infrastructure, mais pour l’heure, pour Mr Grosperrin, il convient de prendre les bonnes décisions pour répondre aux difficultés du moment.

Il pleut certes, mais il ne mouille pas assez. Les précipitations actuelles ne rattrapent pas les 2 mois de pluie qui manquent depuis le début d’année. Le bilan rapporté il y a quelques jours par Philippe Monnet, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FDSEA) du Doubs, était déjà alarmant concernant la sécheresse dans le département. La situation se précise et malgré les quelques pluies de ces derniers jours, l’indice d’humidité des sols est bas. Les cours d’eau connaissent de forts étiages.

Le début des perturbations, dimanche 22 septembre, a offert 10 à 15mm d’eau en plaine. Un peu plus haut, on dépasse les 20mm en allant jusqu’à 40mm sur le plateau de Mâche/Val de Morteau. Même si le constat est moins pessimiste que celui de 2018 (qui a connu des bas niveaux d’eau records à la même période), les débits des rivières restes faibles. La nappe de l’Arlier est au plus bas pour cette année. Les pluies passagères de cette semaine pourraient tout de même apporter entre 10 et 30mm, ce qui permettrait de stabiliser provisoirement la situation.

Quant au lac Saint Point, il n’a pas à se plaindre de son remplissage, convenable à l’heure actuelle grâce aux pluies estivales. Il permet d'assurer un certain niveau au cours du Doubs en aval.

 

La préfecture du Doubs rappelle que des mesures de restrictions de consommation d'eau sont toujours en vigueur et invite chacun "à économiser l’eau dans
les gestes du quotidien et en limitant au maximum les rejets dans des milieux fragiles".

Le centre d’incendie et de secours de Saône-Mamirolle vous ouvre ses portes ce samedi 28 septembre. Des animations seront proposées de 14h à 17h à Saône et Mamirolle.

Au programme à Saône : parcours enfants, exposition, secourisme, manÅ“uvres incendie (14h30) et secours routier (16h15). A Mamirolle, à la zone industrielle de la Plaine et rue des 4 Vents, les visiteurs pourront découvrir de magnifiques expositions, apprécier un nouveau véhicule et participer à une conférence ( de 15h à 16h) sur l’histoire des engins d’incendie et de secours dans le Doubs de 1920 à 1980. Des jeux seront également organisés pour les enfants.

La dernière soirée photo organisée par la Citadelle de Besançon se tiendra ce vendredi 27 septembre de 18h30 à 21h30. Un parcours sera suggéré aux participants pour les orienter vers les meilleurs points de vue sur la Citadelle d’une part, la ville et la nature environnante d’autre part.

De la terrasse située au premier front jusqu'en haut des remparts, en passant par la cour principale et la Tour de la Reine, ce cheminement pourra néanmoins évoluer en fonction des envies des photographes. Le groupe sera accompagné par deux membres des équipes de la Citadelle.

Tarif : 7 €. Sur réservation obligatoire au 03.81.87.83.33 ou par e-mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

La Rave Party déclarée, qui devait se tenir ce samedi 28 septembre sur le territoire de la commune de Fontain, dans le Grand Besançon, n’aura finalement pas lieu. Contacté par notre rédaction, l’organisateur explique que « les raisons liées à l’environnement, évoqués par certains élus locaux, ne tiennent pas Â».

Il rappelle que la manifestation devait se tenir à un kilomètre des premières habitations et qu’elle était éloignée du périmètre de protection de la source la plus proche. Selon le responsable, son association avait opté pour une manifestation légale. Il explique que cette dernière avait obtenu « les autorisations nécessaires de la préfecture, après plusieurs rencontres avec les autorités concernés Â».

5000 personnes étaient attendues à Fontain. Cette annulation n’est pas sans poser problème au niveau financier. Le budget global annoncé pour cette soirée était de 18.500 euros. 4000 euros sont définitivement perdus pour les organisateurs, qui assurent qu’ils continueront à organiser des évènements déclarés, contrairement aux trois premières éditions de rave party ‘Alice in Wonderland Â».

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