Choix du secteur :
Se connecter :

La préfecture du Jura fait savoir que l’arrêté pris le 11 juillet dernier en raison de la sécheresse, et portant restriction provisoire des usages de l’eau sur l’ensemble du département, a été levé le 11 octobre dernier.

Néanmoins, il est précisé que le déficit pluviométrique depuis le début de l’année 2019 est toujours sensible et qu’il manque toujours plus de 3 mois de pluie dans les secteurs du Jura les plus déficitaires, et que le niveau des nappes reste faible.

Un an après la mobilisation de l’automne dernier après les agressions homophobes survenues durant l’été 2018 à Besançon, l’association Solidaires de Défense des Etudiantes et Etudiants organisait un nouveau rassemblement ce mardi soir, en plein cœur du centre-ville bisontin, sur la place Pasteur. Une cinquantaine de personnes, dont de nombreux jeunes, ont répondu à l’invitation. L’objectif étant de dénoncer toujours et encore les agressions et les discriminations homophobes et trans-homophobes encore nombreuses en 2019. Tous racontent les difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et leur combat pour lutter contre les regards et les jugements, sans parler des violences verbales ou physiques récurrentes.

Le milieu scolaire

Ce n’est pas forcément l’endroit où l’on est le mieux protégé. Pas facile d’y trouver de l’aide et du soutien. Théo se souvient encore de ces années collèges, où il a « pété un câble Â» après une série d’insultes et de brimades. « Heureusement, j’ai eu la chance d’avoir des parents compréhensifs Â» explique l’étudiant. Que dire également de ces jeunes isolés en milieu rural, pointés du doigt et ouvertement critiqués. « Je suis la gouine du village Â» explique Annabelle. La justice et les forces de l’ordre doivent également progresser. « J’ai eu toutes les peines du monde à déposer plainte après l’agression de mon amie Â» ajoute Virginie. « Je me suis sentie coupable. Je n’avais pas qu’à coucher avec une fille Â» complète-t-elle. Et de poursuivre : « On a les mêmes devoirs que les autres, mais nous devons obtenir également les mêmes droits Â».

« Sale PD Â»

Les derniers propos tenus par des militants opposés à la PMA pour toutes les femmes mettent en exergue les divergences dans la société française. Et ce n’est pas les insultes proférés par un passant en début de manifestation, ce mardi soir, qui nous rassurera sur la tolérance et l’ouverture d’esprit de certains de nos concitoyens.

Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés en début d’après-midi aujourd’hui à Montrond le Château. 

Un incendie s’est déclaré dans un tas de détritus au rez-de-chaussée d’une maison. Le propriétaire légèrement intoxiqué par les fumées a été pris en charge par les secours et transporté au Centre Hospitalier de Besançon.

Les pompiers ont pu éteindre les flammes.

Des élections municipales partielles vont être organisées à Frasne les 8 et 15 décembre prochain. Le terme « partiel Â» est utilisé dans le cas où l’élection a lieu en dehors des dates prévues nationalement pour renouveler les municipalités. Les fraignauds passeront donc aux urnes au mois de décembre pour élire un maire, puis ils retourneront voter comme l’ensemble des français au mois de mars.

Pourquoi voter au mois de décembre ?

En 2014, la liste portée par Philippe Alpy aux élections municipales a été élue avec cinq adjoints municipaux. Au mois d’août 2019, Mr le Maire a décidé de retirer la fonction d’adjoint à Mme Franey-Saillard pour « faute grave Â». Mr Vuitton, lui aussi adjoint municipal à Frasne, a décidé de démissionner en envoyant un courrier au Préfet du Doubs.
Le nombre d’adjoints est donc passé de 5 à 3, ce qui implique que le conseil municipal n’était plus au complet.

Le sous-préfet de Pontarlier a alors indiqué à la municipalité que « l’article L2122-8 du code général des collectivités territoriales dispose qu’il est nécessaire que le conseil municipal soit complet pour élire de nouveaux adjoints, ce qui implique l’obligation d’organiser des élections partielles intégrales pour une commune de plus de 1 000 habitants. L’ensemble du conseil municipal doit alors être renouvelé Â».
Le sous-préfet a alors proposé au conseil municipal de décider de garder le nombre d’adjoints à trois pour ainsi éviter des élections partielles, et faire ainsi jusqu’aux élections prévues du mois de mars.

Lors du conseil municipal organisé le 26 septembre, le maire actuel, Mr Alpy, a proposé de garder le conseil municipal en l’état en attendant les élections du mois de mars. La proposition a été refusée à 7 voix contre et 6 pour.

Suite à cette décision, des élections municipales partielles vont être organisées à Frasne les 8 et 15 décembre.

Sous-catégories