Faits divers : Accident en cours au Russey
Un accident est en cours au Russey. Deux voitures sont impliquées. On déplore trois victimes, dont la gravité des blessures ne nous a pas été précisée.
Un accident est en cours au Russey. Deux voitures sont impliquées. On déplore trois victimes, dont la gravité des blessures ne nous a pas été précisée.
Dans le cadre du mois sans tabac, la ville de Besançon, le CCAS et l’ANPAA (l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie) proposent, jusqu’à la mi-décembre, des actions de prévention dans les quartiers, en collaboration avec les associations, les foyers d’hébergement, les maisons de quartier, …). Des ateliers y seront notamment menés avec des professionnels.
Un jeune homme de 20 ans originaire de Mulhouse est venu perturber la tranquillité de la boîte de nuit pontissalienne dans la nuit de samedi à dimanche.
En quittant l’établissement, il est monté dans son véhicule et quelques mètres plus loin a refusé de se soumettre au contrôle des forces de l’ordre. Il a pris la fuite et a terminé sa course en tamponnant la voiture de police. L’homme conduisait avec 1,5g d’alcool par litre de sang, et avait en sa possession près de 2g de résine de cannabis.
Défavorablement connu des services de police, l’individu a été placé en garde à vue et présenté ce lundi en comparution immédiate.
Le jeune homme de 24 ans, soupçonné d’avoir agressé un agent de la SNCF sur le parvis de la gare Viotte à Besançon, a été condamné ce lundi à huit mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de Besançon.
L’agression a été commise le 24 octobre dernier sur fond d’alcool. Il s’agissait d’une altercation entre une femme et quatre hommes. L’agent était venu porter secours à cette dernière et a reçu plusieurs coups de poing. Le prévenu, qui n’a pas réfuté les faits, a déclaré avoir agi sous l’effet de l’alcool.
Ce mardi, c’est la journée mondiale de l’AVC. Chaque année, 3400 cas d’accident vasculaire cérébral sont recensés en Franche-Comté. Ce mal touche toutes les classes d’âge, des jeunes enfants aux personnes âgées. Néanmoins, 80% des AVC se produisent après 60 ans, avec un âge moyen de 75 ans.
Le tabac, l’hypertension, le manque d’activité physique sont autant de facteurs de risque, mais ce mal ne peut pas toujours s’expliquer. D’où l’importance de porter un regard vigilant lorsque l’attitude d’un proche surprend et inquiète. Une perte d’équilibre, la prononciation de mots sans nuance et cohérence, une paralysie du côté du corps, un mal de tête, des problèmes de vue, … doivent alerter. Lorsque le processus est enclenché, la prise en charge doit être la plus rapide possible. « Chaque minute qui passe, c’est deux millions de neurones qui se détruisent » explique Bernard Belpois de l’antenne locale de l’association France AVC dans le Doubs, la Haute-Saône et le Territoire-de-Belfort. Et de poursuivre : « Plus vite on interviendra, plus vite on fera sauter le caillot et moins la personne aura de séquelles ».
Dans le cadre de cette journée de prévention et de sensibilisation, l’association France AVC tiendra un stand d’information, de 10h à 17h, dans le hall de l’hôpital Jean Minjoz à Besançon.